Vendredi, 29 Octobre 2010 13:34
Selon une information parue sur le portail de militants d’extrême gauche « Bellaciao», un jeune musulman de 16 ans originaire de Melilla et répondant au prénom de Younès, aurait été tué la nuit dernière par une balle en caoutchouc tirée à bout portant par la Garde Civile espagnole dans le quartier musulman « La Canada de Hidume ». Un membre de la « Guardia Civil » aurait ensuite tenté commentaire n‘a filtré de la part des autorités espagnoles quant à la mort présumée du jeune homme. Les différents services de sécurité espagnols ont été sérieusement secoués par les violentes émeutes qui ont éclaté à Melilla, l’enclave espagnole dans le nord du Maroc. Ni la Guardia Civil, ni aucun autre service dans la péninsule ibérique n’a pu anticiper le déchaînement de violences qui a opposé les jeunes d’origine marocaine aux forces de l’ordre, faisant des blessés des deux côtés et d’importants dégâts matériels. Devant la crainte de voir les manifestations prendre davantage d’ampleur ou, pire, de s’étendre à Ceuta, l’autre enclave espagnole sur la façade méditerranéenne marocaine, des responsables des services du renseignement espagnols ont été dépêchés d’urgence sur place. De son côté, la délégation du gouvernement espagnol dans l’enclave s’est employée à donner des émeutes l’image d’une simple revendication d’emploi, au moment où les jeunes autochtones réclament la reconnaissance de leurs droits en tant qu’enfants natifs de Melilla. Plus qu’une discrimination, ils s’estiment victimes d’une injustice dans leur propre pays. Pour eux, les quelques milliers d’emplois offerts par la municipalité de Melilla doivent aller aux enfants du pays d’abord, au lieu d’en faire bénéficier les espagnols en provenance de Malaga ou d’Almeria.
Selon une information parue sur le portail de militants d’extrême gauche « Bellaciao», un jeune musulman de 16 ans originaire de Melilla et répondant au prénom de Younès, aurait été tué la nuit dernière par une balle en caoutchouc tirée à bout portant par la Garde Civile espagnole dans le quartier musulman « La Canada de Hidume ». Un membre de la « Guardia Civil » aurait ensuite tenté commentaire n‘a filtré de la part des autorités espagnoles quant à la mort présumée du jeune homme. Les différents services de sécurité espagnols ont été sérieusement secoués par les violentes émeutes qui ont éclaté à Melilla, l’enclave espagnole dans le nord du Maroc. Ni la Guardia Civil, ni aucun autre service dans la péninsule ibérique n’a pu anticiper le déchaînement de violences qui a opposé les jeunes d’origine marocaine aux forces de l’ordre, faisant des blessés des deux côtés et d’importants dégâts matériels. Devant la crainte de voir les manifestations prendre davantage d’ampleur ou, pire, de s’étendre à Ceuta, l’autre enclave espagnole sur la façade méditerranéenne marocaine, des responsables des services du renseignement espagnols ont été dépêchés d’urgence sur place. De son côté, la délégation du gouvernement espagnol dans l’enclave s’est employée à donner des émeutes l’image d’une simple revendication d’emploi, au moment où les jeunes autochtones réclament la reconnaissance de leurs droits en tant qu’enfants natifs de Melilla. Plus qu’une discrimination, ils s’estiment victimes d’une injustice dans leur propre pays. Pour eux, les quelques milliers d’emplois offerts par la municipalité de Melilla doivent aller aux enfants du pays d’abord, au lieu d’en faire bénéficier les espagnols en provenance de Malaga ou d’Almeria.
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