Sahara Occidental
La FIDH déplore la mort du jeune Sahraoui Feydel Souidi
La Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) et l’Organisation Marocaine des Droits Humains (OMDH) ont fait part mercredi 03 novembre de leur vive préoccupation suite à la mort du jeune Feydel Souidi, tué par les forces armées marocaines lundi 25 octobre près d’El Ayoun au Sahara occidental.
Garhi Najem ould Feydel Souidi, âgé de 14 ans, a trouvé la mort alors qu'il tentait d'entrer dans un camp dressé par les habitants d’El Ayoun, qui protestaient contre la détérioration de leurs conditions de vie.
A ce titre, la FIDH demande aux autorités marocaines de déterminer les responsabilités et traduire devant la justice les responsables de la mort de Feydel Souidi devant la justice.
La FIDH a, par ailleurs, exprimé sa préoccupation sur la détérioration de la liberté de la presse au Maroc.
Le ministère marocain de la Communication a annoncé le 29 octobre dernier, la fermeture quasi définitive du bureau de la chaîne satellitaire qatarie d'information Al Jazeera basé à Rabat, et le retrait des accréditations de ses journalistes.
La chaîne qatarie est accusée par les autorités de manquer aux règles de déontologie journalistique.
Cette décision intervient alors que sept journalistes espagnols désirant couvrir les événements du camp d’El Ayoun ont été empêchés de le faire par les autorités marocaines.
La FIDH demande d’annuler la décision de fermer les bureaux de la chaîne Al Jazeera et permettre le libre exercice des médias, y compris dans la couverture des évènements au Sahara occidental.
Rabah Beldjenna
ElWatan
N'ont ils pas honte de tuer des enfants ?
Les marocains tuent des musulmans au nom de l'intarissable soif mégalomaniaque de leur roi hérétique.
La FIDH déplore la mort du jeune Sahraoui Feydel Souidi
La Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) et l’Organisation Marocaine des Droits Humains (OMDH) ont fait part mercredi 03 novembre de leur vive préoccupation suite à la mort du jeune Feydel Souidi, tué par les forces armées marocaines lundi 25 octobre près d’El Ayoun au Sahara occidental.
Garhi Najem ould Feydel Souidi, âgé de 14 ans, a trouvé la mort alors qu'il tentait d'entrer dans un camp dressé par les habitants d’El Ayoun, qui protestaient contre la détérioration de leurs conditions de vie.
A ce titre, la FIDH demande aux autorités marocaines de déterminer les responsabilités et traduire devant la justice les responsables de la mort de Feydel Souidi devant la justice.
La FIDH a, par ailleurs, exprimé sa préoccupation sur la détérioration de la liberté de la presse au Maroc.
Le ministère marocain de la Communication a annoncé le 29 octobre dernier, la fermeture quasi définitive du bureau de la chaîne satellitaire qatarie d'information Al Jazeera basé à Rabat, et le retrait des accréditations de ses journalistes.
La chaîne qatarie est accusée par les autorités de manquer aux règles de déontologie journalistique.
Cette décision intervient alors que sept journalistes espagnols désirant couvrir les événements du camp d’El Ayoun ont été empêchés de le faire par les autorités marocaines.
La FIDH demande d’annuler la décision de fermer les bureaux de la chaîne Al Jazeera et permettre le libre exercice des médias, y compris dans la couverture des évènements au Sahara occidental.
Rabah Beldjenna
ElWatan
N'ont ils pas honte de tuer des enfants ?
Les marocains tuent des musulmans au nom de l'intarissable soif mégalomaniaque de leur roi hérétique.
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