Au propre, comme au figuré, les couteaux sont sortis au FLN. A un an et demi des législatives, des bagarres ont éclaté dans certaines réunions, et le secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, est sur la sellette.
Les élections législatives n’auront lieu que dans dix-huit mois, mais elles empoisonnent déjà le climat au sein du Front de libération nationale (FLN), première force politique du pays. Abdelaziz Belkha*dem, son secrétaire général (par ailleurs ministre d’État), a le plus grand mal à tenir ses troupes.
Le ministre de la Formation professionnelle, El Hadi Khaldi, s'est même permis d'appeler à sa démission dans la presse.
À la base, les réunions se terminent souvent en pugilat, parfois même, comme à Annaba, en batailles rangées au cours desquelles on a vu apparaître des armes de poing. Obtenir l’investiture du parti équivalant à une élection quasi certaine, les ambitions se déchaînent, les vrais militants désertent, et les opportunistes de tout acabit ne connaissent plus de limites.
Jeune Afrique
Les élections législatives n’auront lieu que dans dix-huit mois, mais elles empoisonnent déjà le climat au sein du Front de libération nationale (FLN), première force politique du pays. Abdelaziz Belkha*dem, son secrétaire général (par ailleurs ministre d’État), a le plus grand mal à tenir ses troupes.
Le ministre de la Formation professionnelle, El Hadi Khaldi, s'est même permis d'appeler à sa démission dans la presse.
À la base, les réunions se terminent souvent en pugilat, parfois même, comme à Annaba, en batailles rangées au cours desquelles on a vu apparaître des armes de poing. Obtenir l’investiture du parti équivalant à une élection quasi certaine, les ambitions se déchaînent, les vrais militants désertent, et les opportunistes de tout acabit ne connaissent plus de limites.
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