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Qui est le général major Toufik Mediène

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  • Qui est le général major Toufik Mediène

    On parle beaucoup de ce personnage ça et là alors qui est-il au juste et exagère t-on à son sujet ?



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    Général Major
    Mohamed Lamine MEDIENE dit "Tewfik"
    Chef de la D.R.S
    Le plus énigmatique de nos généraux, c'est normal le général major Médienne dit Toufik a passé toute sa vie dans les services secrets Algériens.
    Né en 1939 à Gueznet dans la petite Kabylie, il grandit à saint Eugène ( Bologhine ) il rejoint les rangs de l'ALN en 1961 dans l'est algérien quelques mois avant la signature du Cessez le feu, a l'indépendance il intègre la direction des services secrets ou on l'envoie en stage de formation en URSS au sein du KGB.
    De retour il nous d'exélentes relations avec le futur président de la république Chadli Benjdid et son chef de cabinet Larbi Belkheir dans la 2 eme Region militaire. en 1978 il est capitaine et homme de confiance de Chadli, il réintègre la direction central de la SM et prend la tête de la sous direction de la sécurité de l'armée sous le commandement du général Lakehal Ayat directeur Central de la sécurité militaire.
    en 1987, sous l'influence de sa belle famille, le président Chadli signe un décret pour lequel le sous lieutenant - colonel Tewfik est désigné pour la succession du général Hocine benmalem a la tête de la DADS ( département des affaires de défense et de sécurité ) il aura sous a coupole tous les services de sécurité du pays ( police, Gendarmerie, sécurité militaire )
    Après le départ ( mutation ) de Lakhal Ayat, il devient directeur central de la sécurité de l'armée en remplacement du général Betchine, la démission de ce dernier en octobre 1990 lui permet de mettre sous sa coupe tous les services de sécurité en créant la D.R.S ( Direction du renseignement et de la sécurité ).


    MOHAMED MEDIENE
    Directeur du Département renseignements et sécurité


    Le général-major Mohamed Mediene est issu d’une famille kabyle originaire de Guenzet dans l’est Algérien. Plus connu sous le surnom de « Toufik », il n'émarge pas au MALG – ancêtre des services de renseignements algériens – dans les années 50, à la différence de la plupart des patrons du renseignement algérien.
    A l'Indépendance M. Mediene fait partie de la promotion « tapis rouge » qui suit ses premières classes dans les écoles du KGB. Affecté, avec le grade de lieutenant, à la deuxième région militaire, dirigée depuis l'Indépendance par le colonel Chadli Bendjedid, Mohamed Mediene est nommé officier de sécurité de cette zone frontalière du Maroc. Sous le commandement du colonel Bendjedid, il effectue un long chemin de compagnonnage avec un capitaine influent, Larbi Belkheir, alors chef d'état-major de la deuxième région militaire.
    Sous la direction de Medjdoub Lakehal Ayat, patron de la Sécurité militaire (SM), qui le trouve encombrant, il est nommé attaché militaire à Tripoli en 1983. De retour de son « exil » diplomatique, il dirigera brièvement la Direction centrale du génie militaire. En 1986, il devient chef du Département défense et sécurité à la présidence de la République, où Larbi Belkheir occupe la fonction de directeur de cabinet du président Chadli Bendjedid.
    Lorsque la Délégation militaire de prévention et de sécurité (DGPS) est créée en mai 1987, il y devient directeur de la Sécurité de l'armée (SA), la police politique de l'Armée nationale populaire. À la dissolution de la DGPS en septembre 1990, il prend la tête du Département de recherches et de sécurité (DRS) qu'il dirige à ce jour.
    Sa carrière démarre réellement avec la destitution du président Chadli Bendjedid en janvier 1992 et la montée de la menace islamiste. Dirigeant à la fois la sécurité intérieure, les renseignement extérieurs et la SA, Mohamed Mediene a un poids considérable dans le système politico-militaire algérien.
    Cet amateur de cigares qui apparaît rarement en public possède, par le biais de ses réseaux et de sa fonction, un puissant ascendant sur les médias, les partis politiques, les lobbies d’affaires et les différents courants de l’armée.

  • #2
    C'est le général el-hadj Tewfik.

    P.

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    • #3
      je m'excuse de mon hors sujet, mais je voudrais connaître cette tradition de changer les nom et les prénom pour plusieurs personnalité politique...

      Cette pratique est incarnée dans l'armée, et même parfois tu trouves un officier a le choix de choisir plusieurs pseudo ...

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      • #4
        Envoyé par Tamedit n-was Voir le message
        je m'excuse de mon hors sujet, mais je voudrais connaître cette tradition de changer les nom et les prénom pour plusieurs personnalité politique...

        Cette pratique est incarnée dans l'armée, et même parfois tu trouves un officier a le choix de choisir plusieurs pseudo ...
        C'est ce qu'on appelle le "nom de guerre", une disposition qui était courante pendant la révolution puis chez les services secrets (là elle concerne tout le monde je crois et l'identité réelle est plus ou moins cachée) et ceux qui ont fait du contre-terrorisme.

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        • #5
          C'est ce qu'on appelle le "nom de guerre", une disposition qui était courante pendant la révolution puis chez les services secrets (là elle concerne tout le monde je crois et l'identité réelle est plus ou moins cachée) et ceux qui ont fait du contre-terrorisme.
          haha .. ça me rappelle nos noms de guerre, militaires à l'école ...

          ça me rappelle un nom de guerre dans ma promotion , si cette personne me lit , un petit coucou .. Boussabssi Mahfoudh (en hommage au psychiatre assassiné dans les années 90 )

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          • #6
            C'est ce qu'on appelle le "nom de guerre"

            ..................................
            Pour combattre qui ?

            Le peuple algérien !!!

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            • #7
              Je ne crois pas aux absurdes racontars à son sujet. Je pense que c'est un vrai patriote comme tous les gens de guenzet. Je constate déjà beaucoup de changements depuis la disparition des agents de la France qui sont Larbi Belkheir et le patron du contre espionnage (son ennemi juré). L'avenir nous dira davantage.

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              • #8
                Général Toufik(l'homme des ténèbres): le vrai big boss de Algérie!
                Le président Bouteflika est assuré d'être réélu le 9 avril pour un troisième mandat. Mais, depuis dix ans, il est loin d'être seul à tenir le pays. Qui l'appuie, quels sont ses réseaux, quel rôle joue sa famille? L'Express a enquêté.

                C'est un scrutin sans suspense : Abdelaziz Bouteflika sera réélu, le 9 avril, président de l'Algérie. Ainsi en sont convenus, une fois encore, ceux que les Algériens appellent les "décideurs", poignée de hauts gradés qui gravitent autour du tout-puissant patron des services de renseignement, le général Mohamed Mediene, dit "Toufik".


                Le chef de l'Etat a obtenu leur feu vert il y a plusieurs mois déjà, lorsqu'ils l'ont autorisé à faire voter par le Parlement un amendement à la Constitution mettant fin à la limitation du nombre de mandats présidentiels. Le texte a été adopté le 12 novembre 2008 par les élus des deux chambres.

                Depuis ce jour, Bouteflika sait qu'il restera à son poste aussi longtemps que Dieu lui prêtera vie. Résultat : aucun des ténors de la classe politique n'a souhaité endosser le rôle du challenger.

                Jusqu'ici, il a plutôt bien rempli la mission qui lui a été confiée

                Pourquoi les "décideurs" ont-ils choisi d'adouber Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat, en dépit de son âge - 72 ans - et de sa santé défaillante ? Parce qu'il leur aurait, comme on le murmure, confié qu'il souhaitait mourir au pouvoir ? Faute de candidat de rechange ? Il y a peut-être un peu de tout cela. Mais la raison principale est ailleurs : le chef de l'Etat, de leur point de vue, a plutôt bien rempli, jusqu'ici, la mission qui lui a été confiée.

                Pour comprendre, il faut remonter une dizaine d'années en arrière. A l'époque, en 1999, la "sale guerre" contre les islamistes bat son plein, le pays est déchiré et l'image de l'armée est tellement dégradée que certains de ses chefs craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Ils sont à la recherche d'une personnalité ayant de l'entregent, capable, une fois portée à la tête de l'Etat, d'allumer un contre-feu diplomatique et de faire en sorte que l'Algérie redevienne "fréquentable".

                Deux hommes, de ceux qui pèsent au sein du sérail, vont se faire les avocats d'Abdelaziz Bouteflika, charismatique ministre des Affaires étrangères des années Boumediene : le très influent général à la retraite Larbi Belkheir, "parrain" de Toufik - le chef des services lui doit en partie sa carrière - et Abdelkader Koudjeti, un personnage de l'ombre, homme d'affaires et marchand d'armes. Toufik et les siens se laissent assez rapidement convaincre.

                Engagé à 19 ans dans l'Armée de libération nationale, Bouteflika fait partie de la "famille". Pendant près de vingt ans, il a été le patron incontesté de la diplomatie algérienne, avant d'être écarté sans ménagements du pouvoir après le décès, en décembre 1978, du président Houari Boumediene.
                Abdelaziz Bouteflika haranguant la foule lors d'un meeting électoral à Alger, le 6 avril 2009.

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                • #9
                  le président Chadli signe un décret pour lequel le sous lieutenant - colonel Tewfik
                  Un sous-lieutenant-colonel ?! C'est quoi ce grade (commandant ?!!). On arrête pas le progrès...

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                  • #10
                    FRIMAJA .

                    Que connais tu de l'armée ,et du système militaire Algérien ,RIEN .
                    La seule chose que tu sais faire s'est parcourir les forum Algérien pour pourrir les sujets qui y son traité .
                    Tu viens ici rien que pour glané quelques information ,comme beaucoup de gents comme toi .
                    Tu veux que je te dise ,même si tu avais une discutions avec BOUTEF ,TU Y PANERAIS TCHI .
                    Car lui même ,il est au courant du minimum syndical ,s'est un civil .
                    Aller bonne chance ,tu finira bien un jour par comprendre qu'il ni a rien a comprendre .

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                    • #11
                      Car lui même ,il est au courant du minimum syndical ,s'est un civil .
                      Un civil de l'ALN oui.

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                      • #12
                        FRIMAJA .

                        Que connais tu de l'armée ,et du système militaire Algérien ,RIEN... .
                        Laisse tomber, ils n’ont pas eu à faire une guerre pour avoir l’Independence, c’est normal qu’ils ne savent pas ce qu’un nom de guerre.

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                        • #13
                          Laisse tomber, ils n’ont pas eu à faire une guerre pour avoir indépendance, c’est normal qu’ils ne savent pas ce qu’un nom de guerre.elbieroi


                          trop bonne celle la.

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                          • #14
                            Laisse tomber, ils n’ont pas eu à faire une guerre pour avoir l’Independence, c’est normal qu’ils ne savent pas ce qu’un nom de guerre.
                            Ne soyons pas mauvaise langue : pour récupérer un caillou à 200m de leurs côtes, ils ont essayé de faire la guerre aux Espagnols...Ils ont quand même vaillamment résisté pendant...une nuit...avant de résoudre à quitter le caillou, une main devant, une main derrière....

                            L'armée marocaine est surtout qualifiée pour attaquer les pays, dont les forces ont été consommé par les luttes d'indépendance : l'Algérie (d'où ils sont repartis avec....rien du tout) et le Sahara Occidental....pour le reste, en dehors du trafic de cannabis, de la sous-traitance de la torture pour le compte des Américains et le jet d'immigrants africains dans le désert, faut pas trop compter dessus...
                            Dernière modification par Dandy, 31 octobre 2010, 16h03.

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                            • #15
                              @ Dandy

                              Wellah ma 7aq 3lik! Laissez nos frères marocains tranquilles!

                              أهلي و إن جاروا علي كرام

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