Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Mohammed VI dénonce « l’humiliation » des Sahraouis dans les camps du Polisario

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Mohammed VI dénonce « l’humiliation » des Sahraouis dans les camps du Polisario

    Maroc : Mohammed VI dénonce « l’humiliation » des Sahraouis dans les camps du Polisario
    SAMEDI, 06 NOVEMBRE 2010 23:43 CONGOPLUS

    APA-Rabat (Maroc) Le Roi Mohammed VI du Maroc a dénoncé samedi « l’humiliation » et « l’intimidation » d’environ 90 000 Sahraouis dans les camps du Polisario, dans le sud ouest algérien, soulignant que son pays « n’abandonnera jamais » ses « fidèles sujets » dans ces camps.

    « Nous n’abandonnerons jamais nos fidèles sujets dans les camps de Tindouf, ni où que ce soit ailleurs. Nous ne ménagerons aucun effort pour qu’ils puissent exercer leurs droits fondamentaux, notamment le droit à la liberté d’expression, de mouvement et de retour à leur mère-patrie », a dit le Souverain alaouite dans un discours adressé à la nation à l’occasion du 35ème anniversaire de la marche verte, qui équivalait au retour du Sahara à la souveraineté marocaine après le départ négocié des autorités espagnoles.

    « Il est révolu le temps des dérobades où certains pouvaient se soustraire à leurs obligations. L’heure de vérité a sonné pour dévoiler à la communauté internationale les affres de la répression, de l’intimidation, de l’humiliation et des tortures qui sont infligées à nos compatriotes dans les camps de Tindouf, en violation flagrante des principes les plus élémentaires du droit international humanitaire »s’est indigné Mohammed VI.

    Le souverain chérifien faisait allusion au cas de l’ancien patron de la police du Polisario, Mustapha Salma, arrêté depuis fin septembre près des camps du Front après une visite au Sahara sous souveraineté marocaine d’où il avait exprimé son soutien au plan d’autonomie.

    Lors d’une visite à son père en août dernier à Smara, une des principales villes du Sahara, le patron de la police du Polisario avait défrayé la chronique en annonçant qu’il allait regagner les camps.

    Le retour est le premier du genre puisqu’aucun dirigeant du Polisario ayant renoncé à la thèse « séparatiste » et retourné au Maroc n’a entrepris une telle démarche.

    Plusieurs ONG internationales ont fait siennes le cas « Mustapha Salma » qui avait multiplié ses sorties médiatiques anti-Polisario depuis le territoire mauritanien avant le retour aux camps dont la situation humanitaire de quelque 90 000 personnes est jugée « très inquiétante ».

    Une grande médiatisation accompagne le cas Mostafa Ould Salma surtout que sa décision est intervenue dans la foulée d’un « grand retour » des Sahraouis des camps du Polisario.

    Près de 1600 Sahraouis auraient fui les camps depuis le début de l’année et 10 000 depuis fin 1989, soit « une véritable hémorragie » dans les rangs du Polisario qui réclame un référendum d’autodétermination jugé « inapplicable » et « irréaliste » par Rabat et par une bonne partie de la communauté internationale

    YB/od/APA

    06-11-2010

  • #2
    Maroc : Mohammed VI dénonce « l’humiliation » des Sahraouis dans les camps du Polisario..
    TOZ !
    Il est déconnecté de la réalité , ça m étonne pas qu il est au courant « des refugiés séquestrés sur leur sol » entourés de barrières et d une armada d armée à La3youne !!
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

    Commentaire


    • #3
      enfin le roi se reveille est appel un chat un chat maintenant mettons la pression sur le soutien de l'algerie à aqmi et la plaque tournante du maghreb en matiere de coke

      Commentaire


      • #4
        la langue se delie

        maintenant mettons la pression sur le soutien de l'algerie à aqmi et la plaque tournante du maghreb en matiere de coke
        @pyrhamid
        La bassesse ;
        Merci ! tu révèles les secrets du Makhzen !
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #5
          houari "el para" ca te dit qqchose ou pas va te renseigner
          de quel bassese tu parles si pour toi essayer de mettre de l'ordre en afrique du nord est une bassese je ne sait plus quoi dire houari

          Commentaire


          • #6
            Y'a pas pire que de voir un assassin se plaindre.

            Commentaire


            • #7
              Une enquête de Salima Mellah et Jean-Baptiste Rivoire[4] laisse entendre qu'Abderazak el Para serait proche du département de renseignement et de sécurité (DRS, ex-Sécurité militaire) et que ses opérations avait soit pour but de favoriser le soutien des États-Unis, soit pour but de discréditer le GSPC.

              Commentaire


              • #8
                Piramyde mon ami, El Para veut dire parachutiste....

                Le Monsieur était un ex militaire algérien.

                Ca veut tout dire....mais bon ça tout le monde le sait.

                Commentaire


                • #9
                  L’heure de vérité a sonné pour dévoiler à la communauté internationale les affres de la répression, de l’intimidation, de l’humiliation et des tortures qui sont infligées à nos compatriotes dans les camps de Tindouf, en violation flagrante des principes les plus élémentaires du droit international humanitaire »s’est indigné Mohammed VI.
                  Exact , le siége de tindouf ne peut duré , le C.S doit bouger

                  Commentaire


                  • #10
                    Le Roi Mohammed VI du Maroc a dénoncé samedi « l’humiliation » et « l’intimidation » d’environ 90 000 Sahraouis dans les camps du Polisario, dans le sud ouest algérien, soulignant que son pays « n’abandonnera jamais » ses « fidèles sujets » dans ces camps.
                    J'ai relu la phrase deux fois,j'ai cru a un gag de dealerVI..

                    Commentaire


                    • #11
                      il veut simplement retourner la situation en sa faveur puisque il a epuise toute les cartes diplomatiques mais rien n y fait il a ete pris a son propre piege ses jours sont comptes pour deblayer le SO

                      Commentaire


                      • #12
                        Le Roi Mohammed VI du Maroc a dénoncé samedi « l’humiliation » et « l’intimidation » d’environ 90 000 Sahraouis dans les camps du Polisario, dans le sud ouest algérien, soulignant que son pays « n’abandonnera jamais » ses « fidèles sujets » dans ces camps
                        l'humiliation est de traiter encore des personnes au 21 e siecle de sujets...

                        Mais non, eux non plus, ils n'abondonneront jamais leurs terres.
                        Un jour ou l'autre, ils seront maitres de leurs territoires..

                        Commentaire


                        • #13
                          C'est hilarant , au moment où 20.000 sahraouis manifestent leur refus d'une colonisation en dressant des camps hors de lâayoune et montrer au monde que le peuple sahraoui qui vit sous occuppation refuse de devenir des sujets,
                          le roi surrement mal conseillé s'inquiète du sort des réfuiés de Tindouf.

                          Les médias et les autorités marocaines éssayent par tous les moyens á faire passer les revendications des populations de lâayoune pour des revendications purrement sociale avec le cachet de la fidélité au trône.

                          Parfait mensone royal puisque depuis 2006 lorsque les sahraouis et de lâayoun et de Smara ont manifesté contre la politique colonialiste que fait subir le régime marocains á des populations désarmées et sans aucune protection.
                          A l'époque 14 militants sahraoui ont été arrétés, torturés et condamnés á de lourdes peine de prison.

                          Voici un éxtrait d'un article du Monde diplomatique paru en 2006 qui prophértisait déja l'évolution de la situation des villes sahraouis occuppées par le Maroc.



                          Précieux allié de Washington dans la lutte contre le terrorisme international, Alger est également engagé dans un partenariat commercial significatif avec les Etats-Unis. L’Algérie a retrouvé sa place sur la scène internationale et son prestige sur le continent africain. En 2004, la reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) par l’Afrique du Sud a rapproché les deux pays arabes, tandis que le Maroc est isolé sur le continent. Rabat a notamment refusé d’adhérer à l’Union africaine en raison de la reconnaissance par l’organisation des prétentions sahraouies. Malgré la nomination de M. Larbi Belkheir comme ambassadeur à Rabat (3), la position de l’Algérie ne devrait donc pas s’assouplir, car elle a les moyens de tenir bon.

                          En revanche, le Maroc peut difficilement se permettre pareil entêtement. Officiellement, il propose une « large autonomie » pour le Sahara occidental. Cependant, il n’en précise pas le contenu. Cette réserve s’explique par les changements politiques qu’implique cette option : une nouvelle architecture institutionnelle nécessitant une révision de la Constitution. Le Maroc se trouve de fait dans l’obligation de concilier la souveraineté formelle d’un Etat et l’autonomie réelle d’une population qui a besoin d’affirmer son droit à l’indépendance. Car il ne s’agit pas d’octroyer des marges de liberté à une région quelconque du Maroc, mais à des Sahraouis que trente ans de conflit n’ont pas anéantis et qui disputeront âprement toute contrainte sur leur souveraineté.

                          Hassan II avait cru définir avec simplicité et efficacité l’autonomie du Sahara en déclarant qu’en dehors du timbre et du drapeau tout était négociable. Il pensait que sa formule s’adresserait aux Sahraouis du Front Polisario, les autres lui paraissant naturellement acquis à sa cause. Or, depuis près de six mois, avec plus ou moins d’intensité, ce sont des Sahraouis d’El-Ayoun et de Smara qui tentent de négocier leur destin en agitant le spectre de l’indépendance.

                          Précieux allié de Washington dans la lutte contre le terrorisme international, Alger est également engagé dans un partenariat commercial significatif avec les Etats-Unis. L’Algérie a retrouvé sa place sur la scène internationale et son prestige sur le continent africain. En 2004, la reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) par l’Afrique du Sud a rapproché les deux pays arabes, tandis que le Maroc est isolé sur le continent. Rabat a notamment refusé d’adhérer à l’Union africaine en raison de la reconnaissance par l’organisation des prétentions sahraouies. Malgré la nomination de M. Larbi Belkheir comme ambassadeur à Rabat (3), la position de l’Algérie ne devrait donc pas s’assouplir, car elle a les moyens de tenir bon.

                          En revanche, le Maroc peut difficilement se permettre pareil entêtement. Officiellement, il propose une « large autonomie » pour le Sahara occidental. Cependant, il n’en précise pas le contenu. Cette réserve s’explique par les changements politiques qu’implique cette option : une nouvelle architecture institutionnelle nécessitant une révision de la Constitution. Le Maroc se trouve de fait dans l’obligation de concilier la souveraineté formelle d’un Etat et l’autonomie réelle d’une population qui a besoin d’affirmer son droit à l’indépendance. Car il ne s’agit pas d’octroyer des marges de liberté à une région quelconque du Maroc, mais à des Sahraouis que trente ans de conflit n’ont pas anéantis et qui disputeront âprement toute contrainte sur leur souveraineté.

                          Hassan II avait cru définir avec simplicité et efficacité l’autonomie du Sahara en déclarant qu’en dehors du timbre et du drapeau tout était négociable. Il pensait que sa formule s’adresserait aux Sahraouis du Front Polisario, les autres lui paraissant naturellement acquis à sa cause. Or, depuis près de six mois, avec plus ou moins d’intensité, ce sont des Sahraouis d’El-Ayoun et de Smara qui tentent de négocier leur destin en agitant le spectre de l’indépendance.

                          Suite....

                          Commentaire


                          • #14
                            Si les positionnements officiels demeurent, les contingences régionales et internes, elles, évoluent considérablement. Bien que les autorités algériennes et marocaines aient accaparé le dossier, les sociétés civiles et les partis se montrent à présent désireux de comprendre la crise, et éventuellement d’être associés à la recherche d’une sortie du problème. Les formations politiques marocaines, par exemple, semblent s’activer dans la quête d’une issue, que chacune d’elles souhaite influencer.

                            L’Istiqlal (4) a le sentiment d’avoir été dépossédé de son rôle naturel de défenseur de l’intégrité territoriale, et conteste le principe d’autonomie ; il préfère réfléchir à une construction régionale dans laquelle le Sahara pourrait s’intégrer. Le Parti de la justice et du développement (PJD), islamiste modéré, manifeste, quant à lui, beaucoup d’intransigeance sur la question du Sahara, ce qui pourrait constituer un gage de sa fidélité à la couronne. Le PJD existe depuis 1998, et compte quarante-deux députés au Parlement. Depuis sa stigmatisation en mai 2003 pour « responsabilité morale » dans les attentats de Casablanca, ses responsables font de la surenchère nationaliste. Pour d’autres formations, comme Alliance et liberté, la crise au Sahara occidental offre une occasion de démocratiser le Maroc. Alliance et liberté est un jeune parti libéral qui se situerait au centre de l’échiquier politique (encore que le centre ne signifie pas grand-chose au Maroc). Certains considèrent même que l’ouverture du champ politique représente un préalable à la résolution de l’affaire du Sahara. Pour autant, ce projet ne peut être conçu sur le long terme, dans la mesure où les tensions actuelles risquent de déstabiliser le pays.

                            Que ce soit au Maroc ou à l’étranger, les manifestations indépendantistes d’El-Ayoun et de Smara, très violemment réprimées, donnent le sentiment que le Sahara occidental n’est pas complètement maîtrisé par Rabat. Nombre d’observateurs mettent l’accent sur l’évolution de la situation depuis septembre 1999. Cette année-là, El-Ayoun avait déjà connu une semaine de violences policières contre des étudiants sahraouis qui revendiquaient une augmentation du montant de leur bourse et l’amélioration de leurs conditions de transport. L’événement fut récupéré par la monarchie, qui dépêcha plusieurs ministres au Sahara afin d’« écouter et rassurer les Sahraouis ». Tandis qu’en 1999 les revendications étaient exclusivement sociales, en mai 2005 leur nature est devenue fondamentalement politique. Sans avoir de liens déclarés avec le Front Polisario, les manifestants ont demandé l’indépendance, comme ils le font sur les sites Internet (5) ou dans des forums de discussions. La non-réponse aux demandes sociales et le statu quo politique ont ainsi généré un durcissement de l’attitude des Sahraouis vis-à-vis de Rabat.
                            Regain d’attention de Washington

                            Cette nouvelle donne, interne et régionale, sera-t-elle suffisante pour sortir le conflit de sa longue léthargie ? Beaucoup de Maghrébins souhaitent que le nouvel intérêt américain pour la région facilite le règlement d’une crise dont les populations sont globalement lasses. Plusieurs raisons expliquent le regain d’attention de Washington pour le conflit au Sahara : la volonté d’étendre le champ d’intervention de l’Alliance atlantique, et la possibilité de faire des forces armées royales un relais dans une politique de stabilisation régionale. Cela implique que Rabat ne soit pas engagé dans des différends locaux, notamment avec l’Algérie. En outre, des firmes américaines ont investi dans le développement des ressources pétrolière et gazière de l’Algérie, et souhaitent la réduction des tensions. Mais Washington entend surtout mieux contrôler la situation au Sahel, devenu, à ses yeux, une sorte de « refuge » pour les terroristes islamistes, auxquels pourraient s’ajouter des Sahraouis en perte de repères et motivation.

                            Cependant, quel que soit leur dessein, les Etats-Unis peuvent difficilement agir seuls. Il leur sera plus aisé de coopérer avec des pays intéressés par la pacification de la région et de s’appuyer sur eux, que ce soit l’Espagne, la France ou encore la Mauritanie. Ils devront également prendre en compte l’aspiration des populations et se montrer imaginatifs : la solution du conflit ne saurait consacrer la victoire définitive d’un camp sans être lourde de tensions futures. Or, la fin du différend sur le Sahara implique nécessairement la légitimation de l’un des protagonistes et la délégitimation du second, tant chacun des acteurs a lié son système politique à ce conflit. Le Maroc n’a cessé de surenchérir sur l’intégrité territoriale, tandis qu’Algériens et Sahraouis ont fait de l’autodétermination un principe cardinal.
                            Khadija Finan

                            Commentaire


                            • #15
                              Mohammed VI dénonce « l’humiliation » des Sahraouis dans les camps du Polisario

                              il faut arréte l'humilition de tout les marocains sahraoui ou pas , , le marocain et marocaine sont humilier par toi ,ta famille, tes amis et tes freres arabomuslmans.
                              المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X