Article traduit de l anglais machinellement, je vous conseille donc de lire l'original!
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Bien que le sort des pourparlers israélo-palestinien se trouve toujours sur le fil du rasoir, une attitude similaire de la part des Etats-Unis vers le conflit du Sahara occidental pourrait ouvrir la voie à une solution durable à l'un des plus anciens conflits en Afrique.
Bien qu'il existe de nombreuses différences entre les deux conflits, dont les protagonistes des deux côtés m'empresse de faire remarquer, il ya également plusieurs parallèles indéniables. Ils sont à la fois sur l'annexion d'une zone géographique par un autre Etat résultant en un groupe de personnes soit à venir sous l'occupation ou le devenir. Dans les deux cas, les participants du bout des lèvres le résultat que la communauté internationale voudrait voir, mais avec leurs résultats boycott de telles actions. Les deux conflits ont fait des milliers de réfugiés vivant dans des camps ou en exil depuis plus de deux générations. Dans les deux cas, les principales parties sont inégales en puissance, d'un côté un État puissant soutenu par l'Occident et de l'autre une organisation de libération anciens alliés influents. Dans les deux cas, les États-Unis a été un fervent partisan, constante et indéniable de l'État occupant alors que du bout des lèvres aux droits de la nation dépossédée.
Maroc, qui a pris le contrôle de l'ancienne colonie espagnole du Sahara occidental en 1975, a précipité une guerre avec le front nationaliste sahraoui Front Polisario, qui a été soutenu par l'Algérie et l'Union africaine. Maroc, avec un fort soutien de la France et de l'administration Regan, a été en mesure d'occuper la plupart du Sahara occidental au moment où le Conseil de sécurité se sont impliqués en 1988.
Un autre parallèle important entre le Sahara occidental et le conflit du Moyen-Orient est que les deux processus de paix fait des progrès importants lorsque les Carter, Bush père et Clinton administrations maintenu un intérêt actif dans la recherche d'une résolution et fait pression sur les deux parties à faire des compromis. Inversement, les deux conflits considérablement détériorée sous l'administration de George W. Bush, qui a non seulement adopté une attitude plus passive, mais aussi un partisan sans vergogne vers le Maroc et Israël dans son deuxième mandat.
Récemment avancer les choses sur les rails, l'administration Obama dit les protagonistes au Moyen-Orient que le chemin de la sécurité israélienne et un Etat palestinien passe par des négociations. Les parties au conflit du Sahara occidental doit être dit que seules des négociations seront Maroc et le Polisario être en mesure de définir le sens commun de la souveraineté et l'autodétermination. Ces négociations devraient être fondées sur l'échange de vues et de compromis, pas dicter les résultats.
Un aspect important d'une initiative plus agressive au Sahara occidental sera la coordination du Conseil de sécurité. La Chine et la Russie ont eu tendance à laisser les Etats-Unis font le gros avec un certain soutien neutre de Grande-Bretagne. France, d'autre part, maintient une position sans ambiguïté, pro-marocain sur la question et l'Espagne, l'ancienne puissance coloniale au Sahara occidental, oscille entre les parties en fonction de la partie qui détient le pouvoir.
Une initiative au Sahara Occidental signifie qu'il sera impératif que le Groupe des amis du Sahara occidental - Etats-Unis, France, Royaume-Uni, la Russie et l'Espagne - d'abord accepter qu'il n'y aura pas de jour entre eux en ce qui concerne le cadre des négociations basé sur les précédentes résolutions du Conseil de sécurité (c.-à une solution politique négociée qui prévoit l'autodétermination). En effet, s'il ya un besoin de pré-négociations au Sahara occidental, il est parmi les pays occidentaux qui revendique le plus d'intérêt dans la question.
Au début, le Sahara occidental n'a pas besoin d'intervention de haut niveau de la Maison Blanche ou le Département d'Etat. Heureusement pour les États-Unis, ils ont la meilleure chose suivante: l'envoyé de l'ONU actuelle au Sahara occidental est un ancien diplomate américain Christopher Ross, qui apporte avec lui la neutralité du Secrétariat de l'ONU et l'oreille de Washington. Pour l'instant, tout ce qui est nécessaire pour relancer le processus de paix au Sahara Occidental est pour les présidents Obama et Sarkozy à la laisser parties connaissent les coulisses qu'ils doivent engager des négociations sérieuses, s'écouter les uns les autres et à s'impliquer dans un sens donner et recevoir . Puis un communiqué conjoint des États-Unis, la France et l'Espagne devraient suivre qui énonce clairement les termes de référence pour les négociations, établit un délai d'un an pour un accord et engage le Conseil de sécurité à un retrait du Sahara occidental, si aucun accord n'est conclu . En effet, les États-Unis devraient tirer parti de son droit de veto sur la mission de l'ONU au Sahara occidental, dont la France soutient le dos pour le Maroc et l'Espagne pour sa culpabilité historique, pour obtenir de Paris et de Madrid à bord. ....."
Posted By Anna Theofilopoulou, Jacob Mundy Wednesday, October 27, 2010
Foreign Policy
The recent decision by the Obama administration to invite Israel and the Palestinian Authority to engage in serious negotiations over the Middle East conflict should be instructive for those interested in resolving one that seems almost as intractable -- the Western Sahara dispute.
Key to this new effort in the Middle East conflict is (1) the US is sponsoring and supporting the talks; (2) the US has demanded that the two negotiate seriously, tackle the difficult subjects that have trounced previous attempts for resolution; and (3) the US has given the two sides a one-year deadline.
Though the fate of the Israel-Palestinian talks still hangs on a knife's edge, a similar attitude on the part of United States towards the Western Sahara dispute might pave the way to a durable solution to one of Africa's oldest conflicts.
Although there are many differences between the two conflicts, which the protagonists on both sides hasten to point out, there are also several undeniable parallels. They are both about the annexation of a geographical area by another state resulting in a group of people either coming under occupation or becoming homeless. In both cases the participants pay lip service to the result that the international community would like to see but with their actions boycott such outcome. Both conflicts have resulted in thousands of refugees living in camps or in exile for over two generations. In both cases the key parties are unequal in power, on the one side a powerful Western-backed state and on the other a former liberation organization with influential allies. In both cases, the US has been a strong, steady and undeniable supporter of the occupying state while paying lip service to the rights of the dispossessed nation.
suite de l article dans la page suivante
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Bien que le sort des pourparlers israélo-palestinien se trouve toujours sur le fil du rasoir, une attitude similaire de la part des Etats-Unis vers le conflit du Sahara occidental pourrait ouvrir la voie à une solution durable à l'un des plus anciens conflits en Afrique.
Bien qu'il existe de nombreuses différences entre les deux conflits, dont les protagonistes des deux côtés m'empresse de faire remarquer, il ya également plusieurs parallèles indéniables. Ils sont à la fois sur l'annexion d'une zone géographique par un autre Etat résultant en un groupe de personnes soit à venir sous l'occupation ou le devenir. Dans les deux cas, les participants du bout des lèvres le résultat que la communauté internationale voudrait voir, mais avec leurs résultats boycott de telles actions. Les deux conflits ont fait des milliers de réfugiés vivant dans des camps ou en exil depuis plus de deux générations. Dans les deux cas, les principales parties sont inégales en puissance, d'un côté un État puissant soutenu par l'Occident et de l'autre une organisation de libération anciens alliés influents. Dans les deux cas, les États-Unis a été un fervent partisan, constante et indéniable de l'État occupant alors que du bout des lèvres aux droits de la nation dépossédée.
Maroc, qui a pris le contrôle de l'ancienne colonie espagnole du Sahara occidental en 1975, a précipité une guerre avec le front nationaliste sahraoui Front Polisario, qui a été soutenu par l'Algérie et l'Union africaine. Maroc, avec un fort soutien de la France et de l'administration Regan, a été en mesure d'occuper la plupart du Sahara occidental au moment où le Conseil de sécurité se sont impliqués en 1988.
Un autre parallèle important entre le Sahara occidental et le conflit du Moyen-Orient est que les deux processus de paix fait des progrès importants lorsque les Carter, Bush père et Clinton administrations maintenu un intérêt actif dans la recherche d'une résolution et fait pression sur les deux parties à faire des compromis. Inversement, les deux conflits considérablement détériorée sous l'administration de George W. Bush, qui a non seulement adopté une attitude plus passive, mais aussi un partisan sans vergogne vers le Maroc et Israël dans son deuxième mandat.
Récemment avancer les choses sur les rails, l'administration Obama dit les protagonistes au Moyen-Orient que le chemin de la sécurité israélienne et un Etat palestinien passe par des négociations. Les parties au conflit du Sahara occidental doit être dit que seules des négociations seront Maroc et le Polisario être en mesure de définir le sens commun de la souveraineté et l'autodétermination. Ces négociations devraient être fondées sur l'échange de vues et de compromis, pas dicter les résultats.
Un aspect important d'une initiative plus agressive au Sahara occidental sera la coordination du Conseil de sécurité. La Chine et la Russie ont eu tendance à laisser les Etats-Unis font le gros avec un certain soutien neutre de Grande-Bretagne. France, d'autre part, maintient une position sans ambiguïté, pro-marocain sur la question et l'Espagne, l'ancienne puissance coloniale au Sahara occidental, oscille entre les parties en fonction de la partie qui détient le pouvoir.
Une initiative au Sahara Occidental signifie qu'il sera impératif que le Groupe des amis du Sahara occidental - Etats-Unis, France, Royaume-Uni, la Russie et l'Espagne - d'abord accepter qu'il n'y aura pas de jour entre eux en ce qui concerne le cadre des négociations basé sur les précédentes résolutions du Conseil de sécurité (c.-à une solution politique négociée qui prévoit l'autodétermination). En effet, s'il ya un besoin de pré-négociations au Sahara occidental, il est parmi les pays occidentaux qui revendique le plus d'intérêt dans la question.
Au début, le Sahara occidental n'a pas besoin d'intervention de haut niveau de la Maison Blanche ou le Département d'Etat. Heureusement pour les États-Unis, ils ont la meilleure chose suivante: l'envoyé de l'ONU actuelle au Sahara occidental est un ancien diplomate américain Christopher Ross, qui apporte avec lui la neutralité du Secrétariat de l'ONU et l'oreille de Washington. Pour l'instant, tout ce qui est nécessaire pour relancer le processus de paix au Sahara Occidental est pour les présidents Obama et Sarkozy à la laisser parties connaissent les coulisses qu'ils doivent engager des négociations sérieuses, s'écouter les uns les autres et à s'impliquer dans un sens donner et recevoir . Puis un communiqué conjoint des États-Unis, la France et l'Espagne devraient suivre qui énonce clairement les termes de référence pour les négociations, établit un délai d'un an pour un accord et engage le Conseil de sécurité à un retrait du Sahara occidental, si aucun accord n'est conclu . En effet, les États-Unis devraient tirer parti de son droit de veto sur la mission de l'ONU au Sahara occidental, dont la France soutient le dos pour le Maroc et l'Espagne pour sa culpabilité historique, pour obtenir de Paris et de Madrid à bord. ....."
Posted By Anna Theofilopoulou, Jacob Mundy Wednesday, October 27, 2010
Foreign Policy
The recent decision by the Obama administration to invite Israel and the Palestinian Authority to engage in serious negotiations over the Middle East conflict should be instructive for those interested in resolving one that seems almost as intractable -- the Western Sahara dispute.
Key to this new effort in the Middle East conflict is (1) the US is sponsoring and supporting the talks; (2) the US has demanded that the two negotiate seriously, tackle the difficult subjects that have trounced previous attempts for resolution; and (3) the US has given the two sides a one-year deadline.
Though the fate of the Israel-Palestinian talks still hangs on a knife's edge, a similar attitude on the part of United States towards the Western Sahara dispute might pave the way to a durable solution to one of Africa's oldest conflicts.
Although there are many differences between the two conflicts, which the protagonists on both sides hasten to point out, there are also several undeniable parallels. They are both about the annexation of a geographical area by another state resulting in a group of people either coming under occupation or becoming homeless. In both cases the participants pay lip service to the result that the international community would like to see but with their actions boycott such outcome. Both conflicts have resulted in thousands of refugees living in camps or in exile for over two generations. In both cases the key parties are unequal in power, on the one side a powerful Western-backed state and on the other a former liberation organization with influential allies. In both cases, the US has been a strong, steady and undeniable supporter of the occupying state while paying lip service to the rights of the dispossessed nation.
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