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En France en 20 ans, la mortalité a diminué de 22% chez les hommes et de 14% chez les femmes, selon un rapport de l'Institut national du cancer (INCa) qui couronne l'impact de la prévention et du diagnostic précoce associé à de meilleurs traitements.
Cette tendance générale s'est particulièrement accélérée pendant la dernière décennie, précise le rapport "Dynamique d'évolution des taux de mortalité des principaux cancers en France". Ces dix dernières années, la mortalité a diminué de 16% chez les hommes, mais de 8% seulement chez les femmes, un moins bon résultat pour les Françaises dû en grande partie à l'augmentation rapide de la mortalité par cancer du poumon féminin.
Toutes les régions enregistrent cette amélioration. Certes, sur la période 2003-2007, les cancers représentaient encore la première cause de mortalité pour les hommes (33% des décès) et la deuxième pour les femmes (23%) et des disparités persistent dans les taux de mortalité, mais il semble se dessiner une tendance à l'homogénéisation.
Sur cette période, en moyenne, 147.800 décès par cancer ont été enregistrés chaque année en France, dont 88.2000 chez l'homme et 59.600 chez la femme.
Toujours sur la période la plus récente, ce sont les personnes les plus âgées qui meurent le plus du cancer: 70% des décès surviennent après 65 ans, dont 50% après 75 ans et 20% après 85 ans.
Chez l'homme, 52% des décès sont liés aux cancers du poumon, du côlon-rectum, de la prostate, de l'oropharynx et de l'oesophage. Chez la femme, 42% au cancers du sein, du poumon et du côlon-rectum.
Les cancers les plus graves liés aux facteurs de risque que sont le tabac, l'alcool et l'équilibre nutritionnel enregistrent une diminution conjointe du nombre de nouveaux cas et de la mortalité. Un succès des politiques de prévention associées au diagnostic précoce et à de meilleurs traitements.
Le taux de mortalité prématurée par cancer (avant 65 ans) a diminué au cours des vingt dernières années chez l'homme comme chez la femme. Un recul qui s'explique par la baisse chez l'homme du taux de mortalité due au cancer du poumon et chez la femme par celui du cancer du sein.
Mais malgré cette baisse régulière, la mortalité prématurée par cancer reste en France l'une des plus élevés d'Europe
Par AP
Cette tendance générale s'est particulièrement accélérée pendant la dernière décennie, précise le rapport "Dynamique d'évolution des taux de mortalité des principaux cancers en France". Ces dix dernières années, la mortalité a diminué de 16% chez les hommes, mais de 8% seulement chez les femmes, un moins bon résultat pour les Françaises dû en grande partie à l'augmentation rapide de la mortalité par cancer du poumon féminin.
Toutes les régions enregistrent cette amélioration. Certes, sur la période 2003-2007, les cancers représentaient encore la première cause de mortalité pour les hommes (33% des décès) et la deuxième pour les femmes (23%) et des disparités persistent dans les taux de mortalité, mais il semble se dessiner une tendance à l'homogénéisation.
Sur cette période, en moyenne, 147.800 décès par cancer ont été enregistrés chaque année en France, dont 88.2000 chez l'homme et 59.600 chez la femme.
Toujours sur la période la plus récente, ce sont les personnes les plus âgées qui meurent le plus du cancer: 70% des décès surviennent après 65 ans, dont 50% après 75 ans et 20% après 85 ans.
Chez l'homme, 52% des décès sont liés aux cancers du poumon, du côlon-rectum, de la prostate, de l'oropharynx et de l'oesophage. Chez la femme, 42% au cancers du sein, du poumon et du côlon-rectum.
Les cancers les plus graves liés aux facteurs de risque que sont le tabac, l'alcool et l'équilibre nutritionnel enregistrent une diminution conjointe du nombre de nouveaux cas et de la mortalité. Un succès des politiques de prévention associées au diagnostic précoce et à de meilleurs traitements.
Le taux de mortalité prématurée par cancer (avant 65 ans) a diminué au cours des vingt dernières années chez l'homme comme chez la femme. Un recul qui s'explique par la baisse chez l'homme du taux de mortalité due au cancer du poumon et chez la femme par celui du cancer du sein.
Mais malgré cette baisse régulière, la mortalité prématurée par cancer reste en France l'une des plus élevés d'Europe
Par AP