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Le Président de la République , M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu jeudi un message du Président français, M. Jacques Chirac dont voici le texte :
"Monsieur le Président, Très cher ami,
J’ai appris avec tristesse la nouvelle du séisme qui une fois encore, a frappé votre pays, provoquant des deuils et des destructions.
En ce moment pénible pour tous les Algériens, je souhaite vous exprimer ma compassion et vous adresser mes sincères condoléances. Je vous prie d’être mon interprète pour transmettre aux familles éprouvées et au peuple algérien ma sympathie et ma solidarité.
La France est prête, si vous l’estimez approprié, à mettre à la disposition de votre pays les moyens d’assistance dont il pourrait avoir besoin pour faire face aux conséquences de ce séisme.
De mon coté, je demeure engagé dans notre projet commun de traité d’amitié consacrant notre partenariat d’exception. Dès que les circonstances vous le permettront, je souhaite que nous puissions nous entretenir sur la façon de mener à bonne fin cette grande entreprise".
les elections sont tout jusdte dans un an
je pense que l algerie attend pour discuter avec le futur homme (oufemme)fort de la france
cela laisse transparaitre une inquietude accrue de la part de paris-le marche juteux algerien lui echappe-
"Monsieur le Président, Très cher ami,
J’ai appris avec tristesse la nouvelle du séisme qui une fois encore, a frappé votre pays, provoquant des deuils et des destructions.
En ce moment pénible pour tous les Algériens, je souhaite vous exprimer ma compassion et vous adresser mes sincères condoléances. Je vous prie d’être mon interprète pour transmettre aux familles éprouvées et au peuple algérien ma sympathie et ma solidarité.
La France est prête, si vous l’estimez approprié, à mettre à la disposition de votre pays les moyens d’assistance dont il pourrait avoir besoin pour faire face aux conséquences de ce séisme.
De mon coté, je demeure engagé dans notre projet commun de traité d’amitié consacrant notre partenariat d’exception. Dès que les circonstances vous le permettront, je souhaite que nous puissions nous entretenir sur la façon de mener à bonne fin cette grande entreprise".
les elections sont tout jusdte dans un an
je pense que l algerie attend pour discuter avec le futur homme (oufemme)fort de la france
cela laisse transparaitre une inquietude accrue de la part de paris-le marche juteux algerien lui echappe-