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En plus des prix attractifs, l’établissement offre un cadre idéal pour la commercialisation des ovins.
à une dizaine de jours de l’Aïd El Adha, l’établissement lazaret, transit et activités connexes (Latraco) de Birtouta, spécialisé dans l’élevage et la commercialisation d’ovins, a lancé, comme chaque année, l’opération de vente de moutons dans de bonnes conditions. En effet, l’établissement, au personnel qualifié, propose à la vente des moutons qui sont soumis à un suivi médical drastique, ce qui permet d’écarter les risques de maladies contagieuses. «Nous nous approvisionnons à hauteur de 60% de nos propres unités. Notre cheptel est soumis à un suivi médical des plus rigoureux. Il est assuré par notre personnel», soutient Dr Razzoug Salim, médecin vétérinaire à Latraco. «Le cheptel est acheminé en grande partie de nos unités d’engraissement qui se trouvent à Laghouat et à Berouaghia», poursuit-il.
En effet, avant que les bêtes ne parviennent à l’unité de Birtouta, où elles sont aussi soumises à un contrôle médical permanent, les ovins ont préalablement subi le même genre de contrôle et de suivi au niveau de leur lieu de provenance. Les clients, qui se présentent à Latraco afin d’acheter le mouton de l’Aïd, sont pour le moins rassurés quant à la qualité des moutons qui ne représentent aucunement de menace sur leur santé, soutient-on au niveau de l’unité de Haouch El Gazouz à Birtouta. S’agissant des prix appliqués, l’établissement pratique des paramètres de vente basés sur le pesage des bêtes.
«Tout le cheptel est pesé afin d’en déterminer la catégorie qui correspond au prix. Le mouton le moins cher vaut 17 000 DA. Vivant, son poids oscille entre 30 et 34 kg. Le plus cher est à 38 000 DA. Entre une catégorie et une autre, il y a cinq kilogrammes d’écart», soutient le médecin vétérinaire de l’établissement, qui fait remarquer que les moutons sont désignés par une marque de couleur qui détermine leur catégorie d’appartenance. Il est à noter que les clients qui, faute d’espace approprié dans leur domicile ne peuvent pas prendre leur mouton avec eux, ont la possibilité de le laisser sur place jusqu’à la veille de l’Aïd. «Les clients doivent, toutefois, s’acquitter d’un montant forfaitaire de 500 DA et laisser le mouton autant de jours qu’ils le souhaitent», précise-t-on.
L’unité de Latraco est un exemple à suivre en matière de commercialisation du cheptel. «Nous avons été surpris par la propreté des lieux et l’accueil est formidable», nous ont confié plusieurs clients présents sur les lieux, qui affirment que l’établissement dispose d’un parking. Les nombreux acheteurs venus au niveau de cet établissement souhaitent que l’opération soit généralisée au niveau des collectivités locales, où l’anarchie en matière de commercialisation du mouton de l’Aïd est fréquente.
Saci Kheireddine (El Watan).
à une dizaine de jours de l’Aïd El Adha, l’établissement lazaret, transit et activités connexes (Latraco) de Birtouta, spécialisé dans l’élevage et la commercialisation d’ovins, a lancé, comme chaque année, l’opération de vente de moutons dans de bonnes conditions. En effet, l’établissement, au personnel qualifié, propose à la vente des moutons qui sont soumis à un suivi médical drastique, ce qui permet d’écarter les risques de maladies contagieuses. «Nous nous approvisionnons à hauteur de 60% de nos propres unités. Notre cheptel est soumis à un suivi médical des plus rigoureux. Il est assuré par notre personnel», soutient Dr Razzoug Salim, médecin vétérinaire à Latraco. «Le cheptel est acheminé en grande partie de nos unités d’engraissement qui se trouvent à Laghouat et à Berouaghia», poursuit-il.
En effet, avant que les bêtes ne parviennent à l’unité de Birtouta, où elles sont aussi soumises à un contrôle médical permanent, les ovins ont préalablement subi le même genre de contrôle et de suivi au niveau de leur lieu de provenance. Les clients, qui se présentent à Latraco afin d’acheter le mouton de l’Aïd, sont pour le moins rassurés quant à la qualité des moutons qui ne représentent aucunement de menace sur leur santé, soutient-on au niveau de l’unité de Haouch El Gazouz à Birtouta. S’agissant des prix appliqués, l’établissement pratique des paramètres de vente basés sur le pesage des bêtes.
«Tout le cheptel est pesé afin d’en déterminer la catégorie qui correspond au prix. Le mouton le moins cher vaut 17 000 DA. Vivant, son poids oscille entre 30 et 34 kg. Le plus cher est à 38 000 DA. Entre une catégorie et une autre, il y a cinq kilogrammes d’écart», soutient le médecin vétérinaire de l’établissement, qui fait remarquer que les moutons sont désignés par une marque de couleur qui détermine leur catégorie d’appartenance. Il est à noter que les clients qui, faute d’espace approprié dans leur domicile ne peuvent pas prendre leur mouton avec eux, ont la possibilité de le laisser sur place jusqu’à la veille de l’Aïd. «Les clients doivent, toutefois, s’acquitter d’un montant forfaitaire de 500 DA et laisser le mouton autant de jours qu’ils le souhaitent», précise-t-on.
L’unité de Latraco est un exemple à suivre en matière de commercialisation du cheptel. «Nous avons été surpris par la propreté des lieux et l’accueil est formidable», nous ont confié plusieurs clients présents sur les lieux, qui affirment que l’établissement dispose d’un parking. Les nombreux acheteurs venus au niveau de cet établissement souhaitent que l’opération soit généralisée au niveau des collectivités locales, où l’anarchie en matière de commercialisation du mouton de l’Aïd est fréquente.
Saci Kheireddine (El Watan).