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**kenzy** · 30 octobre 2010, 20h11

c'est un bon créneau surtout que le territoire est très ensoleillé
mais sans une politique qui encourage et qui va dans ce sens un tel projet ne risque pas d'être rentable
déjà a priori il y a des facteurs qui bloquent ,

déjà le facteur matériel :
- si les clients visées sont des particuliers , le pouvoir d'achat ne permettrai pas a l'algérien lambda de s'équiper de ce système .

-l'électricité en algerie n'est pas cher du tout , ça ne vaudra pas la peine pour le consommateur de dépenser autan pour des panneaux solaires

- deja même en Europe ou le pouvoir d'achat et plus élevé , et où le prix de l'énergie est énormément plus élevé, et ou il existe des subventions , les gens n'accourent pas car pas assez rentable

coté logistique d'après ce que j'ai entendu c'est tres compliqué , ça demande des compétences et formations récentes

mais toujours est il que le domaine des énergies renouvelables est en pleine expression et si un opérateur algérien aurait assez de force et d'expérience pour viser l'export , avec une main d'œuvre aussi peu couteuse et si abondante , si elle venait a être formé , ça ne pourrai que lui réussir

**noubat** · 30 octobre 2010, 20h24

c'est aujourd'hui que l'on doit préparer demain,

**Sioux foughali** · 30 octobre 2010, 21h46

2 articles

Le photovoltaïque en méditerranée : Sonelgaz prévoit un programme ambitieux

Le photovoltaïque en méditerranée : Sonelgaz prévoit un programme ambitieux

Les pays méditerranéens veulent jouer un rôle industriel dans le secteur du photovoltaïque dans l’avenir.

Désormais, le photovoltaïque dans le Bassin méditerranéen et le Sud de l’Europe ne se limite plus aux seules fermes solaires mais attire bien de nouveaux investissements industriels lourds.

En effet, trois groupes mondiaux, – Enel, Sharp et STMicroelectronics viennent de créer une société commune pour produire des panneaux photovoltaïques dans l’usine de semi-conducteurs de Catane en Sicile avec à la clé un investissement de 320 M€.

Pour installer les centrales solaires en plein boom dans le Bassin méditerranéen, les industriels investissent désormais massivement et cette énergie ouvre des perspectives de reconversion pour la micro-électronique. L’Algérie, qui est un pays méditerranéen aussi, et qui possède un grand potentiel énergétique naturel, s’est même lancée dans cette industrie afin de développer d’avantage les énergies renouvelables.

Il convient de rappeler que le groupe Sonelgaz à engagé un programme ambitieux dans ce sens. Il s’agit d’un programme d’électrification des zones du Grand Sud algérien par des systèmes photovoltaïques, de près de 10 millions d’euros, est prévu. Citons entre autres, le projets de construction d’une usine de fabrication de modules photovoltaïques. La date de production de l’usine est prévue au plus tard pour le mois de septembre 2012.

En effet, le groupe Sonelgaz a chargé sa société d’engineering CEEG de réaliser un projet chargé de la construction d’une usine de fabrication de modules photovoltaïques dans le périmètre de la zone industrielle de Rouiba, par le biais d’un mandat avec le maître de l’ouvrage (Société Rouiba Eclairage).

CEEG est ainsi chargée de mettre en place une équipe, de réaliser les études d’engineering pour les infrastructures, les réseaux d’alimentation…. et d’étudier et déterminer avec le maître de l’ouvrage les segments de production ainsi que l’intégration progressive en amont, de la technologie et des processus de fabrication les plus appropriés. A noter que la société Rouiba Eclairage se trouve dans la zone industrielle de Rouiba (wilaya d’Algr), au bord de l’autoroute Est, à environ 12 km de l’aéroport international Houari-Boumediène et à 25 km du port d’Alger.

L’usine de fabrication de modules photovoltaïques sera installée à l’intérieur du terrain de la société Rouiba Eclairage, sur une superficie de quatre hectares. La date de production de l’usine est prévue donc au plus tard pour le mois de septembre 2012.

source Le maghreb dz
Samira H

**Sioux foughali** · 30 octobre 2010, 21h47

Approvisionnement de l’usine des panneaux photovoltaïques : L’Algérie veut raffiner son silicium

Mardi 12 octobre 2010

Le ministère de l’Energie a contacté l’Unité de développement de la technologie du silicium (UDTS) afin développer l’industrie du raffinage du silicium, a annoncé hier Messaoud Boumaour, directeur général de l’UDTS sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale.Ce type d’industrie servira à sécuriser l’approvisionnement de l’usine de panneaux photovoltaïques qui devra être prête en 2012.

Selon l’invité de la radio, l’Algérie, dans une première étape, va importer de la silice raffinée parce que pour atteindre un certain niveau de purification, il faut des infrastructures industrielles telles que celles d’El Hadjar. « Ces investissements ne sont pas encore lancés. Mais du moment que nous avons ce gisement, nous pouvons l’améliorer et l’exploiter par le biais de nos potentialités humaines », ajoute M. Boumaour pour qui cette usine fonctionne et que pour une raison ou une autre, les coûts de la silice raffinée qui sont actuellement de 70 dollars le kilo grimpent à 100-200 dollars. « Les investissements seront mis en péril. Pour cette raison, nous faisons en sorte que la silice soit produite en Algérie pour réduire le coût des panneaux photovoltaïques et en même Concernant le coût de l’usine de panneaux photovoltaïques, il révèle qu’il est estimé à environ 100 millions d’euros pour une capacité prévue à 50 mégawats qu’il considère comme un plancher raisonnable afin de pouvoir maîtriser dans les quatre prochaines années le niveau de production et monter en cadence ensuite.

LE SOLAIRE, ÉNERGIE DE DEMAIN

Selon le DG de l’UDTS, il faudrait parler de bouquet de sources d’énergies renouvelables qui existent tout en tenant compte du gisement. « Ma conviction est que le solaire avec la technologie photovoltaïque est l’énergie de demain parce qu’en Algérie, nous avons un gisement solaire des plus élevés au monde (entre 1 500 et 2 000 heures d’ensoleillement par an). Il faudrait donc exploiter cette énergie dans le cadre du plan de développement durable », souligne-t-il. M. Boumaour rappelle que dans les 10-15 prochaines années, la sécurité alimentaire deviendra un problème extrêmement important. D’après lui, si on arrive à maîtriser ce genre de technologie, on pourrait alimenter de petites fermes au sud de cette énergie à bon marché. Selon le DG de l’UDTS, l’alimentation en énergie solaire pourrait devenir gratuite après le remboursement des frais de l’investissement.

Horizons

portail algerien des energies renouvelables
http://portail.cder.dz/spip.php?article605

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