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Hyperactivité chez l’enfant : La Ritaline et ses risques !

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  • Hyperactivité chez l’enfant : La Ritaline et ses risques !

    Nous aimons tous les enfants actifs, vivants et pleins d’énergie, c’est même un signe de bonne santé…..Mais attention ! Tout ce qui dépasse ses limites est redoutable et entre dans la catégorie du "pas normal". C’est pourquoi, quand un enfant est très, trop hyperactif, il faut se poser des questions.

    ====
    Quelques 5% des enfants souffriraient d’hyperactivité, une maladie chronique affectant leur comportement. un enfant dit hyperactif est incapable de se concentrer sur une tâche et ne tient pas en place, au désespoir des maîtres et des parents.
    Des psychiatres leur prescrivent des médicaments appartenant à la classe des amphétamines. Les amphétamines agissent au niveau des transmetteurs dans le système nerveux, et stimulent l’activité d’un des transmetteurs les plus importants, la dopamine. Alors que les neuroleptiques inhibent la transmission de la dopamine, les amphétamines font exactement le contraire. Étonnant, quand on sait que les médecins hésitent parfois entre étiqueter un enfant comme "psychotique" ou comme "hyperactif"...

    La Ritaline est-elle vraiment efficace ? Certains parents assurent qu’elle leur a apporté un grand soulagement... Mais ce médicament est loin de faire l’unanimité parmi les pédopsychiatres. La seule chose qui soit sûre, c’est que pour l’entreprise Novartis, qui produit la Ritaline, ce médicament représente des bénéfices considérables...

    Nous donnons ici la parole à Peter Breggin, un psychiatre étasunien engagé depuis des décennies contre les abus de la psychiatrie médicamenteuse.

    Informations importantes sur la Ritaline et l’hyperactivité :

    (Ce texte figure en annexe de "Talking Back to Ritalin", de Peter Breggin (1), et peut être reproduit librement, afin que le public soit informé des risques inhérents à ce médicament. Il doit être diffusé dans son intégralité, avec mention de son origine, gratuitement).
    Plusieurs millions d’enfants sont traités avec de la Ritaline, ou d’autres stimulants, parce qu’ils sont hyperactifs (2). Il souffrent d’inattention et d’impulsivité. Ces stimulants s’appellent : Ritaline, (methylphenidate), Dexedrine et DextroStat (dextroamphetamine or d-amphetamine), Adderall (d-amphetamine mixture d’amphétamine), Desoxyn and Gradumet (methamphetamine), ou Cylert (pemoline). A l’exception du Cylert, tous ces médicaments ont des effets similaires, qu’il s’agisse des effets secondaires ou primaires. La Ritaline et les amphétamines peuvent, dans la plupart de leurs utilisations, être considérées comme une même sorte de médicament.

    Le nombre d’enfants traités avec ces médicaments s’est multiplié ces dernières années. La Ritaline et les autres amphétamines ont presque les mêmes effets indésirables sur le cerveau, l’esprit et le comportement. Notamment : désordres du comportement, psychoses, manies, abus de drogues ou de médicaments, et dépendance.

    La Ritaline et les amphétamines provoquent souvent les maux auxquels elles sont censées remédier : inattention, hyperactivité, et impulsivité.

    De nombreux enfants deviennent léthargiques, déprimés. Ils font penser à des robots. La Ritaline peut provoquer des tics neurologiques permanents, y compris le syndrome de Gilles de la Tourette.

    La Ritaline peut retarder le développement des enfants en perturbant les cycles d’hormones de croissance produits par l’hypophyse (3).
    La récente découverte des effets cancérigènes de la Ritaline essayée sur certains animaux n’a pas été prise suffisamment au sérieux ni par la compagnie qui produit le médicament, ni par l’administration fédérale des médicaments (4).

    La Ritaline provoque régulièrement des malformations importantes dans le cerveau de l’enfant. Il a été démontré par des tests scientifiques contrôlés que la Ritaline provoque un rétrécissement (atrophie) ou d’autres anomalies physiques permanentes du cerveau.

    Le sevrage de la Ritaline peut provoquer des souffrances psychiques telles des dépressions, de l’épuisement, ou des tendances suicidaires. Ces effets peuvent inciter l’entourage des enfants à prescrire à nouveau le médicament, à fortes doses.

    La Ritaline provoque une dépendance qui peut en entraîner d’autres. Elle est souvent utilisée comme drogue récréative, tant par des enfants que par des adultes.

    L’hyperactivité et la Ritaline sont des lubies étasuniennes et canadiennes. Les États-Unis consomment 90% de la Ritaline produite dans le monde. La compagnie CibaGeneva Pharmaceuticals (également connue comme Ciba-Geigy Coorporation), une division de Novartis, produit la Ritaline et tente d’étendre le marché à l’Europe et au reste du monde (5).

    La Ritaline "fonctionne" en provoquant des dommages au cerveau plutôt qu’en améliorant les fonctions du cerveau. Elle fonctionne uniquement de cette manière.

    A court terme, la Ritaline inhibe la créativité et la spontanéité chez les enfants. Elle les rend plus dociles et obéissants, plus à mêmes de mener à bien des tâches monotones et ennuyeuses, telles l’étude en classe ou les travaux à domicile.

    A court terme, la Ritaline n’a pas d’effets positifs sur la psychologie de l’enfant, ses performances scolaires ou autres réalisations. Ceci a été confirmé par de nombreuses études.

    A long terme, au-delà de plusieurs semaines, la Ritaline n’a pas d’effets positifs sur aucun des aspects de la vie d’un enfant.

    Étiqueter des enfants comme hyperactifs et les traiter à la Ritaline peut limiter leurs futurs choix professionnels, et les stigmatiser à vie. Cette étiquette peut ruiner leur estime de soi et les décourager ainsi de développer leur plein potentiel.

    Il n’y a aucune preuve solide que l’hyperactivité soit une maladie organique.

    Plusieurs études confirment que des problèmes psychologiques liés à l’environnement des enfants concernés provoquent des symptômes de ce qu’on appelle l’hyperactivité.

    Il est possible qu’un petit nombre d’enfants souffrent des symptômes de l’hyperactivité en raison de troubles organiques, tels l’empoisonnement par le plomb, une intoxication médicamenteuse, l’épuisement, ou des traumatismes au cerveau. Ces facteurs organiques pourraient être plus fréquents dans les milieux défavorisés des États-Unis.

    Il n’y a aucune preuve quant à l’existence d’anomalies physiques dans le corps ou le cerveau d’enfants étiquetés comme hyperactifs. Ils ne souffrent pas de déséquilibres biochimiques.

    L’hyperactivité est un diagnostic controversé, reposant sur une base scientifique faible, voire inexistante. Un parent, enseignant ou médecin peut en toute bonne conscience refuser d’appliquer ce diagnostic à un enfant.

    Novartis dépense des millions de dollars pour vendre l’idée d’utiliser la Ritaline à des groupes de parents et à des médecins. Novartis soutient l’association CH.A.D.D. (Children and Adults with Attention-Deficit/Hyperactivity Disorder) (6) et les organisations de psychiatres.

    Aux États-Unis, le département de l’éducation et l’institut national pour la santé mentale (NIMH) (7) pousse à l’utilisation de la Ritaline avec autant de vigueur que le producteur du médicament, souvent en usant de termes encore plus enthousiastes que ceux que Novartis peut se permettre sans tomber dans l’illégalité.

    Notre société a institutionnalisé l’abus de médicaments parmi nos enfants.

    Pire : nous les maltraitons avec ces médicaments au lieu de faire un effort pour mieux répondre à leurs besoins.

    Sur le long terme, nous leur donnons une très mauvaise leçon en leur laissant croire que les médicaments sont une réponse à tous leurs problèmes émotionnels.

    Le contenu du présent résumé est documenté, avec des citations extraites de la littérature scientifique, dans Talking Back to Ritalin. Le livre explique comment venir en aide sans médicaments aux enfants étiquetés hyperactifs, en déterminant leur besoins, en s’efforçant de les combler, et en améliorant leur vie à l’école et en famille.

    - Publié par : e-Torpedo

  • #2
    Bonjour
    Merci bien pour ces informations précieuses … je voudrais poser une petite question sur ce sujet car j'ai un frère qui a ce cas "hyperactivité" depuis son enfance , il a maintenant 13 ans, il a tout les symptômes d'un hyperactif ! " … un enfant dit hyperactif est incapable de se concentrer sur une tâche et ne tient pas en place, au désespoir des maîtres et des parents …".
    Comment faire pour comporter avec ce cas …? Es ce qu'il y a des centres spéciales qui aidant ( en Algérie bien sure ) ? .. je voudrais leurs adresses ou téléphones...
    Merci beaucoup d'avance .. j'attends votre réponse prochainement ….

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    • #3
      Comment bien vivre avec un enfant hyperactif ?

      Comment faire pour comporter avec ce cas …?
      Le comportement à adopter ?

      Turbulent, inattentif, dangereux pour lui-même et pour les autres, souvent épuisant pour les parents, l'enfant diagnostiqué hyperactif nécessite une prise en charge et une attention bien particulières. Comment se comporter au quotidien face à cette petite tornade ?
      Voici qqs conseils trouvés (résumés) sur le site magicmaman :

      En sus des traitements médicamenteux et alimentaires, l'enfant diagnostiqué hyperactif a surtout besoin d'une éducation, d'une discipline et d'un soutien psychologique de la part de ses parents et du personnel éducatif.

      En effet, il faut savoir que l'hyperactivité peut être aggravée par des attitudes éducatives inadaptées. D'où la nécessité de s'astreindre à quelques règles de vie pour améliorer la sienne, et la vôtre.

      En premier lieu, ne pas culpabiliser. Le TDAH ne provient pas d'une mauvaise éducation, de parents laxistes ou trop sévères. De plus, certains parents peuvent se sentir impuissants, épuisés, découragés, voire dépressifs. Une aide psychologique peut dans ces cas être utile.

      Positiver l'image de l'enfant. Au lieu de le considérer comme hyperactif, disons qu'il est énergique. Il n'est pas impulsif mais spontané, etc. Dans l'autre sens, il est important de lui parler de façon positive, de l'encourager plutôt que de le blâmer. Un "habille-toi vite, tu vas nous mettre en retard !" peut être remplacé par un "nous partons dans trois minutes pour l'école, mets tes chaussures et ton manteau s'il te plaît".

      Etre prévisible
      » Son emploi du temps doit être parfaitement organisé, ainsi que celui de toute la maison. Des structures claires, bien encadrées et répétées favoriseront l'apprentissage de l'enfant hyperactif. Telle activité doit se faire à telle heure dans telle pièce, le dîner se fait tous les jours à la même heure, etc.
      » Donner l'exemple. S'énerver à la première occasion ne l'encouragera pas à avoir une conduite exemplaire. Il est important de s'en tenir à ce qui a été dit et à ne pas sortir de ses gonds. Il est primordial d'être prévisible et routinier. Si un jour il est puni pour avoir cassé un vase et que le lendemain rien ne se passe pour une bêtise similaire, il ne comprendra pas.

      Des consignes simples et claires

      » Une chose à la fois ! Cet adage n'a jamais été aussi vrai que pour les enfants hyperactifs. Le surcharger de consignes ou d'exercices ne sert à rien et est contreproductif. Les consignes sont pour lui du charabia, ils n'apprennent pas de leurs erreurs et ont une attention très brève. Seules des instructions simples, unitaires, claires et précises pourront être retenues. Au besoin, elles peuvent être écrites. Autre chose, ne pas donner de nouvelle consigne tant que la première n'a pas été exécutée.

      » Si jamais il adopte une attitude de défiance, ne respecte pas les consignes ou s'énerve, il doit être conduit fermement, mais sans violence, dans sa chambre ou dans une pièce au calme, sans stimuli particulier (télévision, jeux vidéos, ordinateurs, etc.). Cela l'aidera, autant qu'à vous, à retrouver une attitude calme et posée.

      » Sensible et très excité par tous les stimuli extérieurs, il faut lui limiter au possible la télévision, les jeux vidéos sans toutefois le priver complètement de ces plaisirs. Une heure de jeux vidéos peut par exemple récompenser une bonne conduite.

      Récompensez-le et responsabilisez-le, c'est bon pour la confiance
      » Il faut le responsabiliser et éviter à tout prix de l'infantiliser. Lui confier des petites tâches lui feront sentir qu'il est utile : faire son lit, sortir les poubelles (mais surtout pas épousseter les bibelots) par exemple.

      » Récompenser ses comportements positifs, aussi minimes soient-ils. En effet, il pourra finir par associer une bonne conduite à la récompense. Un système similaire aux images à l'école peut être très utile. Par exemple, à chaque bonne conduite, un jeton, et au bout de 10 jetons, il pourra regarder la télévision, 20 jetons inviter des amis à dormir, etc. Préférer les récompenses sociales plutôt que matérielles. D'autre part, cela pourra lui donner confiance en lui. En effet, à force de subir de perpétuelles remontrances, les enfants ont tendance à dégrader l'image qu'ils ont d'eux-mêmes.

      » Eviter les punitions corporelles et celles qui le privent d'une joie essentielle pour lui (son ballon de football, ses pokemon, etc.). Préférer les punitions brèves dans le temps et modérées. Dans tous les cas, il faut rester calme, patient et ferme !

      Es ce qu'il y a des centres spéciales qui aidant ( en Algérie bien sure ) ? .. je voudrais leurs adresses ou téléphones...
      Je ne suis pas renseignee, mais je vais me renseigner sur le sujet.

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      • #4
        Autre chose...

        S'assurer de son hyperactivité, pour cela il est bon de savoir :


        Qu'est-ce que l'hyperactivité chez l'enfant ?

        Agitation, manque d'attention, problèmes scolaires : l'hyperactivité touche 5% des enfants. Pourtant, si votre enfant est un peu turbulent, ne criez pas immédiatement à l'hyperactivité. Le point avec le Docteur Bange, médecin attaché à l'hôpital Robert Debré et spécialiste de cette maladie.

        définition de l’hyperactivité ?

        L’hyperactivité est un regroupement de symptômes qui se traduisent par de l’agitation, de l’impulsivité et des troubles de l’attention. C’est une pathologie chronique -un enfant peut être hyperactif si ces troubles durent pendant au moins 6 mois- et qui commence tôt, vers l’âge de 6-7 ans. C’est d’ailleurs en général à l’entrée de l’école primaire que le problème devient visible.

        Comment l’hyperactivité se manifeste-t-elle ?

        L’enfant hyperactif souffre des mêmes problèmes dans tous les domaines de la vie : en famille, à l’école, avec les autres enfants et dans les loisirs. Il n’écoute pas ce qu’on lui dit, il est un élément perturbateur. Ce sont des problèmes qui ne sont pas liés à une seule circonstance, à un seul milieu donné.


        Les trois particularités de l'enfant hyperactif

        Un enfant hyperactif n'est pas seulement un enfant agité. Il est bien plus que cela. Son énergie n'est pas utilisée de la même manière que celle d'un autre enfant. Mal canalisée, elle déborde, allant jusqu'à handicaper gravement la vie quotidienne. Trois critères permettent de détecter une réelle hyperactivité…

        1/ L'inattention

        Cet enfant n'arrive pas à se concentrer sur une tâche précise. Il saute du coq à l'âne, change d'activité, zappe, se laisse distraire sans arrêt. Et cela d'autant plus que la tâche en question lui semble ennuyeuse ! Évidemment, les devoirs scolaires sont en première ligne ! Il saute sur n'importe quelle occasion pour fuir la corvée : un bruit extérieur, le téléphone, une idée qui lui passe par la tête…
        D'autre part, à cause de cette inattention, il a du mal à écouter une règle du jeu par exemple, ou des consignes.

        2/L'impulsivité

        Cet enfant est très rapide, trop ! Quand il est dans de bonnes dispositions, il est déjà parti vous rendre service avant que vous lui ayez expliqué complètement de quoi il s'agit !
        Et puis, il est rapide dans ses actes, dans ses décisions, ne prenant pas le temps d'en envisager les conséquences. Il peut ainsi facilement se mettre en danger ! Il est aussi très impulsif dans ses gestes, et du coup, il casse tout…
        Comme il est rapide, il bâcle, écrit mal, manque de soin, évite l'effort et va toujours au plus simple.
        Cette impulsivité fait qu'il ne sait pas attendre. Vous lui promettez le cinéma, c'est tout de suite… ou il vous harcèle !
        Il paraît donc souvent très mal élevé, interrompt les adultes, ne les écoute pas, casse tout et leur demande beaucoup d'énergie pour essayer de le canaliser !

        3/ L'agitation

        Cet enfant a l'air monté sur ressorts. Il est toujours en train de bouger, de gigoter, ne tient pas en place. C'est très perturbant à l'école où il ne peut pas rester concentré et immobile. Il préfère donc, bien entendu, les activités physiques où là encore, il est difficile à canaliser.

        Au total, il est important de comprendre que l'hyperactivité est une conséquence de l'inattention et l'impulsivité. C'est un mode de fonctionnement particulier. En effet, beaucoup d'enfants sont très actifs, voire agités, très physiques, sans qu'on puisse parler vraiment d'hyperactivité en termes d'anomalie à soigner !

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        • #5
          J'ai croisé, pas plus tard que cet été, un enfant présentant tout les signes de l'hyperactvité. En plus d'être turbulent, il est extrêmement violent! en fait, il s'exprime a travers des gestes violents, des coups de pieds, des insultes...au grand désespoir de ses parents, de sa mère surtout qui n'hésite pas a le réprimander par des coups...et elle y va fort!...ce qui n'est pas du tout une solution évidement. J'ai eu l'occasion de garder ce petit, agé de 5 ans et demi, et ce qui m'a beaucoup surpris, c'est que lorsqu'on lui parle calmement ou que l'on attire son attention sur un sujet qui l'intéresse, il change complètement d'attitude! ça redevient un enfant "plus ou moins" calme qui interagit presque normalement. Dans le cas de cet enfant, en plus de souffrir d'hyperactivité, ce qui n'arrange pas les choses, c'est l'attitude négligente de ses parents qui ne lui imposent aucune limite, ils n'interviennent que pour lui rentrer dedans...ce qui est le plus choquant, c'est que les deux parents sont médecins!
          Dernière modification par kikoz, 10 octobre 2008, 13h57.
          kikoz un jour, koz toujours.

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          • #6
            merci beacoup Mr Thirga.ounevdhou pour les informations ... elles sont vraiment utiles ...
            j'attends tout nouveu dans ce cas ....

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            • #7
              pour la ritaline ... es ce que ses risques sont à long terme .. veut dire que l'utilisation de la ritaline dans une période limitée n'est pas dangereuse ??!
              que pensez vous sur ce traitement : LTO3
              http://www.harmonie-vitale.com/massa...21/2/lto3.html ??
              Dernière modification par mirou, 11 octobre 2008, 00h53.

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              • #8
                ce qui est le plus choquant, c'est que les deux parents sont médecins!
                C’est désolant, c'est attristant de la part de parents « Medecins » sensés donner conseil et apporter de l’aide aux autres..... alors comment ne pas commencer par eux même ?!!!

                Merci pour le temoignage.

                @ mirou : Y a pas de quoi, c’est avec plaisir.

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                • #9
                  ok

                  ce traitement c du lithiume.....!!!!?
                  en plus monsieur mirou je vous conseil de voire un psychologue clinicien ,car ces cas n'ont pas de solution medicamenteuse les medicaments sont symptomatique dans plusieur cas (d'hyperkinètique) ,leur seul therapie et solution c'est la (T.T.C)!!!!?
                  parceque leur probleme est dû a la mauvaise interaction comportemental mère-enfant au premier 5 ans de ça vie!?.
                  alore il fallait bien que tu sache que le probleme est psychique.
                  consultè un psycho et ça ira tres bien!?
                  inchallah.
                  Dernière modification par kims24, 25 novembre 2008, 23h25.
                  הדבר הכי טוב מהמאוד חזק שלנו הד.ו.נ. שלי?, זה טוב זה שלי ? פאוס

                  Commentaire


                  • #10
                    ce qui m'a beaucoup surpris, c'est que lorsqu'on lui parle calmement ou que l'on attire son attention sur un sujet qui l'intéresse, il change complètement d'attitude! ça redevient un enfant "plus ou moins" calme
                    C'est ce que je remarque aussi chez ces enfants....c'est le fait de leur crier tout l temps dessus, de les punir systèmetiquement qui les rend ainsi nerveux.........alors qu'il suffit de se montrer patient avec eux, de leur parmer calmement pour s'apercevoir de la différence.....

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                    • #11
                      a mon frere kikoz

                      frero kikoz,ne jamais juger un enfant de(4-13)qu'il est hyperkinètique!!

                      ne jamais confondre entre l'hyperkinesie et le comportement actifs d'un enfant au cours dedeveloppement psychique ou physique,c'est vraiment defficile de diagnostiquè entre la pathologie et la normal a cette age là.
                      seul les spècialistes(psychologue-psychiatre)qui pourrait mettre un diagnostique exacte!
                      Ce qui ne doit pas être pri pour une hyperactivité:;
                      De nombreux enfants peuvent présenter des troubles de l'attention ou des comportements agités.
                      L'enfant normalement turbulent : il aime courir, sauter, escalader, pédaler ... Mais cette activité motrice est en rapport avec son âge et le contexte.
                      L'hyperactivité secondaire à une autre pathologie connue (somatique ou psychiatrique) ou à un traitement particulier : l'hémiplégie infantile, certains syndromes génétiques (syndrome de l'X fragile, syndrome de Williams...), des lésions cérébrales (traumatismes, épilepsies) ou des maladies endocriniennes, les traitements par corticoïdes, psychotropes, antiallergiques.
                      L'hyperactivité peut également être secondaire à des troubles graves du développement : troubles envahissants du développement, troubles du spectre autistique et syndrome ­d'Asperger.
                      D'autres troubles psychopathologiques doivent aussi être éliminés : dépression de l'enfant, enfant souffrant de retard mental, enfant anxieux, enfant surdoué, etc.
                      alore mon chère kikoz il faut prendre tout ça en compte !
                      Dernière modification par kims24, 25 novembre 2008, 23h56.
                      הדבר הכי טוב מהמאוד חזק שלנו הד.ו.נ. שלי?, זה טוב זה שלי ? פאוס

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