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Les groupes étrangers obligés d’investir en Algérie en échange de contrats publics

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  • Les groupes étrangers obligés d’investir en Algérie en échange de contrats publics

    une explication des récentes résiliation de gros contrats publiques ( chemins de fer,constructions des nouvelles villes ....)

    --------------------------------------------------------------------------
    C’est officiel. Dans l’avenir, les groupes étrangers devront s’engager à investir en Algérie pour pouvoir décrocher des contrats publics.

    L’article 24 du nouveau code des marchés publics, publié mercredi 27 octobre au Journal officiel (JO), précise en effet : « les cahiers des charges des appels d’offres internationaux doivent prévoir l’obligation pour les soumissionnaires étrangers, d’investir dans le cadre d’un partenariat, dans le même domaine d’activité, avec une entreprise de droit algérien, dont le capital est détenu majoritairement par des nationaux résidents ». Cette mesure est contenue dans la loi de finances complémentaire (LFC) 2010.

    Le dossier d’appel d’offres doit proposer au soumissionnaire étranger une liste non limitative d’entreprises capables de concrétiser un tel partenariat, selon le texte. L’offre du soumissionnaire étranger doit comporter obligatoirement, sous peine de rejet, son engagement à investir en Algérie. Toutefois, le code ne prévoit pas de cas où il n’existe pas d’entreprises locales capables de réaliser ce partenariat.

    Le code des marchés publics prévoit aussi trois sanctions à l’encontre des soumissionnaires qui ne respecteraient pas leur engagement d’investir : la résiliation du marché, si avant sa concrétisation le partenariat n’est pas mis en œuvre.

    Mais aussi l’application de pénalités financières pouvant atteindre 20% du montant du contrat et l’inscription de l’entreprise étrangère sur une liste d’entreprises interdites de soumissionner aux marchés publics algériens.




    © TSA 28/10/2010
    .


    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

  • #2
    Les groupes étrangers obligés d’investir en Algérie en échange de contrats publics
    Il faut rétablir et garantir un climat de confiance pour que le marché Algérien devienne attractif.

    Ce n'est pas par contrainte que l'investisseur va venir prendre des risques.
    Mr NOUBAT

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    • #3
      j avoue que ca donne pas envie d investir obliger drole de methode

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      • #4
        vous n'avez pas compris ,ils ne veulent pas d'eux c'est tout
        Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

        Gödel

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        • #5
          sisi il viendra ,ne vous inquiétez pas surtout avec 300MD$ sur la table

          des joint ventures avec des géants mondiale dans le domaine sont déjà finalisé ou sur le point de l'être
          1- agustawestland
          2- fincantieri
          3- Ferrostaal, Rheinmetall , Daimler, Deutz et MTU

          4- EADS/Deutschland, Rohde&Schwarz et Carl Zeiss bénéficiera

          et bien d'autre viendront

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          • #6
            300 milliards pour 2014
            et for sure 500 milliards pour 2020
            la contrainte aura du bon
            en tout cas c le deal
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #7
              bravo boutef pour cette lois.
              la plupart des pays fonctionne de cette manière c donnant donnant, et sa verras comprendre au étranger que l Algérie n'est pas un supermarché.

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              • #8
                Bonjour

                Pourtant cet amendement a déjà donné des idées à nos voisins directs
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                • #9
                  douga douga

                  avec les investisseurs étrangers il faut de la visibilité et la patience.
                  Faire comme comme les chinois les apater avec les avantages fiscaux et de coûts de m.o avec la garantie que leurs investissements sont protégés ensuite introduire des contraintes par dose homéopathique sur les réductions d'impots après les 5 premières d'exonération en cas de réinvestissement d'une partie des bénéfices dans le pays d'accueil.

                  A cela s'ajoute la négociation qd il s'agit de gros contrat de pouvoir produire ou sous-traiter une partie du projet localement.

                  Qu'est-ce qu'on constate aujourd'hu: la LFC a fait fuir les investisseurs et maintenant on rajoute une contrainte supplémentaire.
                  Il faut juste s'inspirer des chinois, tout le monde les craint et en même temps tou tle monde est attiré par la chine comme le sont les abeilles pour le miel.

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                  • #10
                    L'Algérie, tu l'aimes ou tu la quitte.

                    Ne vous en faites pas, ils viendrons et en masse
                    Dernière modification par Pecos, 11 novembre 2010, 07h27.
                    And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

                    Commentaire


                    • #11
                      L'Algérie, tu l'aimes ou tu la quitte.
                      non il ne faut pas raisonner comme ça. Les investissements se tarissent à cause de la crise finacière mondiale qui n'est pas encore finie. Face à la concurrence d'autres pays d'accueil de ces investissements il faut être patient et malin, ne rien faire pour dire que les investisseurs viendront c'est faux!
                      Si on regarde dans le passé récent les plus grandes réformes que l'Algérie ai faites ont été dans les années 90 quant tout allait mal, aujourd'hui on lève le pied pour dire soyons protectioniste, el hamdoullah tout va bien nous sommes souverein...

                      Un rapport récent sur la réformes des finances publique dans la région MENA nous classe parmi les derniers à avoir fait des efforts en ce sens.
                      la palme revient aux pays qui ont peu de ressources et ont accompli un effort soutenu comme: la Jordanie, l'Egypte Tunisie et Maroc.

                      Pourquoi somme-nous si différents et continuons de l'être?

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                      • #12
                        Nous, on 'a les moyens de dire non à ces multinationales, il y'a aussi une difference entre partenariat et aplaventrisme
                        And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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                        • #13
                          C'est quoi "avoir les moyen de dire nan" ?
                          Le notable a son bouclier fiscal , et l'esclave doit se battre avec une couverture sociale....

                          Commentaire


                          • #14
                            C'est quoi "avoir les moyen de dire nan" ?
                            on peut se débrouiller sans eux c'est simple
                            et on a les moyens d'attendre aussi longtemps qu'il faut
                            si une multinationale refuse, la deuxième ne refusera pas

                            Commentaire


                            • #15
                              on peut se débrouiller sans eux c'est simple
                              et on a les moyens d'attendre aussi longtemps qu'il faut
                              si une multinationale refuse, la deuxième ne refusera pas
                              Les moyens d'attendre quoi ?

                              Ca veut dire qu'aujourd'hui tu veux pas d'eux mais demain tu voudras d'eux c'est ca ?

                              C'est pas en pensant comme ca que le maghreb sera un pole economique ou une region tres puissante mondialement.

                              Des pays comme le Mexique , le Bresil beneficient beaucoup d'investissement etranger regarde où ils en sont...De grandes puissances mondiales.
                              Le notable a son bouclier fiscal , et l'esclave doit se battre avec une couverture sociale....

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