Rabah Madjer: «J'ai des ambitions pour changer la politique de notre football»
De Doha, Rabah Madjer a expliqué par téléphone dans l'une des émissions radiophoniques hebdomadaires : «Je réitère ma disponibilité à servir et développer notre football si jamais les responsables du secteur jugent utile que je sois à la tête de notre équipe nationale, aussi c'est flatteur de la part de deux monuments du football à savoir Rachid Mekhloufi et Abdelhamid Kermali d'avoir eu à proposer mon nom pour réformer notre sport-roi.
C'est d'ailleurs grâce à eux que j'ai réussi ma carrière footballistique d'abord en Algérie et ensuite à l'étranger. Ces derniers méritent d'être mis dans les meilleures conditions pour sauver quelque peu les meubles. En revanche, si je reviens pour exercer en Algérie dans la sélection,
je changerai beaucoup de choses, dont la politique avec un projet ambitieux pour redorer le blason terni de notre football, mais également Djamel Menad comme adjoint.»
Concernant les joueurs locaux, l'ambassadeur de l'Unicef des bienfaisances dira : «Il n'y a aucun problème là-dessus je dirai qu'il faut composer l'EN des meilleurs joueurs qu'ils soient locaux ou professionnels. Je m'inspirerai ainsi de la gestion des années fastes (1970-1980). J'organiserai en Algérie deux stages par mois ponctués par plusieurs matches amicaux. Je n'attendrai pas les dates Fifa.»
Le temps DZ
De Doha, Rabah Madjer a expliqué par téléphone dans l'une des émissions radiophoniques hebdomadaires : «Je réitère ma disponibilité à servir et développer notre football si jamais les responsables du secteur jugent utile que je sois à la tête de notre équipe nationale, aussi c'est flatteur de la part de deux monuments du football à savoir Rachid Mekhloufi et Abdelhamid Kermali d'avoir eu à proposer mon nom pour réformer notre sport-roi.
C'est d'ailleurs grâce à eux que j'ai réussi ma carrière footballistique d'abord en Algérie et ensuite à l'étranger. Ces derniers méritent d'être mis dans les meilleures conditions pour sauver quelque peu les meubles. En revanche, si je reviens pour exercer en Algérie dans la sélection,
je changerai beaucoup de choses, dont la politique avec un projet ambitieux pour redorer le blason terni de notre football, mais également Djamel Menad comme adjoint.»
Concernant les joueurs locaux, l'ambassadeur de l'Unicef des bienfaisances dira : «Il n'y a aucun problème là-dessus je dirai qu'il faut composer l'EN des meilleurs joueurs qu'ils soient locaux ou professionnels. Je m'inspirerai ainsi de la gestion des années fastes (1970-1980). J'organiserai en Algérie deux stages par mois ponctués par plusieurs matches amicaux. Je n'attendrai pas les dates Fifa.»
Le temps DZ
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