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Cela continue de chauffer pour Algérie, qui a échappé de justesse à la liste noire, selon lePoint.fr. Son cas concernant ses efforts pour se conformer aux normes européennes de sécurité sera examiné le 9 novembre prochain à Bruxelles. Wahid Bouabdellah, président d’Air Algérie et son directeur général adjoint seront présents pour s’expliquer.
La pression ne se relâche pas sur Air Algérie. La prochaine réunion du conseil de sécurité aérienne à Bruxelles a pour objet de maintenir la pression sur la compagnie algérienne dans l’œil du viseur depuis plusieurs mois.
Selon des sources proches du dossier, relate le Temps d’Algérie : «Air Algérie ne risque pas d’être suspendue de survoler le ciel européen. C’est quand même une compagnie nationale, elle a son poids dans le ciel méditerranéen et l’Algérie présente un marché juteux et porteur de grosses opportunités économiques dans la région. »
Pourtant, si la réunion du 9 novembre ne détermine pas une décision imminente, la compagnie reste sous pression pour qu’elle améliore différents points avant le 5 juillet prochain. Ce sont des « manquements dans les domaines de la sécurité du transport de marchandises, de la navigabilité et de l’exploitation des appareils et des licences du personnel navigant ».
Une prochaine visite de l’équipe d’inspection européenne de l’EASA auprès de la compagnie algérienne est d’ores et déjà prévue le 13 novembre.
AIR JOURNAL
La pression ne se relâche pas sur Air Algérie. La prochaine réunion du conseil de sécurité aérienne à Bruxelles a pour objet de maintenir la pression sur la compagnie algérienne dans l’œil du viseur depuis plusieurs mois.
Selon des sources proches du dossier, relate le Temps d’Algérie : «Air Algérie ne risque pas d’être suspendue de survoler le ciel européen. C’est quand même une compagnie nationale, elle a son poids dans le ciel méditerranéen et l’Algérie présente un marché juteux et porteur de grosses opportunités économiques dans la région. »
Pourtant, si la réunion du 9 novembre ne détermine pas une décision imminente, la compagnie reste sous pression pour qu’elle améliore différents points avant le 5 juillet prochain. Ce sont des « manquements dans les domaines de la sécurité du transport de marchandises, de la navigabilité et de l’exploitation des appareils et des licences du personnel navigant ».
Une prochaine visite de l’équipe d’inspection européenne de l’EASA auprès de la compagnie algérienne est d’ores et déjà prévue le 13 novembre.
AIR JOURNAL