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Unique unité en Afrique et dans le Monde arabe à produire des cartes intelligentes

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  • Unique unité en Afrique et dans le Monde arabe à produire des cartes intelligentes

    Un sujet tres interessant . bonne lecture.

    La fabrication de smart cards est un projet de droit et de capitaux entièrement algériens.
    L’unité de fabrication et de conception de ces cartes intelligentes a coûté un investissement de quelque 2 milliards de dinars, soit deux millions d’euros.
    Un client de renom déjà : Siemens International vient de passer commande pour quatre millions de cartes.


    C’est une visite particulière qu’a effectuée, hier, la délégation d’hommes d’affaires allemands à la zone industrielle de Rouiba, dans la région d’Alger.
    En effet, les membres de la Chambre algéro-allemande du commerce et de l’industrie se sont rendus sur ce qui risque d’être bientôt l’un des fleurons de l’industrie algérienne, l’unique unité en Afrique et dans le Monde arabe à produire et personnaliser des cartes intelligentes hautement sécurisées, communément appelées smart cards.
    HB Technologies, c’est d’elle qu’il s’agit, est une entreprise de droit et de capitaux algériens, dont les équipements, de haute technologie, sont en cours d’installation, sur une surface estimée à quelque sept hectares.
    Et comme cette activité fait appel aux technologies les plus avancées en matière d’informatique, d’électronique et d’impression fiduciaire, comme nous l’a expliqué le P-DG de HB Technologies, M. Abdelhamid Benyoucef, la société a établi un partenariat avec la société allemande Mühlbauer, le leader mondial de la conception des équipements de fabrication de cartes intelligentes.
    Mühlbauer n’a pas eu peur de céder sa technologie à un groupement algérien, comme l’a précisé M. Benyoucef qui a signalé dans ce contexte que bien des pays maîtrisant cette technologie «refusent de la transférer», préférant vendre directement les cartes commandées.
    Aussi, au titre de ce partenariat, le géant allemand qui a eu déjà des marchés d’envergure, tels que celui de la fabrication de cartes d’identité magnétiques en Grande-Bretagne et en Espagne dernièrement, a assuré la formation des ingénieurs algériens en Allemagne.

    la suite

  • #2
    A force de pirater les démodulateurs, et autre produits électronique on fini par développer un savoir faire qui se converti en capacité industrielles. C’est un des avantages de la culture du système D algérien.

    Merci pour l'info
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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    • #3
      c'est une bonne nouvelle, mais j'aime pas les titres genre ; le plus grand; le premier, la seule.... cela me fait penser à un époque ou nous avions beaucoup de "le plu grand ...." et le manque de concurence fait des grosses tetes.

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      • #4
        HBTechnologies propose ses services Qui raflera le marché de la carte d’identité biom

        A qui allons nous confier le fichier national ? à une entreprise étrangère ? ou les services et pouvoirs publics seront-ils convaincus par les arguments de HB Technologies "entreprise à 100 % algérienne?

        ====
        Le projet de la carte et du passeport biométriques intéresse au plus haut point HB Technologies, une entreprise de droit algérien. Avec un investissement de 2 milliards de dinars et une technologie de pointe, elle dispose du monopole en la matière. Les pouvoirs publics seront-ils sensibles à ses arguments ? Des spécialistes évoquent la question de la souveraineté nationale et indiquent qu’il serait malvenu de confier le fichier national à une entreprise étrangère.
        Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Le président-directeur général de HB Technologies a expliqué hier que son entreprise maîtrisait parfaitement la technologie et pouvait répondre dans l’immédiat aux besoins de l’Algérie. A l’instar des autres pays, l’Algérie va devoir se conformer aux nouvelles règles de sécurité imposées par l’impératif de la lutte contre le terrorisme. L’entreprise à 100 % algérienne, implantée au niveau de la zone industrielle de Rouiba, dispose déjà de tout le matériel sophistiqué requis pour démarrer son activité au mois d’avril. Dans un souci de mieux former son personnel, un partenariat vient d’être conclu avec Muhlbauer, le leader allemand en la matière. Des équipements sophistiqués viennent d’être acquis en plus d’une formation au profit des ingénieurs de HB. Ce transfert de technologie lui permettra d’être au diapason de ce qui se fait ailleurs. Un partenariat fructueux qui permettra, entre autres, d’accompagner le processus de certification Europay Master Card et Visa Card. Créé en février 2004, HB Technologies «met en œuvre des activités de production et personnalisation de toute la gamme de cartes intelligentes hautement sécurisées. Le projet a été conçu et mis en œuvre avec l’assistance d’un leader international dans le domaine qui assure également le transfert technologique ainsi que sa mise à jour pour la production de cartes de fidélité, de cartes de recharge, de cartes de téléphonie fixe, de cartes à puce GSM phase, de cartes bancaires et d’identification ». Un premier client a déjà manifesté son intérêt. Siemens a en effet commandé pas mois de 4 millions de cartes d’identification. La technologie très pointue que développe HB sera expérimentée au sein même de l’entreprise. L’accès aux locaux ultramodernes se fera grâce au système biométrique qui associe aussi bien la reconnaissance de la rétine que le poids de la personne.


        -Le soir d’Algerie

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        • #5
          Désolée, je viens de me rendre compte que auscara a déjà ouvert un topic sur la même entreprise….d’ou fusion des deux.

          En effet c’est une bonne nouvelle de savoir que des Algeriens maîtrisait parfaitement la technologie.

          Merci.

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          • #6
            -On se demande pour quelle raison HB n'a pas été retenue dans le projet des carte des assurés au tiers, un projet dont on entend plus parler à la CNAS (elle a participé à l'appel d'offres).
            -On se demande aussi pourquoi les opérateurs OTA et AT ne font pas appel au services de ce "géant" pour aquérir des cartes SIM.
            -On se demande aussi pourquoi la SATIM a raflé le marché des cartes bancaires EMV.

            Bref aucune réalisation et des investissments de 2 milliards de DA !

            Il faut se méfier de cet effet d'annonce, la personnalisation plastique d'une carte est une chose, la personnalisation électronique en est une autre. Chaque usage implique des procédures et des techniques logicielles propres. La haute sécurité s'appuie sur des mécanismes de cryptographie très pointues. Si Siemens a commander de telles cartes, ceci est en relation avec le déploiement d'une solution voieIP sur le réseau IP d'Algérie telecom.

            On se demande quel est ce monopole. De plus une formation de quelques jours est insuffisante pour former des ingénieurs aux processus de personalisation et surtout de l'identification des porteurs de ces cartes...

            Si le fournisseur est positioné sur la fabrication des machine de personnalisations plastiques, il laisse le gros du travail à des leaders mondiaux comme Axalto, Gemplus, sclumberger et Oberthur.

            Maitriser cette technologie revient d'abord à maitriser le processus de personnalisation électronique d'une part et le processus d'émission d'autre part. Le processus d'emission impose l'identification prélable du porteur or les sytème d'information des groupes algériens sont loin d'offrir une telle fonction.

            Bon courage tout de même pour cette jeune société, mais il ne faut pas lui attribuer des acquis qu'elle n'a pas.

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            • #7
              Bonne nouvelle;mais cest exagere de dire que cest lunique en afrique;des unites pareils existent au maroc en tunisie,en egypte et en afrique du sud.

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              • #8
                ismail
                j'etais de ton avis ce matin, mais j'ai fais des recherche et apparemment c'est l'unique qui possede cette technologie en afrique.

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                • #9
                  @auscasa
                  Finalement je me suis retrouvé sur EL MOUJAHID.tu sais pas qu'on est allergique à notre "pravda"des annéés socialiste?

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                  • #10
                    la honte il a lu el moujahid

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                    • #11
                      Ce n'est pas la seule, la SATIM (algérie) peut personnaliser les cartes et les émettre...
                      2 millions d'euros pour fabriquer des smartcards. Le journaliste ne rend pas compte de ce qu'il avance...

                      Dans une smart-card il y a le plastique et la puce éléctronique. Les fabricants sont connus de puce...et HB est loin de possèders des machines qui valent plusieurs centaines de millions d'euros..c'est de la micro éléctronique ce n'est pas un petrin de boulangerie..

                      Aucune entreprise africaine ne possède une telle technologie de pointe qui par ailleurs coute extrêmement chere.

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                      • #12
                        La DGSN a conclu avec la société Thales un contrat portant sur la production de CIN biométriques. Un marché d’environ 1,5 milliard de dirhams. La première carte d’identité nationale sera délivrée le 1er Octobre 2006.

                        La vérité sur le contrat DGSN-Thales

                        Majdouline Al Atouabi

                        lien

                        Le mardi 27 septembre 2005, la nouvelle a été annoncée en grande pompe, et il y avait de quoi. L’Etat marocain venait de signer un contrat avec Thales pour la production de Cartes d’Identité Nationale (CIN) biométriques sans contact. En engagent ce projet intégré, la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) propulse l’administration marocaine à la pointe de la technologie. Le Maroc étant le premier pays au monde à se doter d’une telle carte et à la généraliser sur une échelle nationale. Selon un communiqué de Thales, il s’agit en effet «du premier système identitaire au monde d’une telle importance à base de cartes à puce sans contact». Une technologie qui assure une sécurité maximale du document, la CIN en l’occurrence, pour une durée de vie garantie de 10 ans.
                        En vertu de ce contrat, 20 millions de Marocains, soit l’ensemble de la population majeure du pays, disposeront d’ici quatre ans de cartes d’identité nationales modernes, intelligentes, plus solides et surtout plus sécurisées que celles d’aujourd’hui. En clair, des cartes infalsifiables puisque comportant des données d'état-civil et des données biométriques telles que les empreintes digitales et les photos numérisées des porteurs. Bien évidemment, les bienfaits d’un tel système sont légion. On en citera à titre d’exemple la sécurisation des transactions commerciales et des démarches administratives, la réduction du taux de fraude dans les élections. Ceci sans parler des avantages d’une telle carte dans la lutte contre le terrorisme. En plus, en introduisant de telles cartes, le Maroc anticipe les nouvelles exigences de sécurité en matière de documents de voyage et de contrôle des flux migratoires qui entreront en vigueur à partir de 2006 dans plusieurs pays. En somme, pas de quoi regretter les vulnérables et fragiles cartes nationales que l’on détient actuellement.
                        Pour autant, avant même la conclusion du contrat avec Thales, on criera au loup.
                        La première salve viendra de Transparency Maroc. En juillet 2005, cette association se fendra d’un communiqué accusateur d’un marché de 34 millions de dollars qui aurait été «attribué à Cogent system sans aucune transparence et sans s’appuyer sur la mise en concurrence de soumissionnaires».
                        Au lendemain de la signature du contrat avec Thales, d’autres critiques du même genre viendront dénoncer l’octroi de gré à gré de ce marché mirobolant. Des critiques assorties de mises en garde contre les supposés risques d’atteintes aux libertés individuelles et à la vie privée que comportent de telles cartes. Des risques qui suscitent en Europe et aux Etats-Unis où des cartes analogues seront introduites sous peu, un débat certes houleux, mais aussi partagé que l’est celui sur l’avortement ou la peine de mort. Résultat, les détracteurs de ces cartes sont aussi nombreux que leurs adeptes.
                        Au Maroc, on n’en est pas encore là. L’attention est surtout focalisée sur les modalités d’octroi à Thales de ce marché d’une valeur estimée à environ 1 milliard 500 millions de dirhams. Pourtant Thales n’est que la partie émergée de l’iceberg. En réalité, ce contrat met en jeu plusieurs opérateurs internationaux, mais également nationaux. «Thales n’est que l’intégrateur coordinateur de ce projet où interviennent plusieurs autres opérateurs, dont des entreprises marocaines. Le choix de cette société pluridisciplinaire s’est imposé de façon naturelle puisqu’elle est leader de son domaine et qu’elle est pratiquement la seule à pouvoir remplir les exigences du lourd cahier de charges imposé par les autorités marocaines, souligne-t-on à la DGSN, cahier de charges qui a demandé deux années d’études et consultations auxquelles ont pris part des experts nationaux et internationaux».
                        Par conséquent,Thales, leader incontesté du marché mondial de la sécurité logique fournira les équipements et les logiciels de production. Pour ce qui est de la sécurité physique, et en tant qu’intégrateur de la solution proposée, le géant français a sélectionné un panel d’entreprises parmi les plus performantes dans ce domaine.
                        Parmi celles-ci, l’allemand Agfa assurera la fourniture des consommables : des cartes 100% polyester intégrant une électronique sans contact à petite antenne et sous système de production de cartes basé sur la technologie de personnalisation graphique DCT-Pro d'Agfa.
                        Selon un responsable de la DGSN : «cette partie du marché engloutira presque les deux tiers de l’enveloppe globale, soit à peu près un milliard de dirhams». On retrouve également le géant néerlandais de l’électronique, Philips, qui fournira les puces électroniques où seront emmagasinées les diverses données contenues dans les nouvelles cartes nationales. Ceci sans oublier Cogent System, une société américaine, qui, elle, s’occupera de la mise en place d’un système d’identification des empreintes digitales (AFIS Automated Fingerprint Identification system). Ce marché d’une valeur de 34 millions de dollars a été octroyé à cette société en juillet 2005.
                        Pour ce qui est des entreprises marocaines impliquées dans le projet, notamment Omnidata et IB Maroc. Deux Leaders nationaux des services et solutions informatiques qui ont été retenus pour intervenir dans différentes étapes du projet.
                        Par ailleurs Thales s’est vu imposer Dar Essekah qui après un délai de mise à niveau de deux ans, interviendra dans la production des prochaines cartes biométriques. Ceci sans oublier que le géant français s’est engagé à déployer des centres de production locaux dans un délai d’un an, avec une prise en charge de la production pendant quatre ans. Ce délai passé, Thales se retirera au profit des compétences marocaines.
                        Il s’agit donc d’un véritable projet structurant qui aura un rayonnement certain sur l’ensemble de l’industrie des NTIC au Maroc. D’ici là, la première carte d’identité nationale biométrique sera délivrée par la DGSN, le premier octobre 2006.

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                        • #13
                          citoyen, la micro electronique n'est plus ce quelle était et maintenant on parle de nano électronique.
                          la machine en elle même n'est pas aussi compliquée que tu ne le penses, il suffit de maitriser le process de A à Z et surtout prouver la capabilité de maitriser tout le domaine( sucurisation, qualité, confidentialité... afin d'avoir les accreditations internationales, chose que cette société a pu obtenir (iso9001) ou en cours (mastercard et visa)
                          aller voir leur site (meme nom)

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                          • #14
                            Il ne faut pas se leurrer, tout est falsifiable, surtout en electronique.
                            Qu'il y est des entreprises de microelectronique au maghrèbe c'est une bonne chose, mais ils n'ont pas l'outils de la maitrise des puces, comme la souligné citoyen.
                            Non seuleument posseder les machines pour fabriquer des puces, l'independance dans ce secteur c'est de fabriquer les machine qui elles meme fabriques des cartes a puces (des microcontroleurs & processeur) là on peut parler d'independance. Mais ca viendra.

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                            • #15
                              La valeur d'une machine à personnaliser les cartes est sans doute pas chere. Pas celles (plusieurs machines) qui fabriquent des cartes.

                              La nanotechnologie c'est encore plus chère....
                              Fabriquer ce qu'on appelle les supports est toujours au mains des entreprises citées. La personalisation est déléguée à d'autre sociétés. HB fait de la personnalisation mais elle importera forcément les supports (biométrique et digitaux).

                              La personalisation comprend par exemple : la production des secrets ou des empreintes électroniques à stocker sur les cartes, afin que les porteurs puissent les utiliser dans leurs transactions.

                              Par ailleurs une fois ces cartes émises il faut prévoir des systèmes dits de challenge qui permettent de challenger les cartes lorsqu'elles sont présentées. La dessus d'autres spécialistes apporteront leur savoir faire je citerai CISCO, Alcatel, IBM, BULL etc..
                              La chaîne de traitement est tellement complexe que la CNAS a jeter l'éponge pour le moment...
                              Concernant la sécurité : confidentialité etc...cela dépend de leurs processus de production de secrets (au pluriel car il en existe un par usage). La norme EMV est déjà mise en oeuvre par la SATIM (Banque d'algérie) donc HB est par définition out. Il ne peut y avoir 2 opérateurs dans ce domaine (c'est une question technique). L'interbancarité au maroc a mis 9 ans (début des projets en 1989) les cartes bancaires à puces ont commencés à fontionner en 2001 ou 2002 peut être nos amis marocains peuvent nous éclairer sur la société interbancaire qui gère l'interbancarité au maroc ....
                              Le cas de siemens est un cas d'école, elle sous traite la perso des cartes chez des algériens au moindre coût, en europe le coût or support est de l'ordre de 13-43 euros par carte. Il s'agit probablement de IP-VPN sur des équipements réseau DATA de fabrication siemens pour le compte de ses clients comme AT.

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