Sais-tu…
Que j’aime dans le plus grand secret
Et qu’à ce jour personne ne le sait
Quand mes pas me portent
Irrésistiblement vers ta blanche porte
Je sens monter en moi
Le trouble d’un indicible émoi
Car Amour, tu ne le sais pas
Mais mon coeur est si plein de toi
Je vais et viens au gré de tes envies
Je vais et viens esclave de ma folie
Elle te ressemble et j’aime et jamais ne te le dis
Si tu ouvrais tes mains comme on prie
Tu recevrais un océan de tendresse infini
Gardé précieusement comme un trésor de vie
Parce qu’Amour, ma survie est suprême et à ce prix :
Garder dans le silence le trouble de l’exquis
Quand par les chemins se promènent nos phrases
Dans les tréfonds de mon âme s’éveille un murmure d’extase
Sais-tu Amour combien j’espère dans la fièvre de mes insomnies
La clarté du jour illuminée par ta présence si chère et chérie
Quand un seul de tes regards suffit à combler la solitude de mes nuits
Ton sourire porte dans son éclat, toute l’espérance de ma triste vie
Et sur tes lèvres carmin se profile sans fin la rareté de ton âme précieuse
Frôlant la mienne fascinée, qui se voit conquise et si heureuse
Et s’il arrive que nos mains s’effleurent,
Mon coeur chavire d’une joie immense et pleure
Son amour, en un cri qui se meut et s’étouffe dans un silence
Figeant dans l’éternité mes heures d’amère souffrance
Car Amour t’aimer m’est aussi plaisir que soupir
Et dans le secret de mon âme, ton absence serait bien pire
Alors je reste dans l’ombre de tes désirs
Ne sachant si je dois ou non un jour te le dire
J’ai peur, qu’à la croisée des chemins, non loin de la rivière
Assise près de toi, devant ton visage éclairé d’un halot de lumière
Mon coeur ne se serre et se délie de son doux secret
Si ta pâle prunelle s’attachait alors à s’étonner de mon aveu tout frais
Aussitôt je m’en dédirais pour ne pas vivre le regret
De ne plus pouvoir m’enivrer des effluves de ton charme discret
Si tu devais partir, je devrais alors mourir
Parce que seule la raison de cet Amour m’est douceur et plaisirs.
Que j’aime dans le plus grand secret
Et qu’à ce jour personne ne le sait
Quand mes pas me portent
Irrésistiblement vers ta blanche porte
Je sens monter en moi
Le trouble d’un indicible émoi
Car Amour, tu ne le sais pas
Mais mon coeur est si plein de toi
Je vais et viens au gré de tes envies
Je vais et viens esclave de ma folie
Elle te ressemble et j’aime et jamais ne te le dis
Si tu ouvrais tes mains comme on prie
Tu recevrais un océan de tendresse infini
Gardé précieusement comme un trésor de vie
Parce qu’Amour, ma survie est suprême et à ce prix :
Garder dans le silence le trouble de l’exquis
Quand par les chemins se promènent nos phrases
Dans les tréfonds de mon âme s’éveille un murmure d’extase
Sais-tu Amour combien j’espère dans la fièvre de mes insomnies
La clarté du jour illuminée par ta présence si chère et chérie
Quand un seul de tes regards suffit à combler la solitude de mes nuits
Ton sourire porte dans son éclat, toute l’espérance de ma triste vie
Et sur tes lèvres carmin se profile sans fin la rareté de ton âme précieuse
Frôlant la mienne fascinée, qui se voit conquise et si heureuse
Et s’il arrive que nos mains s’effleurent,
Mon coeur chavire d’une joie immense et pleure
Son amour, en un cri qui se meut et s’étouffe dans un silence
Figeant dans l’éternité mes heures d’amère souffrance
Car Amour t’aimer m’est aussi plaisir que soupir
Et dans le secret de mon âme, ton absence serait bien pire
Alors je reste dans l’ombre de tes désirs
Ne sachant si je dois ou non un jour te le dire
J’ai peur, qu’à la croisée des chemins, non loin de la rivière
Assise près de toi, devant ton visage éclairé d’un halot de lumière
Mon coeur ne se serre et se délie de son doux secret
Si ta pâle prunelle s’attachait alors à s’étonner de mon aveu tout frais
Aussitôt je m’en dédirais pour ne pas vivre le regret
De ne plus pouvoir m’enivrer des effluves de ton charme discret
Si tu devais partir, je devrais alors mourir
Parce que seule la raison de cet Amour m’est douceur et plaisirs.
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