APA-Rabat (Maroc) Au total 30 pays ont retiré leur reconnaissance de la « République sahraouie » (RASD), proclamée par le Front Polisario à partir du territoire algérien, depuis 2000, a-t-on appris jeudi soir à Rabat de source officielle.
Onze pays africains figurent sur cette liste contre 9 en Amérique Latine, 8 en Asie et deux en Europe, selon les chiffres mis en avant par le ministre des Affaires étrangères, Taïb Fassi Fihri, devant la Commission des Affaires étrangères et de la défense nationale du parlement marocain.
Rabat se dit conforté par de tels retraits qui ont mis le Polisario « dans une mauvaise posture » selon les observateurs qui font état d’une « véritable délégitimation » du Front notamment après la proposition marocaine d’autonomie , soumise à l’ONU depuis avril 2007.
Le Maroc soutient que son plan d’autonomie reste la « seule solution « pour mettre un terme à ce conflit, vieux de 35 ans alors que le Polisario réclame, depuis ses bases dans le sud ouest algérien, un référendum d’autodétermination.
Conforté par l’adhésion d’une bonne partie de la Communauté internationale, le Maroc juge « inapplicable » une telle option.
Des négociations infructueuses entre le Maroc et le Polisario se tiennent depuis juin 2007 près de New York sous l’égide de l’ONU.
Dimanche une troisième réunion informelle devrait se tenir en présence de L’Algérie et de la Mauritanie pour reprendre les pourparlers officiels bloqués à leur quatrième round en mars 2008.
Onze pays africains figurent sur cette liste contre 9 en Amérique Latine, 8 en Asie et deux en Europe, selon les chiffres mis en avant par le ministre des Affaires étrangères, Taïb Fassi Fihri, devant la Commission des Affaires étrangères et de la défense nationale du parlement marocain.
Rabat se dit conforté par de tels retraits qui ont mis le Polisario « dans une mauvaise posture » selon les observateurs qui font état d’une « véritable délégitimation » du Front notamment après la proposition marocaine d’autonomie , soumise à l’ONU depuis avril 2007.
Le Maroc soutient que son plan d’autonomie reste la « seule solution « pour mettre un terme à ce conflit, vieux de 35 ans alors que le Polisario réclame, depuis ses bases dans le sud ouest algérien, un référendum d’autodétermination.
Conforté par l’adhésion d’une bonne partie de la Communauté internationale, le Maroc juge « inapplicable » une telle option.
Des négociations infructueuses entre le Maroc et le Polisario se tiennent depuis juin 2007 près de New York sous l’égide de l’ONU.
Dimanche une troisième réunion informelle devrait se tenir en présence de L’Algérie et de la Mauritanie pour reprendre les pourparlers officiels bloqués à leur quatrième round en mars 2008.
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