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ou va la france? Sarkozy, Mitterrand et la retraite à 60 ans

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  • ou va la france? Sarkozy, Mitterrand et la retraite à 60 ans

    Nicolas Sarkozy s'est plaint, hier soir, de l'héritage laissé par le président socialiste sur l'âge légal de la retraite. Une mesure que le président actuel a pourtant défendue par le passé...

    C’est sa discrète contribution à la partie de ping-pong entre droite et gauche qui s’est engagée depuis une semaine sur le dossier des retraites. Nicolas Sarkozy, lors d’une réunion à huis clos à Beauvais (Oise) en présence de militants UMP, mardi soir, s’en est pris à l’héritage Mitterrand. «Vous savez, quand on pense à ce qu’a fait François Mitterrand en ramenant l’âge légal du départ à la retraite de 65 à 60 ans! On aurait beaucoup moins de problèmes s’il s’était abstenu», a-t-il lâché, selon Le Figaro. «Et ce serait beaucoup plus facile», a-t-il encore soupiré d’après Le Parisien.
    Dans la même journée, son ministre du Travail, Eric Woerth, avait fini par livrer un secret éventé: l’intention du gouvernement d’«agir» sur l’âge légal de départ à la retraite et donc de revenir sur cette réforme emblématique du président socialiste, qui figurait parmi ses 110 propositions de l’élection présidentielle de 1981.
    Mardi, le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP), avait déjà entonné ce refrain et estimé que, «sans la réforme de 1982 (...) la branche vieillesse serait aujourd’hui en équilibre, voire en excédent». Le secrétaire général de l’UMP a suivi, ce mercredi: «Quand en 1982 on a passé l’âge de la retraite de 65 à 60 ans, ça aurait été bien de financer cette mesure. Mais le parti socialiste a pris cette mesure sans prévoir en aucun cas le financement.»
    «Pas digne d’un Président»

    Ce matin, Martine Aubry s’est scandalisée de cette accusation, «pas digne d’un Président», dans le débat sur les retraites. Sur la même ligne - une fois n’est pas coutume - que la première secrétaire, le député (PS) Manuel Valls a jugé les critiques présidentielles «ridicules»: «On doit pouvoir même remonter peut-être à Léon Blum ou à Jean Jaurès que Nicolas Sarkozy citait abondamment pendant sa campagne.» Quant à François Hollande, l’ex-numéro un du PS s’est contenté de louer la «grande avancée» qu’avaient vécu les salariés en 1982.
    Martine Aubry a, elle aussi, jeté un oeil dans les archives pour mettre en difficulté le chef de l’Etat. Ainsi, réplique-t-elle sur RTL, Sarkozy, un an après son arrivée à l’Elysée, écartait toute remise en cause de la retraite à 60 ans. «En mai 2008, M. Sarkozy disait : "Je dis que je ne le ferai pas, je n’en ai jamais parlé au pays et cela compte pour moi, je n’ai pas de mandat pour cela"», rappelle Aubry. Oeil pour oeil, justifie la patronne socialiste: «Quand un homme est capable, quinze ans après le décès de son prédécesseur, de le mettre en cause (...) on le renvoie à ses propres mensonges.»
    Dans un entretien à RTL en mai 2008, interrogé sur la proposition de Laurence Parisot (Medef) de relever l’âge légal à 63 ans et demi, le président de la République avait en effet répondu: «Elle a le droit de dire ça, j’ai dit que je ne le ferai pas. Je n’en ai pas parlé pendant ma campagne présidentielle. Ce n’est pas un engagement que j’ai pris devant les Français. Je n’ai donc pas de mandat pour cela.»

    Par Ptite_Mule
    «Nous avons toujours été pour la retraite à 60 ans»

    Et au cours d’un débat avec Dominique Strauss-Kahn, en janvier 1993, sur les acquis sociaux, le même Sarkozy assure que son parti, le RPR, n’a «pas l’intention, bien sûr, de remettre en cause la retraite à 60 ans» (3’55).
    «J’ai voté pour le RMI et pour la retraite à 60 ans, que les choses soient claires», confie même ensuite (5’40) Sarkozy qui n’a été élu député qu’en... 1988, soit cinq ans après l'ordonnance du 26 mars 1982 fixant l’âge légal de la retraite à 60 ans.
    Il ajoute enfin: «Nous avons toujours été pour la retraite à 60 ans, nous avons simplement dit aux Français: "Attention à ce que celle-ci soit payée".»

    Par LIBÉRATION.FR



    Nicolas Sarkozy le 25 mai à Beauvais (© AFP Francois Nascimbeni)

  • #2
    a voir ce debat en france il est regretable de constater que les initiateures de la revolution française ne sont plus là. il est quasiment certain que ceux qui programmé et conçus la revolution ont donner le programme mais n'ont pas dit pourquoi....la manière de gerer la republique demontre que les français contemporain sont dans le voir le plus total....
    d'un point de vue allaiance nous les algeriens devront etre vigilent devant la disparition de la république car si jamais elle disparaissait un contre pouvoir mondial va disparaitre et nous allons nous les pays du sud subir l'effroit de la nouvelle bougeoisie mintante qui n'est composé que par la majorité des ex deailers dans la drogue et le trafique d'armes....
    il faut que les pays francophones leiurs syndicar fassent un syndicat unique et faire desencdre ce gouvernement de torchon.
    car la retraite c'est une affiare medicale et non politrique c'est le corp medical qui doit statué sur l'affaire pour vous dire chiffre au poing si oui ou non un etre gumain est bilogiquement apte a faire des efforts apres 62 ans si oui dans qu'elle branche...
    donc nos syndicat doivent entrer en jeu et soutenir les syndicats français contre la monté de la nouvelle bougoisie qui payent les vanacance au gouvernements....il faut touit simplemeny bloquer l'acces aux pompes d'essence. car la repiblique travaille avec des larcin et le lardin etait un ex petit larcin...qui si tu le paye il vient sinon il ne viendra plus...voila donc un petit teste pour les repiblicains franaçais.....et les juifs doivent s'y mettre car la bourgoisie ne distingue pas entre juif et chretien et musulman.
    on va faire desendre satan en enfer om ne lui reste que quelque jours de surcis

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