Après les critiques et les mensonges fabriqués par Najib Sawiris au sujet de l'Algérie, et après nous avoir accusé à partir de Londres de lui avoir serrer la vis au niveau de son investissement, après toutes les injures faites par l'Égypte officielle et ses médias, bien que ses compagnies roulaient sur l'or ici! Voila la banque française "Société Générale" possédant plus d'une centaine de bureaux juste dans la capitale qui vient interférer dans une affaire qui ne la regarde pas, en faisant une analyse sur la situation politique avant celle économique.
Une banque ayant toute la liberté, détenant plus d'avantages que nos propres banques nationales, avec toutes les facilités d'investissement en Algérie, même toutes les facilités pour contourner les lois algériennes, vient de mordre la main qui lui a tout offert ?!
Peut-être que les responsables de la "Société Générale" pris en flagrant délit de violation de la loi ont choisi de rédiger ce sombre rapport qui vise à ternir l'image de l'Algérie comme Sawiris savait bien le faire. Il est très aisé pour quiconque d'acheter des devises à Port-Saïd et les faire transiter par l'entremise de la "Société Générale", pour ensuite les retirer dans un guichet de cette institution en France. Autrement dit, en toute impunité et dans une totale liberté la banque faisait dans la contrebande des capitaux vers l'étranger. En voulant se venger de l'Algérie, et peut-être aussi dans un souci à vouloir rester seul, et sa compatriote l'autre "BNP Paribas " afin de profiter à elles seules et sans concurrence d'autres banques du marché algérien.
Quand on sait et en particulier dans le domaine des banques les mauvaises expériences qu'à vécu l'Algérie et pris fin en scandales qui ont terni la réputation de l'économie algérienne à l'étranger, tels « Khalifa Bank "et" BCA bank, ". C'est afin d'éviter la répétition de ces mauvaises expériences que le gouverneur de l'Algérie, avait parlé avant-hier, concernant les abus de confiance et les dépassements de plusieurs banques opérant dans le commerce extérieur dont quelques dossiers ont été transmis à la justice.
Quant à Sawiris, il est regrettable qu'il impute la raison de la dispute avec l'Algérie au simple problème de foot. Bien des mois avant les problèmes avec cet opérateur la presse arborant une certaine pudeur avait mentionné des manipulations de fonds vers l'étranger en omettant d'introduire des fonds Roming ou une partie de celle-ci dans les comptes de la Société en Algérie. Plus grave, Sawiris avait dépassé toutes les lignes rouges en mettant les intérêts de l'Algérie à l'étranger en danger surtout en ce qui a trait à la stratégie de communication globale.
L'opinion publique algérienne ignore certaines facettes de cette technique vu la politique du secret et du travail en silence de notre gouvernement.
Source : Hadda Hezam (El fadjr)
Traduit par Okba.
Une banque ayant toute la liberté, détenant plus d'avantages que nos propres banques nationales, avec toutes les facilités d'investissement en Algérie, même toutes les facilités pour contourner les lois algériennes, vient de mordre la main qui lui a tout offert ?!
Peut-être que les responsables de la "Société Générale" pris en flagrant délit de violation de la loi ont choisi de rédiger ce sombre rapport qui vise à ternir l'image de l'Algérie comme Sawiris savait bien le faire. Il est très aisé pour quiconque d'acheter des devises à Port-Saïd et les faire transiter par l'entremise de la "Société Générale", pour ensuite les retirer dans un guichet de cette institution en France. Autrement dit, en toute impunité et dans une totale liberté la banque faisait dans la contrebande des capitaux vers l'étranger. En voulant se venger de l'Algérie, et peut-être aussi dans un souci à vouloir rester seul, et sa compatriote l'autre "BNP Paribas " afin de profiter à elles seules et sans concurrence d'autres banques du marché algérien.
Quand on sait et en particulier dans le domaine des banques les mauvaises expériences qu'à vécu l'Algérie et pris fin en scandales qui ont terni la réputation de l'économie algérienne à l'étranger, tels « Khalifa Bank "et" BCA bank, ". C'est afin d'éviter la répétition de ces mauvaises expériences que le gouverneur de l'Algérie, avait parlé avant-hier, concernant les abus de confiance et les dépassements de plusieurs banques opérant dans le commerce extérieur dont quelques dossiers ont été transmis à la justice.
Quant à Sawiris, il est regrettable qu'il impute la raison de la dispute avec l'Algérie au simple problème de foot. Bien des mois avant les problèmes avec cet opérateur la presse arborant une certaine pudeur avait mentionné des manipulations de fonds vers l'étranger en omettant d'introduire des fonds Roming ou une partie de celle-ci dans les comptes de la Société en Algérie. Plus grave, Sawiris avait dépassé toutes les lignes rouges en mettant les intérêts de l'Algérie à l'étranger en danger surtout en ce qui a trait à la stratégie de communication globale.
L'opinion publique algérienne ignore certaines facettes de cette technique vu la politique du secret et du travail en silence de notre gouvernement.
Source : Hadda Hezam (El fadjr)
Traduit par Okba.
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