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Tous les obstacles vétérinaires ont été levés : l’Algérie permet finalement l’importation de viandes du Soudan
Les autorités algériennes ont finalement levé l’embargo qui touchait l’importation de viandes soudanaises, après le rapport favorable de la commission vétérinaire mixte, qui a dressé un tableau reluisant sur la qualité du cheptel et des viandes du Soudan.
Le ministre algérien, Rachid Benaissa était à Khartoum, justement, pour voir de près l’opération, et une journée de travail algéro-soudanaise, intitulé « sécurité alimentaire », avait été tenue le 28 octobre dans la capitale soudanaise. La réunion a été suivie par des vétérinaires des deux pays, et cette troisième réunion du genre entre les deux pays, a fini par lever toutes les entraves qui existaient, et de ce fait, après les viandes indiennes, les viandes soudanaises, vendues à bas prix, seront bientôt disponible sur le marché.
La partie soudanaise, visiblement très heureuse de ce dénouement, après des années de blocus, affirme que le consommateur algérien, pourrait acquérir cette viande à 500 dinars le kilogramme. L’importation des viandes du Soudan avait fait couler beaucoup d’encre, et selon un responsable du ministère de l’Agriculture, l’importation de la viande soudanaise était otage de certificats sanitaires, non délivrés par les autorités soudanaises à leurs homologues algériens.
Ainsi, un groupement industriel spécialisé dans la transformation des viandes, avait effectivement émis le souhait d’importer des quantités de viande à partir de ce pays au lieu de recourir à l’Inde, dont les grosses quantités de viandes importées durant le ramadan ont été boudées par les consommateurs algériens. D’autres pays ont servi de partenaire en matière de viande à l’Algérie. En effet, selon les services concernés, 28.000 tonnes de viandes rouges ont été importées depuis janvier dernier d’Amérique latine (Brésille, Argentine, Uruguay) d’Europe (Allemagne) et enfin d’Asie (Inde). Et cette quantité pourrait être renforcée par celle provenant du Soudan, puisque la situation se débloque.
Elle serait, selon les prévisions du ministère, de l’ordre de 7.000 tonnes. Revenant sur le débat qui fait en ce moment rage, autour de la qualité de la viande indienne que l’Algérie a importé, on invoque la forte concurrence qui existe en ce moment sur le marché de la viande importée. La polémique est due aux grandes quantités de viandes importées par des opérateurs privés à partir des pays de l’Amérique latine notamment, et dont les intérêts sont ainsi menacés. Pour sa part, il a indiqué que toutes les dispositions ont été prises, pour garantir au consommateur algérien une viande saine.
TSA
Les autorités algériennes ont finalement levé l’embargo qui touchait l’importation de viandes soudanaises, après le rapport favorable de la commission vétérinaire mixte, qui a dressé un tableau reluisant sur la qualité du cheptel et des viandes du Soudan.
Le ministre algérien, Rachid Benaissa était à Khartoum, justement, pour voir de près l’opération, et une journée de travail algéro-soudanaise, intitulé « sécurité alimentaire », avait été tenue le 28 octobre dans la capitale soudanaise. La réunion a été suivie par des vétérinaires des deux pays, et cette troisième réunion du genre entre les deux pays, a fini par lever toutes les entraves qui existaient, et de ce fait, après les viandes indiennes, les viandes soudanaises, vendues à bas prix, seront bientôt disponible sur le marché.
La partie soudanaise, visiblement très heureuse de ce dénouement, après des années de blocus, affirme que le consommateur algérien, pourrait acquérir cette viande à 500 dinars le kilogramme. L’importation des viandes du Soudan avait fait couler beaucoup d’encre, et selon un responsable du ministère de l’Agriculture, l’importation de la viande soudanaise était otage de certificats sanitaires, non délivrés par les autorités soudanaises à leurs homologues algériens.
Ainsi, un groupement industriel spécialisé dans la transformation des viandes, avait effectivement émis le souhait d’importer des quantités de viande à partir de ce pays au lieu de recourir à l’Inde, dont les grosses quantités de viandes importées durant le ramadan ont été boudées par les consommateurs algériens. D’autres pays ont servi de partenaire en matière de viande à l’Algérie. En effet, selon les services concernés, 28.000 tonnes de viandes rouges ont été importées depuis janvier dernier d’Amérique latine (Brésille, Argentine, Uruguay) d’Europe (Allemagne) et enfin d’Asie (Inde). Et cette quantité pourrait être renforcée par celle provenant du Soudan, puisque la situation se débloque.
Elle serait, selon les prévisions du ministère, de l’ordre de 7.000 tonnes. Revenant sur le débat qui fait en ce moment rage, autour de la qualité de la viande indienne que l’Algérie a importé, on invoque la forte concurrence qui existe en ce moment sur le marché de la viande importée. La polémique est due aux grandes quantités de viandes importées par des opérateurs privés à partir des pays de l’Amérique latine notamment, et dont les intérêts sont ainsi menacés. Pour sa part, il a indiqué que toutes les dispositions ont été prises, pour garantir au consommateur algérien une viande saine.
TSA