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Révélations. Les relations algéro-italiennes au centre de la lutte des clans du Pouvoir algérien

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  • Révélations. Les relations algéro-italiennes au centre de la lutte des clans du Pouvoir algérien

    Renvoyé depuis 2008, le second Sommet algéro-italien aura-t-il lieu un jour? La question taraude les milieux diplomatiques et le contexte aussi bien algérien qu’italien n’est pas propice à une relance effective des relations entre les deux pays.

    On se souvient que le Premier ministre italien Silvio Berlusconi avait annulé sa visite en Algérie prévue pour le 19 octobre dernier. Officiellement, la raison évoquée était la méforme de Berlusconi qu’on disait toujours en convalescence après une intervention chirurgicale qu’il avait subie suite à une tendinite à la main gauche.

    Une explication qui n’a pas convaincu grand monde puisque les protocoles d’organisation des visites de Chefs d’Etat requièrent un minimum de prévoyance et d’anticipation et les dates annoncées ne peuvent être annulées ou reportées au dernier moment, sauf pour des imprévus, ce qui n’est pas le cas pour la visite d’El-Cavalièré.

    Du coup, l’affaire a vite pris les allures d’une «crise» entre Alger et Rome et les spéculations vont bon train. Dans les milieux diplomatiques, ce énième report du Sommet algéro-italien est perçu comme un dommage collatéral de l’enquête et du procès attendu de l’affaire Sonatrach. En effet, dans les scandales de Sonatrach, les firmes italiennes ont souvent été citées comme partie prenante aux présumées magouilles ayant entaché le processus d’attribution de marchés publics.

    Le cas de la firme «Saïpem» est saisissant à cet égard avec un scénario à la hollywoodienne marqué par des attributions forcées de marchés publics déjà octroyés à d’autres entreprises, du favoritisme inexplicable et une escapade plus que douteuse de son patron Tullio Orsi qui a bien pris le soin de vider les caisses de son entreprise avant de rallier l’Italie.

    Dans son livre «Histoires secrètes du pétrole algérien», Hocine Malti parle bien du cas «Saïpem». Il y raconte, notamment, que la firme italienne avait raflé, en Algérie, pour près de 20 milliards de dollars de contrats publics en moins de 3 ans. Une épopée tout à fait douteuse pour une société qui s’est installée en Algérie en 2005.

    M. Malti explique aussi comment «Saïpem» s’est vu attribué un marché déjà accordé à la firme nippone JGC et comment cette dernière a du se plier à la volonté algérienne en contrepartie d’un autre projet. L’auteur explique qu’une telle accumulation de contrats et un tel favoritisme ne pouvaient qu’attirer l’attention du clan adverse, comprendre celui du DRS et du Général Toufik.

    «Saïpem» a-t-elle servie de moyen de détournement à certains proches du clan présidentiel ? Le DRS veut-il capoter les relations entre Alger et Rome à cause d’une lutte d’influence sur le contrôle de la rente ? Tous les coups sont permis dans un contexte particulièrement agité, marqué par des luttes claniques au sein du pouvoir en préparation de l’après Bouteflika …

    Yasmina B.

    algerie focus
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

  • #2
    Une explication qui n’a pas convaincu grand monde
    si si, elle avait totalement convaincu certains de nos amis forumistes...

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    • #3
      Pourquoi on travaille avec des pays qui aiment bosser avec la corruption ?

      Pourquoi on ne bosse pas avec les pays comme les pays nordiques, le Canada, ...
      «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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      • #4
        misterover c est le grand mystere ca

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        • #5
          Pourquoi on travaille avec des pays qui aiment bosser avec la corruption ?

          Pourquoi on ne bosse pas avec les pays comme les pays nordiques, le Canada, ...
          Parce que ton gouvernement ne cherche pas a forger des relations commerciales benefiques a l'Algerie, il cherche a forger des relations diplomatiques favorables aux positions algeriennes. Voila pourquoi. C'est la difference entre avoir une mission technocrate et avoir une mission ideologique.

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          • #6
            @Ayoub : QUoi ? Tu sors d'où toi ?

            Mon gouvernement, hadi chaba, c'est la meilleure d'ailleurs.

            Tu es d'où toi ? SI tu as la nationalité avec un classement PNUD < 50, je peux te parler, sinon tu es mal placé pour parler du sujet.
            «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

            Commentaire


            • #7
              @Ayoub : QUoi ? Tu sors d'où toi ?

              Mon gouvernement, hadi chaba, c'est la meilleure d'ailleurs.
              Pardon, t'as raison, le gouvernement des generaux

              Tu es d'où toi ? SI tu as la nationalité avec un classement PNUD < 50, je peux te parler, sinon tu es mal placé pour parler du sujet.
              Merci votre sainteté de m'accorder 3 secondes. regardes, je vais parler du sujet la:

              Les relations italo-algeriennes sont de relations entre 2 mafias au pouvoir, c'est normal qu'elles ne s'entendent pas sur la part de gateau a partager.

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              • #8
                . Les relations italo-algeriennes sont de relations entre 2 mafias au pouvoir,
                @ ayoub7
                L essentiel ! l economie et les coopérations passent entre les deux pays mieux que l ex-colon : la France !
                ( - ) + ( - ) = + !
                Dernière modification par houari16, 29 octobre 2010, 23h24.
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  Dans son livre «Histoires secrètes du pétrole algérien», Hocine Malti parle bien du cas «Saïpem». Il y raconte, notamment, que la firme italienne avait raflé, en Algérie, pour près de 20 milliards de dollars de contrats publics en moins de 3 ans. Une épopée tout à fait douteuse pour une société qui s’est installée en Algérie en 2005.
                  du n'importe quoi!!!! celui qui a ecrit cette chose n'a rien à voir avec le journalisme ni le monde du petrole en algérie. Saipem-ENI est installée en algérie depuis plus de 30 ans.

                  oui quand la corruption quand elle est prouvée, pas uniquement radio trottoire, il faut la dénoncer. mais l'incompétance de ceux qui ce disent journaliste aussi.

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