Plus de 12% de la population mondiale atteints de troubles mentaux

[Zacmako]

Selon l’OMS
Plus de 12% de la population mondiale atteints de troubles mentaux

Les troubles mentaux touchent près de 12,5% de la population mondiale, soit environ 450 millions de personnes, a indiqué, mardi à Alger, un représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les troubles de la santé mentale touchent toutes les tranches d'âge et tous les niveaux socioéconomiques dans tous les pays du monde, a précisé le coordonnateur résident des Nations unies et officier de liaison de l'OMS en Algérie,
M. Mamadou Mbye, à l'occasion d'une rencontre nationale sur la santé mentale. “Les maladies mentales sont très courantes et représentent un lourd fardeau pour les individus, les familles et les sociétés, ce qui nécessite des ressources humaines, sociales et financières assurant un traitement efficace aux personnes souffrant de ces maladies”, a-t-il ajouté. Il a précisé aussi, que 32% des personnes atteintes de troubles mentaux souffrent de schizophrénie, 56% de dépression et 78% de troubles liés à l'alcoolisme.
Liberté

[BMW]

C'est trop ca !!

[zek]

Les maladies et troubles affectent annuellement plus de 45 mille algériens en raison des pressions sociales et des difficultés administratives. L’hôpital Frantz Fanon à Blida accueille à lui seul 25 mille malades annuellement, dont la plupart sont des cas graves nécessitant plusieurs jours de traitement et des médicaments coûteux. Le nombre des malades mentaux ne cesse de croître et vu l’incapacité des hôpitaux à les recevoir, ils occupent alors la rue, effrayant et parfois agressant les passants.

Mustapha Khiyati affirme qu’un tiers des algériens
souffrent de dépression qui au fil du temps se transforme en réels troubles mentaux.

Le vide engendré par le chômage peut causer des troubles mentaux. La plupart des malades ont en fait échoué à s’assurer une vie décente. Le problème du logement à lui seul a poussé des milliers d’algériens dans la dépression, puis carrément dans les services psychiatriques.

S’agissant du nombre de psychiatres, il en existe 300 pour…35 millions d’algériens !

Le manque de spécialistes est flagrant, affirme le président de la FOREM, Mustapha Khiyati. Cette situation a amené les hôpitaux à refuser de nombreux cas graves, contribuant ainsi à la propagation du phénomène du vagabondage des malades mentaux qui mettent, dans certains cas, la vie d’autrui en danger.

Les maladies psychologiques qui ne sont pas prises en charge deviennent souvent des maladies psychiatriques, en raison de l’absence de cette culture de consulter un psychologue.

[FAW]

d ailleur il semblerait que c est meme plus

[absent]

qui nous dis que ce n'etait pas deja le cas au 8eme ou 18 eme siecle?
pas de quoi s'affoler...

[absente]

qui nous dis que ce n'etait pas deja le cas au 8eme ou 18 eme siecle?
pas de quoi s'affoler..

ça m'étonnerait, on s'ennuyait moins avant, et on avait pas le temps, les hommes en grande majorité trimaient sans arrêts du levé au couché,et sans jours de repos, sinon la guerre ou les autres maladies, accident les emportaient bien avant, les femmes idem pas le temps, beaucoup se retrouvaient avec 15 enfant à 30 ans, ou grossesses à la chaine, et n'en parlons même pas de la mortalité infantile et de ces mères si complication lors d'accouchement ...
on sait que les dépressions sont plus spécifiques à des sociétés disons plus confortable et plus intellectualisé

[absente]

...on sait que les dépressions sont plus spécifiques à des sociétés disons plus confortable et plus intellectualisé

Et dépourvues de soleil...

12% c énorme ! :22:

[absent]

rica

...je vois ce que tu veux dire mais dans ce cas la en andalousie à l'epoque de la civilisation musulmane, les savants musulmans devaient etre sacrement deprimés. Ils jouissaient du confort le plus total, les dirigenats repondaient au moindre de leur besoin et intellectuellment ils avaient une longueur d'avance...

Mais tu as raison il doit y avoir plus de deprimés de nos jours qu'autrefois.

[absente]

les dirigenats repondaient au moindre de leur besoin et intellectuellment ils avaient une longueur d'avance...

bonne question/ privilégiés du passé, parmi eux certainement il y en avait qui déprimaient. Les siècles derniers en europe les médecins parlaient de "mélancolie". en règle général il y a des facteurs déprimants ou des évènements répétitifs défavorables à la personnes qui conduisent à la dépression, genre deuils, échecs ou même plus banal parfois.. , mais aujourd'hui on s'accorde à dire qu'il y a des personnalités disant plus disposées à développer des dépressions, pour faire simple, des personnes plus vulnérables sur un plan mental, comme il y a bien des personnes plus vulnérable sur plan physiologique, biologique.. Or les dirigeants et hommes de pouvoir dans le passé n'étaient certainement pas les plus vulnérables, car quand on regarde comment le pouvoir s'obtenait et se conservait..., on peut néanmoins dire que c'étaient des personnalités plus particulières, qui devait développer un autre type de pathologie, du genre celui de saddam, ou kadhafi

[absent]

Les siècles derniers en europe les médecins parlaient de "mélancolie".

oui, en Europe cette melancolie a donné naissance au mouvement romantique au 19 eme siécle, on appellait ça le spleen, le vague à l'âme...et on écrivait des poèmes dessus.