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Abdelhamid Ababsa - Hiziya

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  • Abdelhamid Ababsa - Hiziya

    Douce nuit.
    La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

  • #2
    La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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    • #3
      la traduction

      Un des plus beau poème algérien, sinon .... le plus beau !

      HISTOIRE : Une jeune fille, bent Ahmed Belbey, originaire de Beni Hilal, née en 1852. Elle aimait secrètement son cousin Saïd. Un amour devenu célèbre, après la mort de Hizia en 1875, à l’âge de 23 ans. Ne pouvant supporter la douleur de la mort de sa bien-aimée, Saïd erre quelque temps, avant de demander au grand poète de la région, Ben Guitoun, de l’immortaliser par un poème. Le maître du melhoun le prend en pitié, après avoir écouté son histoire d’amour

      LA Traduction française :Hizia
      Traduction de C. SONNECK (1902)




      « Amis, consolez-moi; je viens de perdre la
      reine des belles. Elle repose sous terre.
      Un feu ardent brûle en moi !
      Ma souffrance est extrême. Mon coeur s'en
      est allé, avec la svelte Hiziya.
      hélas ! Plus jamais je ne jouirai de sa
      compagnie. Finis les doux moments,
      où, comme au printemps, les fleurs des
      prairies, nous étions heureux.
      Que la vie avait pour nous de douceurs !
      telle une ombre, la jeune gazelle a
      disparu, en dépit de moi !
      Lorsqu'elle marchait, droit devant elle, ma
      bien-aimée était admirée par tous.
      Telle le bey du camp qui s'avance un
      cimeterre à la ceinture.
      Entouré de soldats et suivi de cavaliers qui
      sont venus à sa rencontre, pour lui
      remettre chacun un présent;
      Armé d'un sabre d'Inde, il lui suffit de
      faire un geste de la main, pour
      partager une barre de fer, ou fendre
      un roc.
      Il a tué un grand nombre d'hommes,
      ennemis du bien. Orgueilleux et
      superbe, il s'avance fièrement.
      C'est assez glorifier le bey ! Dis-nous,
      chanteur, dans une nouvelle chanson
      les louanges de la fille d'Ahmad ben
      al-Bey.
      La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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      • #4
        Amis, consolez-moi; je viens de perdre la
        reine des belles. Elle repose sous terre.
        Un feu ardent brûle en moi !
        Ma souffrance est extrême. Mon coeur s'en
        est allé, avec la svelte Hiziya.

        Lorsqu'elle laisse flotter sa chevelure, un
        suave parfum s'en dégage. Ses
        sourcils forment deux arcs bien
        dessinés, telle la lettre noun, tracée
        dans un message.
        Ton oeil ravit les coeurs, telle une balle de
        fusil européen, qui aux mains des
        guerriers, atteint sûrement le but.
        Ta joue est la rose épanouie du matin, et
        le brillant oeillet; le sang qui l'arrose
        lui donne l'éclat du soleil.
        tes dents ont la blancheur de l'ivoire, et,
        dans ta bouche étincelante, la salive
        a la douceur du lait des brebis ou du
        miel qu'apprécient tant les gourmets.
        Admire ce cou plus blanc que le coeur du
        palmier. C'est un étui de cristal,
        entouré de colliers d'or.
        Ta poitrine est de marbre; il s'y trouve
        deux jumeaux, que mes mains ont
        caressés, semblables aux belles
        pommes qu'on offre aux malades.
        Ton corps a la blancheur et le poli du
        papier, du coton ou de la fine toile de
        lin, ou encore de la neige, tombant
        par une nuit obscure.
        Hiziya a la taille fine; sa ceinture, penche
        de côté, et ses tortis entremêlés
        retombent sur son flanc repli par
        repli.
        Contemple ses chevilles; chacune est
        jalouse de la beauté de l'autre;
        lorsqu'elles se querellent elles font
        entendre le cliquetis de leurs
        khelkhals, surmontant les
        brodequins
        (vaste plaine au S. E. de Sétif où les nomades de Biskra venaient faire paître leurs troupeaux en été )
        La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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        • #5
          Quand nous campions à Bazer1, je me
          rendais auprès d'elle le matin; alors
          nous goûtions les joies de ce monde.
          je saluais la gazelle; j'observais les
          présages; heureux comme un homme
          fortuné, possédant les trésors de
          l'univers.
          La richesse n'avait pour moi aucune
          valeur, comparée au tintement des
          khelkhals de Hiziya, quand je
          franchissais les collines pour aller la
          rencontrer.
          Lorsqu'au milieu des prairies, elle
          balançait son corps avec grâce, et
          faisait résonner son khelkhal, ma
          raison s'égarait; un trouble profond
          envahissait mon coeur et mes sens.

          Après avoir passé l'été dans le Tell, nous
          redescendîmes vers le Sahara, ma
          belle et moi.
          Les litières étaient fermées; la poudre
          retentissait; mon cheval gris
          m'entraînait vers Hiziya.
          Ils ont conduit les palanquins des belles, et
          ont campé à Azal, face à Sidi
          Lahcen et à Zerga.
          Ils se sont dirigés vers Sidi Said vers al-
          Matkaouak, puis sont arrivés le soir
          à M'Doukal.
          Ils sont repartis de bon matin, au lever de
          la brise, vers Sidi Mohammed,
          ornement de cette paisible contrée.
          De là, ils ont conduit les litières à
          al-Makhraf. Mon cheval, tel un aigle,
          m'emporte dans les airs,
          en direction de Ben Seghir, avec la belle
          aux bras tatoués.
          Après avoir traversé l'Oued, ils sont passés
          par Al Hanya. Ils ont dressé leurs
          tentes à Rous at-Toual, près du désert.
          L'étape suivante mène à Ben Djellal.
          De là, ils se sont dirigés vers El Besbes, puis
          vers El-Herimek, avec ma bien-aimée
          Hiziya.
          La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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          • #6
            A combien de réjouissances avons-nous
            pris part ! Mon cheval gris,
            disparaissait presque dans l'arène,
            (derrière un rideau de poussière); on
            aurait dit un fantôme.
            Ma belle était grande comme la hampe
            d'un étendard; ses dents, lorsqu'elle
            souriait, formaient une rangée de
            perles; elle parlait par allusions, me
            faisant ainsi comprendre (ce qu'elle
            voulait dire).
            La fille de Hmida brillait, telle l'étoile du
            matin; elle éclipsait ses compagnes,
            semblable à un palmier qui seul,
            dans le jardin, se tient debout, grand
            et droit.
            Le vent l'a déraciné, il l'a arraché en un
            clin d'oeil. Je ne m'attendais pas à
            voir tomber ce bel arbre; je pensais
            qu'il était bien protégé.
            mais j'ignorais que Dieu, souverainement
            bon, allait la rappeler à Lui. Le
            Seigneur a abattu (ce bel arbre).

            je reprends mon récit. Nous avons campé
            ensemble sur l'Oued Ithel; c'est là que
            la reine des jouvencelles me dit
            adieu. C'est cette nuit-là qu'elle passa
            de vie à trépas; c'est là que la belle
            aux yeux noirs quitta ce monde.
            Elle se tenait serrée contre ma poitrine,
            lorsqu'elle rendit l'âme. Les larmes
            remplirent mes yeux, et s'écoulaient
            sur mes joues.
            Je pensais devenir fou, et me mis à errer
            dans la campagne, parcourant tous
            les ravins des montagnes et des
            collines.
            Elle a ravi mon esprit et enflammé mon
            coeur la belle aux yeux noirs, issue
            d'une race illustre.
            On l'enveloppa d'un linceul, la fille de
            notable; ce spectacle a augmenté ma
            fièvre, et ébranlé mon cerveau.
            On la mit dans un cercueil, la belle aux
            magnifiques pendants d'oreilles. Je
            demeurais stupide, ne comprenant
            pas ce qui m'arrivait.
            On l'emporta dans un palanquin, embelli
            par des ornements, la belle, cause de
            mes chagrins, qui était grande telle la
            hampe d'un étendard.
            Sa litière était ornée de broderies
            bigarrées, scintillantes comme les
            étoiles, et colorées comme un arc-en-
            ciel, au milieu des nuages, quand
            vient le soir.
            La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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            • #7
              Elle était tendue de soie et tapissée de
              brocart. Et moi, comme un enfant, je
              pleurais la mort de la belle Hiziya.
              Que de tourments j'ai endurés pour
              celle dont le profil était si pur ! Je ne
              pourrai plus vivre sans elle. Elle est
              morte du trépas des martyrs, la belle
              aux paupières teintées d'antimoine !
              On l'emporta vers un pays nommé
              Sidi Khaled.
              Elle se trouva la nuit sous les dalles du
              sépulcre, celle dont les bras étaient
              ornés de tatouages; mes yeux ne
              devraient plus revoir la belle aux yeux
              de gazelle.
              Ô fossoyeur ! ménage l'antilope du désert;
              ne laisse point tomber de pierres, sur
              la belle Hiziya ! Je t'en adjure, par le
              livre saint, ne fais point tomber de
              terre sur celle qui brille comme un
              miroir. S'il fallait la dis****r à des
              rivaux, je fondrais résolument sur
              trois troupes de guerriers.
              Je l'enlèverais par la force des armes aux
              ennemis. Dussé-je le jurer par la tête
              de la belle aux yeux noirs, je ne
              compterais pas mes adversaires,
              fussent-ils au nombre de cent.
              Si elle devait rester au plus fort, je jure
              que nul ne pourrait me la ravir;
              j'attaquerais, au nom de Hiziya, une
              armée entière.
              Si elle devait être le trophée d'un combat,
              vous entendriez le récit de mes
              exploits; je l'enlèverais de haute lutte,
              devant témoins.
              S'il fallait la mériter au cours de rencontres
              tumultueuses, je combattrais durant
              des années, pour elle.
              Je la conquerrais au prix de persévérants
              efforts, car je suis un cavalier
              intrépide.
              Mais puisque telle est la volonté de Dieu,
              maître des mondes, je ne puis
              détourner de moi cette calamité.
              Patience ! Patience ! J'attends le moment
              de te rejoindre : je pense à toi, ma
              bien-aimée, à toi seule !
              La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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              • #8
                Amis, mon cheval me fendait le coeur,
                lorsqu'il s'élançait en avant (attristé
                par la perte de Hiziya).
                Après la mort de ma bien-aimée, il s'en est
                allé, et m'a quitté.
                Mon cheval était plus rapide que tous les
                autres chevaux du pays; dans les
                échauffourées, on le voyait en tête du
                peloton.
                Quels prodiges n'accomplissait-il pas sur le
                champ de bataille !
                Il se montrait au premier rang. Sa mère
                descendait du fameux Rakby2. (Nom d'un étalon célèbre amené du Maroc par si Ahmed Tidjani )
                Combien il excellait dans les joutes entre
                les douars, à la suite de la tribu en
                marche; je tournoyais avec lui
                insouciant de ma destinée ! Un mois
                plus tard, il m'avait quitté; trente
                jours après Hiziya.
                Cette noble bête mourut; le voilà au fonds
                d'un précipice; il ne survécut pas à
                ma bien-aimée. Tous deux sont partis
                pour toujours.
                Les rênes de mon cheval gris sont tombés
                de mes mains.
                Ô Douleur ! Dieu, en les rappelant à lui,
                m'a enlevé toute raison de vivre.
                Mon âme est près de s'éteindre, après leur
                cruelle perte.
                Je pleure cette séparation, comme pleure
                un amoureux.
                Mon coeur se consume chaque jour
                davantage; ma vie n'a plus de sens.
                Pourquoi pleurez-vous mes yeux ? Nul
                doute que les plaisirs du monde vous
                raviront. Ne me ferez-vous point
                grâce ?
                la belle aux cils noirs a ravivé mes
                tourments; celle qui faisait la joie de
                mon coeur repose sous la terre.
                Je pleure la belle aux dents de perles; mes
                cheveux ont blanchi; et mes yeux ne
                peuvent supporter cette séparation.
                Le soleil qui nous a éclairé, est monté au
                Zénith, se dirigeant vers l'Occident; il
                s'est éclipsé après avoir été le sommet
                de la voûte céleste, au milieu du jour.
                La lune qui se montre à nous, a brillé
                pendant le mois du Ramadhan, puis
                a disparu du ciel, après avoir fait ses
                adieux au monde.
                La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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                • #9
                  Ce poème, je le dédie à la mémoire de la
                  reine du siècle, fille d'Ahmed, et
                  descendante de l'illustre tribu des
                  Douaouda.
                  Telle est la volonté de Dieu, mon Maître
                  Tout-Puissant. Le Seigneur a manifesté
                  sa volonté, et a rappelé à lui Hiziya.
                  Mon Dieu ! Donne-moi la patience;
                  mon coeur meurt de son mal,
                  emporté par l'amour de la belle, qui
                  a quitté ce monde.
                  Elle vaut deux cents chevaux de race, et
                  cent cavales issues de Rakby.
                  Elle vaut mille chameaux; elle vaut une
                  forêt de palmiers des Ziban.
                  Elle vaut tout le pays du Djérid; elle vaut
                  le pays des noirs, et des milliers de
                  Haoussas.
                  Elle vaut les Arabes du Tell et du désert,
                  ainsi que tous les campements des
                  tribus, aussi loin que puissent
                  atteindre les caravanes, voyageant à
                  travers les cols des montagnes.
                  Elle vaut ceux qui mènent la vie
                  bédouine, et ceux qui habitent les
                  continents.
                  Elle vaut ceux qui se sont installés dans
                  des demeures permanentes et mènent
                  une vie de citadins.


                  Elle vaut les trésors, la belle aux beaux
                  yeux; et si cela ne suffit pas, ajoutes-y
                  les habitants des villes.
                  Elle vaut les troupeaux des tribus, les
                  bijoux, les palmiers des oasis, le pays
                  des Chaouias.
                  Elle vaut ce que renferment les océans;
                  elle vaut les Bédouins et citadins
                  vivant au delà du Djebel Amour, et
                  jusqu'à Ghardaïa.
                  Elle vaut, elle vaut le Mzab, et les plaines
                  du Zab, hormis les saints et les
                  marabouts.
                  Elle vaut les chevaux recouverts de riches
                  carapaçons, et l'étoile du soir; cela est
                  peu, trop peu, pour ma bien-aimée,
                  unique remède à mes maux.
                  Je demande pardon au Seigneur; qu'il ait
                  pitié de ce malheureux !
                  Que Mon Seigneur et Maître pardonne à
                  celui qui gémit à ses pieds ! Elle avait
                  23 ans, la belle à l'écharpe de soie.
                  Mon amour l'a suivie; il ne renaîtra
                  jamais dans mon coeur.
                  Consolez-moi de la perte de la reine des
                  gazelles. Elle habite la demeure des
                  ténèbres, l'éternel séjour.
                  La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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                  • #10
                    Jeunes amis ! Consolez-moi de la perte du
                    faucon.
                    Elle n'a laissé que le lieu où sa famille a
                    campé, et qui porte son nom.
                    Bonnes gens ! Consolez-moi de la perte de
                    la belle aux khelkhals d'argent pur; on
                    l'a recouverte d'un voile de pierre
                    reposant sur des fondations bien
                    bâties.
                    Amis ! Consolez-moi de la perte de la
                    cavale de Dyab3 qui n'eut d'autre (l'un des principaux héros de la geste des banou Hilal )
                    maître que moi.
                    J'avais de mes mains, tatoué de dessins
                    quadrillés, la poitrine de la belle à la
                    fine tunique, ainsi que ses poignets.
                    Bleus comme le col du ramier, leurs traits
                    ne se heurtaient pas; ils étaient
                    parfaitement tracés, quoique sans
                    plume; seules mes mains avaient
                    exécuté ce travail.
                    J'avais dessiné ce tatouage entre ses seins,
                    lui donnant d'heureuses proportions.
                    Au-dessus des bracelets qui paraient ses
                    poignets, j'avais écrit mon nom.
                    Même sur ses chevilles, j'avais figuré un
                    palmier !
                    Que ma main l'avait bien dessiné ! Ah ! La
                    vie est ainsi faite !
                    Saiyed, toujours épris de toi, ne te reverra
                    plus; le seul souvenir de ton nom, lui
                    fait perdre ses sens. Pardonne-moi,
                    Dieu compatissant; pardonne aussi à
                    tous les assistants; Saiyed est triste; il
                    pleure celle qui lui était si chère. Aie
                    pitié de l'amoureux, et pardonne à
                    Hiziya; réunis-les dans le sommeil,
                    Seigneur !
                    Ô Dieu, le Très-Haut. Pardonne à
                    l'auteur, qui a composé ce poème; son
                    nom est formé de deux mim, d'un ha
                    et d'un dal (Mohamed).
                    Ô Toi qui connais l'avenir ! Donne la
                    résignation à cet homme, qui est fou
                    (de douleur); je pleure comme un
                    exilé; mes larmes apitoieraient même
                    mes ennemis.
                    Je ne mange plus; toute nourriture m'est
                    devenue insipide; mes paupières ne
                    connaissent plus le sommeil.
                    Cette pièce a été composée trois jours
                    seulement après la mort de celle qui
                    me fit ses adieux, et ne revint plus
                    vers moi.

                    Ô vous qui m'écoutez ! Ce poème a été
                    achevé en 1295 de l'Hégire4. (fin de l'année 1878 ap. J. C.)Ould Seghir a composé, au mois de l'Aid
                    El-Kebir, cette chanson.
                    A Sidi Khaled ben Sinan, Ben Guittoun a
                    chanté celle que vous aviez vue
                    vivante.




                    La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde

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                    • #11
                      It's so nice from you !
                      Une énorme recherche pour nous toutes et tous !
                      J'aime énormément cette chanson ! tout la musique le rythme, l'histoire et l'ambiance ...
                      Je vais copier le texte pour le garder et le transmettre à mes enfants ... Merci beaucoup passionnée

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