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L’intérêt croissant des investisseurs tunisiens pour le marché algérien se confirme de plus en plus ces dernières années. Une mission économique d’hommes d’affaires tunisiens va séjourner du 1er au 4 novembre prochain à Oran pour prospecter les opportunités réelles d’investissements et de partenariat en Algérie.
Cette mission économique coïncide avec la participation à la 12e édition de la foire internationale d’Oran qui s’ouvre mardi prochain, est organisée conjointement par la Chambre de commerce et d’industrie de Sfax et de la Chambre de commerce et d’industrie d’Oran (CCIO). Des rencontres business to business (B2B) sont programmées au siège de la CCIO avec des entreprises locales exerçant dans différents secteurs d’activités économiques. Le regain d’intérêt des hommes d’affaires tunisiens pour le marché algérien serait dû aux retombées de la crise économique et financière internationale qui secouent l’économie tunisienne gravement dépendante des exportations. Les secteurs qui ont été les plus touchés par le ralentissement de la demande mondiale sont le textile-habillement, les industries mécaniques et électriques (IME) ainsi que le tourisme.
Ce qui oblige les investisseurs tunisiens à chercher en fait refuge en Algérie, selon des analystes de l’économie maghrébine. Cette alternative semble encouragée de plus en plus par le gouvernement tunisien qui a mis les bouchées doubles pour faciliter la conquête du marché algérien. Ainsi, un guide d’implantation commerciale à l’étranger a été mis à la disposition des différents acteurs économiques tunisiens, avec comme premier pays candidat l’Algérie, selon la même source. Les investisseurs tunisiens espèrent surtout profiter au maximum de la récente conclusion de l’accord commercial bilatéral de libre échange entre les deux pays.
Pour se prémunir contre les retombées de cette crise internationale, le gouvernement tunisien encourage les investisseurs à s’implanter dans les pays maghrébins et particulièrement en l’Algérie. Les implantations industrielles tunisiennes progressent en Algérie et concernent de plus en plus de grands investissements avec des «business plan» à long terme. De nombreuses grandes sociétés tunisiennes disposent d’une filiale en Algérie, alors que d’autres envisagent de délocaliser leurs activités prochainement.
Les exemples d’implantations industrielles des investisseurs tunisiens réussies en Algérie ne manquent pas ces dernières années. Sur un millier de sociétés tunisiennes qui avaient choisi l’internationalisation de leurs activités ces cinq dernières années, 800 ont choisi la destination Algérie qui est désormais considérée comme le premier pays d’accueil des investisseurs tunisiens très loin avant la Libye, la France, le Maroc et l’Egypte. horizons
Cette mission économique coïncide avec la participation à la 12e édition de la foire internationale d’Oran qui s’ouvre mardi prochain, est organisée conjointement par la Chambre de commerce et d’industrie de Sfax et de la Chambre de commerce et d’industrie d’Oran (CCIO). Des rencontres business to business (B2B) sont programmées au siège de la CCIO avec des entreprises locales exerçant dans différents secteurs d’activités économiques. Le regain d’intérêt des hommes d’affaires tunisiens pour le marché algérien serait dû aux retombées de la crise économique et financière internationale qui secouent l’économie tunisienne gravement dépendante des exportations. Les secteurs qui ont été les plus touchés par le ralentissement de la demande mondiale sont le textile-habillement, les industries mécaniques et électriques (IME) ainsi que le tourisme.
Ce qui oblige les investisseurs tunisiens à chercher en fait refuge en Algérie, selon des analystes de l’économie maghrébine. Cette alternative semble encouragée de plus en plus par le gouvernement tunisien qui a mis les bouchées doubles pour faciliter la conquête du marché algérien. Ainsi, un guide d’implantation commerciale à l’étranger a été mis à la disposition des différents acteurs économiques tunisiens, avec comme premier pays candidat l’Algérie, selon la même source. Les investisseurs tunisiens espèrent surtout profiter au maximum de la récente conclusion de l’accord commercial bilatéral de libre échange entre les deux pays.
Pour se prémunir contre les retombées de cette crise internationale, le gouvernement tunisien encourage les investisseurs à s’implanter dans les pays maghrébins et particulièrement en l’Algérie. Les implantations industrielles tunisiennes progressent en Algérie et concernent de plus en plus de grands investissements avec des «business plan» à long terme. De nombreuses grandes sociétés tunisiennes disposent d’une filiale en Algérie, alors que d’autres envisagent de délocaliser leurs activités prochainement.
Les exemples d’implantations industrielles des investisseurs tunisiens réussies en Algérie ne manquent pas ces dernières années. Sur un millier de sociétés tunisiennes qui avaient choisi l’internationalisation de leurs activités ces cinq dernières années, 800 ont choisi la destination Algérie qui est désormais considérée comme le premier pays d’accueil des investisseurs tunisiens très loin avant la Libye, la France, le Maroc et l’Egypte. horizons