Le SNPM dénonce l'interdiction de la journaliste Jdili d'accéder à Melillia occupée
Rabat- Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a dénoncé l'interdiction, dimanche, par les autorités espagnoles à la journaliste marocaine Fatima Zahra Jdili de "Med Radio" d'accéder la ville de Melillia occupée.
Selon un communiqué du Syndicat, la police espagnole a affirmé que cette journaliste a été interdite d'accéder également à la ville occupée de Sebta, suite aux déclarations qu'elle avait faites auparavant à la presse.
La même journaliste a été interdite, vendredi dernier, d'accéder à la ville occupée de Sebta où elle avait fait l'objet d'harcèlements de la part de la police espagnole, de violences verbales et de deux tentatives de fouiller son sac.
La journaliste Fatima Zahra Jdili s'était rendue dans les deux villes captives pour la couverture des évènements sociaux, particulièrement dans la ville occupée de Melillia où, selon plusieurs médias, un jeune homme de 16 ans a été tué par balles tirées par les forces espagnoles.
En dénonçant ce "comportement répressif", le SNPM appelle les Organisations internationales de défense de la liberté de la presse à exercer des pressions sur les autorités espagnoles pour les amener à reconnaître le droit des journalistes marocains à accomplir leur mission professionnelle dans les villes occupées de Sebta et Melillia.
Le Syndicat note que l'interdiction d'accès à cette journaliste s'inscrit dans le cadre des tentatives de désinformation et de black-out sur les événements sociaux à Melillia occupée et se trouve aux antipodes des slogans dont se gargarise le gouvernement espagnol, tels le respect des droits de l'Homme, de la liberté de la presse et de la démocratie.
MAP
Rabat- Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a dénoncé l'interdiction, dimanche, par les autorités espagnoles à la journaliste marocaine Fatima Zahra Jdili de "Med Radio" d'accéder la ville de Melillia occupée.
Selon un communiqué du Syndicat, la police espagnole a affirmé que cette journaliste a été interdite d'accéder également à la ville occupée de Sebta, suite aux déclarations qu'elle avait faites auparavant à la presse.
La même journaliste a été interdite, vendredi dernier, d'accéder à la ville occupée de Sebta où elle avait fait l'objet d'harcèlements de la part de la police espagnole, de violences verbales et de deux tentatives de fouiller son sac.
La journaliste Fatima Zahra Jdili s'était rendue dans les deux villes captives pour la couverture des évènements sociaux, particulièrement dans la ville occupée de Melillia où, selon plusieurs médias, un jeune homme de 16 ans a été tué par balles tirées par les forces espagnoles.
En dénonçant ce "comportement répressif", le SNPM appelle les Organisations internationales de défense de la liberté de la presse à exercer des pressions sur les autorités espagnoles pour les amener à reconnaître le droit des journalistes marocains à accomplir leur mission professionnelle dans les villes occupées de Sebta et Melillia.
Le Syndicat note que l'interdiction d'accès à cette journaliste s'inscrit dans le cadre des tentatives de désinformation et de black-out sur les événements sociaux à Melillia occupée et se trouve aux antipodes des slogans dont se gargarise le gouvernement espagnol, tels le respect des droits de l'Homme, de la liberté de la presse et de la démocratie.
MAP
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