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Il y a 36 ans, l’invasion marocaine du Sahara occidental : Le ratage onusien

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  • Il y a 36 ans, l’invasion marocaine du Sahara occidental : Le ratage onusien

    Il y a 36 ans, l’invasion marocaine du Sahara occidental : Le ratage onusien

    06 November 2010 Larbi Chaabouni.

    La dérive coloniale impose un sursaut de la communauté internationale interpellée plus que jamais sur le traitement et une issue légale à la question sahraouie.
    Fait unique : à l’exception notable de la Palestine occupée, le Sahara occidental est, dans le monde, le seul cas de décolonisation inachevée. Le processus historique a doublement souffert de la faillite de l’Onu dans le règlement de la question sahraouie.
    Une faillite qui prend son essence dans la substitution d’une colonisation par une autre, organisée sous forme d’un «accord tripartite» en violation du droit international et de la souveraineté confisquée. Elle l’est aussi, 36 ans durant, dans la poursuite du fait accompli marocain, entériné par la fameuse «marche verte», et le refus invétéré de la solution légale. Le constant logique et plein d’amertume de l’émissaire onusien, Christopher Ross, dénonçant le « statu quo intenable », souligne la dimension du ratage monumental de l’Onu qui s’explique par la conjugaison de plusieurs facteurs liés à une appréciation erronée du conflit jugé mineur, l’intransigeance coutumière de l’occupant et le rôle ambivalent de certaines puissances européennes privilégiant le pillage organisé des ressources sahraouies.
    La duplicité occidentale réside dans le rôle d’obstruction, ouvertement proclamé, quant à l’application des résolutions du conseil de sécurité dont ils sont membres à part entière.
    De fait, la base légale est contrariée par la volonté coloniale d’imposer une solution unilatérale, celle de l’autonomie factice, à l’exclusion du principe onusien d’autodétermination pourtant accepté et reconnu comme tel par les accords de paix de septembre 1991. De la fuite en avant en reniements des engagements internationaux, consacrant la démission de James Baker pointant un doigt accusateur sur la mauvaise foi de Rabat, la dérive coloniale impose un sursaut de la communauté internationale interpellée plus que jamais sur le traitement et une issue légale à la question sahraouie.
    A la veille de la tenue du 3e round de discussion informelle, le choix crucial entre le référendum onusien et les rames de la liberté ne laisse plus aucune autre alternative à un peuple en résistance pacifique, voué un exode interne et externe et privé injustement de ses libertés fondamentales et de son droit inaliénable à la paix.

  • #2
    Biskra, le secrétaire général du bureau de la propagande...
    3 post en l espace de 5 mn....

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    • #3
      Ben les sahraouis devraient se bouger le cul un peu pour decoloniser leur bled où veulent ils leur revolution au bout de 132 ans comme leur sponsor?
      "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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      • #4
        Biskra, le secrétaire général du bureau de la propagande...
        3 post en l espace de 5 mn....
        un de plus qui vient d etre posté par la même personne et sur le même sujet...
        Insultes à Madrid et matrag à Casa

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        • #5
          biskra mène on se demande ce que fait raco ?
          peut être qu'il est en rtt
          Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
          alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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