Des chercheurs de l’université Tarbiat Modares à Téhéran ont mis au point des photodétecteurs infrarouges à atomes artificiels (quantum dots) émettant sur des longeurs d’ondes supérieures à celles des photodétecteurs classiques.
Cette technique permet une meilleure performance de détection et un fonctionnement à des températures plus élevées.
Les applications sont multiples et vont de la médecine aux télécommunications en passant par le guidage de missiles balistiques.
Le Pentagone travaille également sur ce type de recherches via notamment le U.S. Army’s Research, Development, and Engineering Command’s (RDECOM) et l’Aviation and Missile Research, Development, and Engineering Center (AMRDEC). En France, le CEA (Commissariat à l’énergie atomique) est à l’avant-garde des percées nanophotoniques (*) et mène de nombreux travaux sur les photodétecteurs.
(*) La nanophotonique est la science qui étudie le comportement de la lumière à l’échelle nanométrique.
Cette technique permet une meilleure performance de détection et un fonctionnement à des températures plus élevées.
Les applications sont multiples et vont de la médecine aux télécommunications en passant par le guidage de missiles balistiques.
Le Pentagone travaille également sur ce type de recherches via notamment le U.S. Army’s Research, Development, and Engineering Command’s (RDECOM) et l’Aviation and Missile Research, Development, and Engineering Center (AMRDEC). En France, le CEA (Commissariat à l’énergie atomique) est à l’avant-garde des percées nanophotoniques (*) et mène de nombreux travaux sur les photodétecteurs.
(*) La nanophotonique est la science qui étudie le comportement de la lumière à l’échelle nanométrique.
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