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Moutons de l’Aid: des produits cancérigènes pour engraisser le bétail

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    Moutons de l’Aid Al-Adha : des produits cancérigènes pour engraisser le bétail et des ruses pour arnaquer les Algériens

    Ces deux médicaments peuvent provoquer des cancers aux personnes qui mangent la viande des bêtes ayant mangés ces médicaments. Les vétérinaires ont mis en garde, en outre, contre l’achat de moutons malades ou en période de traitement.

    Le syndicat national des médecins vétérinaires a mis en garde les citoyens algériens contre l’achat de moutons alimentés avec des produits cancérigènes. En effet, plusieurs éleveurs et contrebandiers utilisent des médicaments prohibés mondialement dans l’alimentation de leur cheptel. Il s’agit notamment du Estraduol et Benzoat utilisés pour engraisser rapidement leurs cheptels.
    Ces deux médicaments peuvent provoquer des cancers aux personnes qui mangent la viande des bêtes ayant mangés ces médicaments.
    Les vétérinaires ont mis en garde, en outre, contre l’achat de moutons malades ou en période de traitement. Ces deux dernières catégories de bêtes sont généralement vendues à des pris bas vu leurs états. Les vétérinaires expliquent que les médicaments pris par les bêtes restent dans leur corps pendant 15 jours. Ainsi, la bête immolée durant cette période et consommée expose ses consommateurs à de véritables dangers.
    Dans ce contexte une question est posée. Comment reconnaître les bêtes malades de celles en bonnes santés ? La majorité des algériens ne distinguent pas entre les deux catégories, d’où la nécessité, estiment les vétérinaires, d’immoler les moutons de l’Aid Al Adha dans les abattoirs contrôlés par des vétérinaires. Sur un autre plan, le président de l’association nationale interprofessionnelle de production animale de Boussaada (M’sila) a justifié la cherté des prix des mouton par la spéculation et la cherté du fourrage sur le marché international.
    Le foin a connu à Laghouat des fortunes diverses, et surtout un pic rarement atteint, avec des prix avoisinant les 28 000 dinars le quintal dans les marchés parallèles, alors que le prix n’excédait pas les 15 000 dinars quelques jours auparavant.
    Quant à l’avoine, elle est vendue à 1600 dinars par les commerçants en gros, et à 1650 pour les agriculteurs affiliés à la Chambre de l’Agriculture de la wilaya, mais ce prix arrive en dehors de ces deux circuits à 2500 dinars, connaissant, toutefois, des baisses jusqu’à 2000 dinars, ces derniers jours. Quant à la brebis, en l’honneur depuis quelques semaines, elle est cédée entre 12 000 et 18 000 dinars, le mouton, lui, est nettement mieux « coté » avec un prix vacillant entre 24 et 35 000 dinars. Toute une gymnastique financière en somme, pour sortir indemne, d’un tel guêpier...
    Echourouk
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…
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