''L’Etat algérien est antérieur aux grandes nations d’aujourd’hui'MEDEA- ''L’état algérien n’a pas été créé du néant", et son existence est "antérieure à celle de beaucoup de nations qui sont à l’origine de cette grande mystification de l’histoire tendant à faire douter des générations entières de leur passé'', a souligné jeudi à Médéa le directeur général des
Archives nationales. S’exprimant en marge de la cérémonie de signature d’un protocole de coopération entre le centre des Archives nationales et l’université Yahia Farès de Médéa, M. Abdelmadjid Chikhi a affirmé que parmi les objectifs clairement énoncés dans la déclaration du 1er novembre 54, la libération du pays du joug colonial et la restauration de l’Etat algérien. Cet Etat, en tant qu’entité politique, géographique et institutionnelle, devançait bien des nations qui ont tenté de dénigrer notre passé, et continuent dans leur entreprise, pour semer encore le confusion dans l’esprit des citoyens algériens.
Pour M. Chikhi, tous les faits et écrits historiques attestent que l’état Algérie faisait partie, au 16e siècle déjà, des états qui avaient leur poids sur la scène mondiale et jouissait d’une place privilégiée auprès du calife.
Il a souligné que la déclaration du 1er Novembre est venue corriger cette déformation des faits et énoncer, explicitement, que derrière la libération du pays, un autre idéal doit être accompli, celui de restaurer l’état algérien que le colonialisme s’est attelé, durant 130 ans, à détruire et effacer la moindre trace qui atteste de son existence.
La cérémonie de signature du protocole de coopération entre le centre des archives et l’université ''Yahia Farès ''de Médéa, intervient dans le sillage de l’ouverture d’un département d’histoire au sein du campus.
Au terme de ce protocole, le centre des archives nationales s’engage à assurer la formation et l’encadrement des étudiants du département d’histoire, l’organisation et l’animation des rencontres et des journées d’étude, ainsi que l’échange de documents et d’informations.
Archives nationales. S’exprimant en marge de la cérémonie de signature d’un protocole de coopération entre le centre des Archives nationales et l’université Yahia Farès de Médéa, M. Abdelmadjid Chikhi a affirmé que parmi les objectifs clairement énoncés dans la déclaration du 1er novembre 54, la libération du pays du joug colonial et la restauration de l’Etat algérien. Cet Etat, en tant qu’entité politique, géographique et institutionnelle, devançait bien des nations qui ont tenté de dénigrer notre passé, et continuent dans leur entreprise, pour semer encore le confusion dans l’esprit des citoyens algériens.
Pour M. Chikhi, tous les faits et écrits historiques attestent que l’état Algérie faisait partie, au 16e siècle déjà, des états qui avaient leur poids sur la scène mondiale et jouissait d’une place privilégiée auprès du calife.
Il a souligné que la déclaration du 1er Novembre est venue corriger cette déformation des faits et énoncer, explicitement, que derrière la libération du pays, un autre idéal doit être accompli, celui de restaurer l’état algérien que le colonialisme s’est attelé, durant 130 ans, à détruire et effacer la moindre trace qui atteste de son existence.
La cérémonie de signature du protocole de coopération entre le centre des archives et l’université ''Yahia Farès ''de Médéa, intervient dans le sillage de l’ouverture d’un département d’histoire au sein du campus.
Au terme de ce protocole, le centre des archives nationales s’engage à assurer la formation et l’encadrement des étudiants du département d’histoire, l’organisation et l’animation des rencontres et des journées d’étude, ainsi que l’échange de documents et d’informations.
[Aps 28/10/10]
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