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Un jeune sahraoui tué et sept autres blessés par l'armée marocaine près d'El-Ayoun occupée

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  • Un jeune sahraoui tué et sept autres blessés par l'armée marocaine près d'El-Ayoun occupée

    Un jeune sahraoui a été tué et sept autres ont été blessés par l'armée marocaine dans la nuit de dimanche à lundi près du camp des exilés d'El-Ayoun, rapporte lundi l'agence sahraouie SPS.

    L'armée marocaine a mitraillé la voiture à bord de laquelle se trouvaient les Sahraouis, alors qu'ils acheminaient de la nourriture, de l'eau et des médicaments vers ce camp situé à une douzaine de kilomètres à l'est de la capitale sahraouie occupée, précise SPS.

    "El-Garhi Najem (14 ans) a été tué sur le coup dans la voiture, alors que les sept autres ont été blessés, dont son frère, un ancien prisonnier politique, El-Garhi Daoudi.

    Ils ont été transportés à l'hôpital", a indiqué le ministère des Territoires occupés et de la Diaspora.

    Les victimes ont été pourchassées par l'armée marocaine depuis leur sortie de la ville pour être immobilisées à deux kilomètres du camp des exilés de Gdeim Izik, a ajouté la même source.

    Des dizaines de colons marocains et des policiers en civils se sont installés dans la nuit du dimanche au camp de Gdeim Izik près d’El Aaiun pour "provoquer et justifier" l’intervention des forces armées et incendier les "khaima" (tentes) de fortune qui abritent plus de 20.000 sahraouis, sortis en dehors de la ville depuis le 9 octobre dernier pour protester contre leur condition de vie sous l’occupation marocaine, a rapporté le quotidien espagnol ABC dans sa livraison du lundi.

    La situation des sahraouis installés dans des camps de Gdeim Izik (12 km) à l'Est d’El-Ayoun s’aggrave du jour au jour en raison de l’état de siège imposé par l'armée marocaine, afin d’empêcher l'accès de nourriture, d’eau et de médicaments à ces camps, selon des observateurs internationaux, qui se trouvent sur place.

    Le Mexicain, Antonio Velazquez a déclaré que "les forces ont dressé un mur de sable jonchant les camps avec des bulldozers en vue d’empêcher l'entrée des sahraouis désirant joindre les camps, ainsi que l’accès de nourritures d’eau et de médicaments aux résidents de ces camps".

    Il a également fait état "d'une forte présence militaire à proximité des camps, des hélicoptères et d’avions militaires font des raids en permanence pour semer la terreur dans ces camps de fortune".

    "Hier, les forces marocaines ont utilisé la violence et ont levé les armes pour empêcher d'autres sahraouis de rejoindre les camps. Un groupe de sahraouis a été sévèrement battu par la police marocaine qui a blessé plus de 41 personnes, y compris les femmes, les enfants et les personnes âgées", a-t-il ajouté.

    Le président Sahraoui, Mohamed Abdelaziz a appelé le SG de l’ONU, Ban Ki-Moon à "intervenir d’urgence", afin d’empêcher les autorités marocaines de commettre des "massacres terribles" à la suite de l’intervention musclée des forces marocaines contre les citoyens sahraouis à Algayiz non loin de la ville de Smarai, ayant fait plus d’une cinquantaine de blessés.

    Les campeurs ont lancé un appel à la communauté internationale pour fournir l’assistance nécessaire en nourriture, eau et en médicaments.

    Le camp de Gdeim Izik a été installé début octobre à (12 km) à l'Est de la capitale de l'ancienne colonie espagnole, le Sahara occidental, pour protester contre les mauvaises conditions de vie de la population sahraouie dans les territoires occupés par le Maroc en 1975 et réclamer le droit de leur peuple à l'autodétermination, rappelle-t-on.
    Rabah Beldjenna
    el watan
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

  • #2
    toute la responsabilité incombe a son grand frère, qui est multi-récidiviste, un voleur notoirement connu, qui l'a poussé à faire du brigandage comme lui.
    Faut pas tirer sur une armée pour le fun, il a cru que l'armée allait se laisser faire.

    Commentaire


    • #3
      Des calomnies et c'est al watan qui rapporte ça.
      Si on voulait exterminer des gens on ne va pas les transporter à l'hopital al Fahm. N'importe quoi!!!

      Commentaire


      • #4
        Le président Sahraoui, Mohamed Abdelaziz a appelé le SG de l’ONU, Ban Ki-Moon à "intervenir d’urgence", afin d’empêcher les autorités marocaines de commettre des "massacres terribles"
        Ils (SG) t'ont répondu quoi?!

        Commentaire


        • #5
          (toute la responsabilité incombe a son grand frère, qui est multi-récidiviste, un voleur notoirement connu, qui l'a poussé à faire du brigandage comme lui.
          Faut pas tirer sur une armée pour le fun, il a cru que l'armée allait se laisser faire.Baidawi)

          ne le dis pas á nous, nous sommes pas la communauté internationale, vas l expliquer avec credibilité aux autres: Espagne, France, Allemagne, canada etc.

          Frankfurter Rundschau

          Westsahara


          Schüsse in der Wüste

          Marokkanische Soldaten töten einen 14 Jahre alten Jungen beim Verlassen eines Wüstencamps. Seit Jahrzehnten kämpft das Wüstenvolk der Saharauis für seine Unabhängigkeit. Nun rückt der Westsahara-Konflikt wieder in den Blickpunkt.


          Wie in Zeiten des bewaffneten Kampfes: Reiter-Parade der Rebellenorganisation Polisario.
          Foto: rtr

          Wie in Zeiten des bewaffneten Kampfes: Reiter-Parade der Rebellenorganisation Polisario.
          Foto: rtr

          Hunderte, Tausende Zelte soweit das Auge reicht. Ein Meer aus farbigen Wüstenbehausungen. Aber keine beschauliche Oase. Sondern ein Protestlager der Saharauis, jenes von der Welt nahezu vergessenen Westsahara-Volkes, das für Arbeit und würdiges Leben in seinem von Marokko besetzten Territorium demonstriert. Ein Wüstenland am Atlantik von Nordwestafrika – gleich gegenüber den bei europäischen Urlaubern so beliebten Kanarischen Inseln.

          Seit Wochen harren Zigtausende Saharauis im provisorischen Camp vor den Toren der 200.000 Einwohner zählenden Westsahara-Hauptstadt El Aaiun aus. Umzingelt von marokkanischen Soldaten, weitgehend abgeschnitten von geregelter Versorgung mit Lebensmitteln, Medizin und Wasser. Das Allernötigste wird über verschlungene Wege durch die Linien der Belagerer geschmuggelt.

          „Wir brauchen Hilfe“, fleht eine Saharaui-Frau, die ihr Haar mit einem Kopftuch bedeckt, in einer verzweifelten Video-Botschaft an den Westen. „Wir machen schwere Stunden durch.“ Sie nennt nicht ihren Namen, denn die Angst vor Repressalien ist groß. Saharaui-Aktivisten droht der marokkanische Kerker.

          Täglich werden die Spannungen mit der Armee größer. Marokkos oberster Herrscher, König Mohammed VI., duldet keine Proteste in der seit 35 Jahren besetzen Westsahara, die er als „marokkanische Südprovinz“ beansprucht. Wer in das Lager hinein oder wer heraus will, muss schikanöse Kontrollen durch marokkanische Posten ertragen: Beschimpfungen, Einschüchterungen, auch Misshandlungen.

          Vielleicht deswegen hielt jener voll besetzte Geländewagen mit Saharauis, der die erste Kontrolle hinter sich gebracht hatte, am nächsten Posten nicht mehr an – der Fahrer trat aufs Gas: Die Soldaten feuerten, töteten einen 14-jährigen Jungen, weitere Insassen wurden verletzt. „Aus dem Wagen wurde geschossen“, behauptet später Marokkos Innenministerium, „deswegen mussten die Sicherheitskräfte antworten.“ Das jüngste Drama im Westsahara-Konflikt.

          Seit Jahrzehnten kämpft das Wüstenvolk dafür, seine Unabhängigkeit wiederzuerlangen. Doch den mehr als 10000 Menschen im Protest-Camp geht es dieses Mal um sehr viel weniger: Sie wollen schlicht Arbeit, Wohnungen und Anteil an jenen Rohstoffen, welche die Westsahara so wertvoll machen. Etwa die Fischgründe am Atlantik, die von Marokko für viele Millionen Euro an die EU-Fangflotte verhökert werden. Oder die reichen Phosphatvorkommen.

          Vor knapp einem Jahr hatte die Sahara-Menschenrechtlerin Aminatou Haidar mit einem Hungerstreik auf dem Flughafen der Kanareninsel Lanzarote die Welt vorübergehend wachgerüttelt. Die unbequeme Freiheitskämpferin war von Marokko deportiert worden – nach 32 Tagen Hungerdrama und diplomatischem Ringen durfte sie wieder zurück in die Wüste.

          Traduction: troupes marocaines ont tué un garçon de 14 ans, laissant un camp dans le désert. Pendant des décennies, les gens du désert de la lutte pour l'indépendance sahraouie. Maintenant, le conflit du Sahara occidental recule sous les projecteurs.
          Des centaines, des milliers de tentes dans la mesure où l'œil. Une mer de logements désert coloré. Mais ne oasis de tranquillité. Mais un camp de protestation du peuple sahraoui, celui du monde presque oublié l'Ouest peuple du Sahara qui ont manifesté pour le travail et la dignité de son territoire occupé par le Maroc. Un pays désertique sur la côte Atlantique du Nord Afrique de l'Ouest - juste en face le cas des voyageurs européens, si populaire aux îles Canaries.

          Pendant des semaines, des dizaines de milliers de personnes sahraoui attendre dans un camp de fortune devant les portes des 200.000 habitants du Sahara occidental capital d'El Aaiun. Entouré par des soldats marocains, coupé de l'approvisionnement régulier de nourriture, de médicaments et d'eau. The Bare Essentials est passée en contrebande sur les routes sinueuses à travers les lignes des assiégeants.

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