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samedi 25 mars 2006, 22h08
Trois personnes dont le maire d'une commune tuées à l'est d'Alger
ALGER (AP) - Trois personnes, dont le maire d'une commune, ont été tuées par des islamistes armés dans la région de Boumerdès, à une cinquantaine de kilomètres à l'est d'Alger, a annoncé samedi soir le quotidien "Liberté" sur son site Internet.
Le maire de Bouchoud a été assassiné au cours de la nuit de vendredi à samedi par un jeune de 16 ans, qui a rejoint récemment les rangs du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), affirme le journal en citant des sources au sein des services de sécurité.
Agé de 48 ans, et père de trois enfants, le maire se trouvait devant son domicile quand il a été surpris par l'assaillant qui lui a tiré une balle dans la nuque avec son pistolet automatique, avant de prendre la fuite en compagnie d'autres éléments du groupe proches du lieu de l'attentat, selon le quotidien "Liberté", qui a fait état de l'arrestation de l'adolescent.
Au cours de la même nuit, des éléments armés appartenant au GSPC ont tué deux personnes et en ont blessé deux autres dans la commune de Sidi Daoud (30km à l'est de Boumerdès), a ajouté "Liberté". Les deux personnes décédées sont un paysan âgé de 18 ans et un chauffeur de camion d'une entreprise.
Par ailleurs, la presse algérienne a rapporté samedi la mort de quatre paysans, tués jeudi par balles par un groupe islamiste armé à Bouarfa, près de Blida (50km à l'ouest d'Alger).
Ce regain de violence intervient alors que "la charte pour la paix et la réconciliation nationale", qui accorde une grâce aux détenus islamistes impliqués dans des actions terroristes, pendant les années 1990, est entrée en application depuis un mois. AP
Trois personnes dont le maire d'une commune tuées à l'est d'Alger
ALGER (AP) - Trois personnes, dont le maire d'une commune, ont été tuées par des islamistes armés dans la région de Boumerdès, à une cinquantaine de kilomètres à l'est d'Alger, a annoncé samedi soir le quotidien "Liberté" sur son site Internet.
Le maire de Bouchoud a été assassiné au cours de la nuit de vendredi à samedi par un jeune de 16 ans, qui a rejoint récemment les rangs du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), affirme le journal en citant des sources au sein des services de sécurité.
Agé de 48 ans, et père de trois enfants, le maire se trouvait devant son domicile quand il a été surpris par l'assaillant qui lui a tiré une balle dans la nuque avec son pistolet automatique, avant de prendre la fuite en compagnie d'autres éléments du groupe proches du lieu de l'attentat, selon le quotidien "Liberté", qui a fait état de l'arrestation de l'adolescent.
Au cours de la même nuit, des éléments armés appartenant au GSPC ont tué deux personnes et en ont blessé deux autres dans la commune de Sidi Daoud (30km à l'est de Boumerdès), a ajouté "Liberté". Les deux personnes décédées sont un paysan âgé de 18 ans et un chauffeur de camion d'une entreprise.
Par ailleurs, la presse algérienne a rapporté samedi la mort de quatre paysans, tués jeudi par balles par un groupe islamiste armé à Bouarfa, près de Blida (50km à l'ouest d'Alger).
Ce regain de violence intervient alors que "la charte pour la paix et la réconciliation nationale", qui accorde une grâce aux détenus islamistes impliqués dans des actions terroristes, pendant les années 1990, est entrée en application depuis un mois. AP
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