Rachid Nekkaz n'en rate pas une. Ce chef d'entreprise avait déjà défrayé la chronique en juillet, en annonçant la constitution d'un fonds d'un million d'euros pour payer les amendes des femmes portant la burqa dans la rue.
Cette fois, cet ex-candidat à la candidature à la présidentielle en 2007 annonce qu'il va offrir «pour Noël» aux Roms de France un terrain de plus de 12 hectares en Auvergne.
Dans le fief du ministre de Brice Hortefeux. Ce terrain leur sera loué pour un euro symbolique. Il sera baptisé «la République des Roms».
«Donner une leçon de citoyen» à Brice Hortefeux
Interrogé mercredi par leparisien.fr, Nekkaz assure, sans retenue, qu'il veut «donner une leçon de citoyen» à Brice Hortefeux. «Je voudrais aller chez lui, dans son fief électoral, et lui dire que le territoire de la République est indivisble. Et que personne n'a le droit de violer la loi, ni la Constitution. Même en Auvergne», a t-il déclaré en assurant qu'il allait mener à bien ce projet.
Adepte des coups d'éclat, Nekkaz, la quarantaine, n'en est pas à sa première provocation. Après avoir détruit en direct à la télévision un parrainage mis en vente par un élu, l'ex-prétentant à la candidature à l'Elysée (recalé faute de parrainages) s'est illustré en juillet dernier devant l'Assemblée nationale où il protestait contre le vote de la loi interdisant le voile intégral dans l'espace public. Au titre de porte-parole de l'association «Touche pas à ma Constitution», il avait annoncé la mise en place d'un fonds de solidarité d'un million d'euros pour financer les amendes (150 euros) dressées à l'encontre des femmes portant la burqa dans la rue.
Aujourd'hui, il affirme avoir mis plus de 200 000 euros de ses fonds propres et avoir récolté 76 500 euros de dons pour ce fonds de soutien. A la question de savoir d'où proviennent ces fonds, Nekkaz a toujours la même réponse: la vente de ses biens immobiliers. «Tout est vérifiable» insiste t-il.
«Provocateur», il le reconnaît lui-même. Mais l'ex-candidat des banlieues, originaire de Choisy-le Roi (Val-de-Marne), souhaite ainsi «signifier» à Brice Hortefeux, que les Roms de France «sont chez eux partout en France et en Europe».
Le parisien
Cette fois, cet ex-candidat à la candidature à la présidentielle en 2007 annonce qu'il va offrir «pour Noël» aux Roms de France un terrain de plus de 12 hectares en Auvergne.
Dans le fief du ministre de Brice Hortefeux. Ce terrain leur sera loué pour un euro symbolique. Il sera baptisé «la République des Roms».
«Donner une leçon de citoyen» à Brice Hortefeux
Interrogé mercredi par leparisien.fr, Nekkaz assure, sans retenue, qu'il veut «donner une leçon de citoyen» à Brice Hortefeux. «Je voudrais aller chez lui, dans son fief électoral, et lui dire que le territoire de la République est indivisble. Et que personne n'a le droit de violer la loi, ni la Constitution. Même en Auvergne», a t-il déclaré en assurant qu'il allait mener à bien ce projet.
Adepte des coups d'éclat, Nekkaz, la quarantaine, n'en est pas à sa première provocation. Après avoir détruit en direct à la télévision un parrainage mis en vente par un élu, l'ex-prétentant à la candidature à l'Elysée (recalé faute de parrainages) s'est illustré en juillet dernier devant l'Assemblée nationale où il protestait contre le vote de la loi interdisant le voile intégral dans l'espace public. Au titre de porte-parole de l'association «Touche pas à ma Constitution», il avait annoncé la mise en place d'un fonds de solidarité d'un million d'euros pour financer les amendes (150 euros) dressées à l'encontre des femmes portant la burqa dans la rue.
Aujourd'hui, il affirme avoir mis plus de 200 000 euros de ses fonds propres et avoir récolté 76 500 euros de dons pour ce fonds de soutien. A la question de savoir d'où proviennent ces fonds, Nekkaz a toujours la même réponse: la vente de ses biens immobiliers. «Tout est vérifiable» insiste t-il.
«Provocateur», il le reconnaît lui-même. Mais l'ex-candidat des banlieues, originaire de Choisy-le Roi (Val-de-Marne), souhaite ainsi «signifier» à Brice Hortefeux, que les Roms de France «sont chez eux partout en France et en Europe».
Le parisien