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Des tests ADN ont confirmé que le corps exhumé en juillet dans un cimetière de Bucarest est bien celui de l'ancien dictateur communiste roumain Nicolae Ceausescu, indique, mercredi 3 novembre, le directeur de l'Institut national de médecine légale roumain.
'S'il existait des échantillons d'ADN de Nicolae Ceausescu du temps où il était vivant, nous aurions une certitude totale, mais il est sûr que les analyses d'ADN faites avec son frère et son fils indiquent que nous parlons bien de Nicolae Ceausescu', a déclaré Dan Dermengiu.
Nicolae Ceausescu dirigea la Roumanie d'une main de fer entre 1965 et 1989, avant d'être contraint à la fuite puis exécuté, avec sa femme Elena, à la suite d'un soulèvement contre son régime. L'exhumation surprise s'était faite le 21 juillet au petit matin, à la demande du fils et du gendre de l'ex-dictateur, qui voulait obtenir confirmation de l'identité du corps présenté comme celui de Nicolae Ceausecu.
Concernant Elena, la femme de l'ancien dictateur, dont le corps a également été exhumé en juillet, les médecins estiment qu'il n'existe pas 'suffisamment d'éléments de comparaison' pour se prononcer à ce stade.
LeMonde.fr avec AFP
'S'il existait des échantillons d'ADN de Nicolae Ceausescu du temps où il était vivant, nous aurions une certitude totale, mais il est sûr que les analyses d'ADN faites avec son frère et son fils indiquent que nous parlons bien de Nicolae Ceausescu', a déclaré Dan Dermengiu.
Nicolae Ceausescu dirigea la Roumanie d'une main de fer entre 1965 et 1989, avant d'être contraint à la fuite puis exécuté, avec sa femme Elena, à la suite d'un soulèvement contre son régime. L'exhumation surprise s'était faite le 21 juillet au petit matin, à la demande du fils et du gendre de l'ex-dictateur, qui voulait obtenir confirmation de l'identité du corps présenté comme celui de Nicolae Ceausecu.
Concernant Elena, la femme de l'ancien dictateur, dont le corps a également été exhumé en juillet, les médecins estiment qu'il n'existe pas 'suffisamment d'éléments de comparaison' pour se prononcer à ce stade.
LeMonde.fr avec AFP
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