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Evènements de Laâyoune : Trois éléments des forces de police grièvement blessés (Directeur régional
Evènements de Laâyoune : Trois éléments des forces de police grièvement blessés (Directeur régional de la Santé)
Laâyoune, 08/11/10 - Le directeur régional de la Santé à Laâyoune-Boujdour-Sakia Al Hamra, Mohamed Bouhmiya, a assuré que les actes de vandalisme, perpétrés lundi au niveau de Laâyoune, ont fait trois blessés graves parmi les éléments des forces de police.
Trois éléments des forces de police, grièvement blessés, ont été admis à l'hôpital My Al Hassan Ben Al Mehdi depuis le déclenchement des actes de vandalisme et se trouvent actuellement au service de réanimation, a précisé M. Bouhmiya dans une déclaration à la presse.
Vingt personnes portant de légères blessures ont été admises au même hôpital suite à ces évènements, a-t-il ajouté.
Un gendarme et un élément de la protection civile ont été tués lundi au cours de l'intervention des forces de sécurité pour libérer les personnes âgées, les femmes et les enfants se trouvant sous l'emprise d'un groupe d'individus aux antécédents judiciaires et recherchés dans des affaires de droit commun dans le camp de Gdim Izik, après avoir épuisé toutes les voies de dialogue sérieux pour trouver une issue à une situation inacceptable au regard de la loi.
Un élément des forces auxiliaires est décédé également, lundi à Laâyoune, après avoir reçu plusieurs coups à l'arme blanche de la part de l'un des fauteurs de troubles au moment où il tentait de les empêcher de se livrer à des actes de vandalisme.
"Des mains invisibles" cherchant à déstabiliser la région, derrière les actes de vandalisme à Laâyoune (Chef de la tribu d'Azerkine El Guerh)
Laâyoune- Le chef de la tribu d'Azerkine El Guerh Ahl Belguassem, Mohamed Nafii Belguassem, a affirmé, lundi, à Laâyoune que des mains invisibles, qui n'ont pas intérêt à ce que la région connaisse paix et stabilité, sont derrière les actes de vandalisme commis dans plusieurs quartiers de la ville.
Dans une déclaration à la presse, M. Nafii Belguassem a dénoncé vigoureusement ces actes, dont il a imputé l'entière responsabilité à ces parties.
"Il n'est pas dans nos traditions, nous les Sahraouis, de commettre de tels actes qui sont contre les intérêts des citoyens et s'inscrivent en faux des préceptes de l'Islam", a-t-il dit, condamnant toute personne ayant participé à ces actes.
La destruction des biens d'autrui est contraire à la morale et aux valeurs humaines, a-t-il ajouté, relevant que toute personne a la possibilité de faire valoir ses droits sans recourir à la violence.
L'Etat a adopté une attitude positive et traité avec sérieux les revendications à caractère social des citoyens qui ont dressé des tentes dans le camp de Gdim Izik, a-t-il ajouté, soulignant que le ministre de l'Intérieur, M. Taieb Cherquaoui, a mené un dialogue avec ces citoyens et les a assurés que leurs revendications seront satisfaites.
Les forces de l'ordre sont intervenues lundi pour mettre un terme aux actes de vandalisme perpétrés suite à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp de Gdim Izik en voulant les empêcher de le quitter.
Les forces de l'ordre procèdent à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant dans le camp Gdim Izik à l'est de Laâyoune
Rabat, 08/11/10- Les forces de l'ordre, composées d'éléments de la Gendarmerie Royale et des Forces auxiliaires, ont procédé, lundi matin, sous la supervision des autorités judicaires et dans le respect total des règles juridiques en vigueur, à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp Gdim Izik à l'est de la ville de Laâyoune.
Un communiqué du ministère de l'Intérieur a indiqué que parmi les éléments arrêtés figurent parmi des repris de justice, des individus recherchés dans le cadre d'affaires de droit commun et d'éléments opportunistes qui ne sont aucunement concernés par les revendications sociales mais qui exploitent ces mêmes revendications à des fins politiques selon un agenda bien défini.
Ces éléments ont délibérément fait peu de cas des résultats du dialogue entamé depuis deux semaines par les pouvoirs publics sur les revendications sociales exprimées et en ont façonné à leur guise les contenus et exercé la menace et la violence physique et psychique à l'encontre des personnes se trouvant dans le camp, en particulier les femmes, les enfants et les personnes âgées en vue de les dissuader de quitter le camp ou de démonter leurs tentes.
Ces actes interviennent au moment où se poursuit l'examen de tous les dossiers à caractère social pour satisfaire les revendications conformément aux
critères de mérite et d'équité par les commissions composées des pouvoirs publics, des chioukhs de différentes tribus, des élus et des représentants de la société civile, ajoute le communiqué.
Les pouvoirs publics ont entamé cette opération, qui a duré moins d'une heure et qui a permis de démanteler totalement le camp, pour préserver l'ordre public et assurer la sécurité des citoyens après avoir épuisé toutes les voies visant à instaurer les bases du dialogue sérieux et responsable et après que les personnes arrêtées aient commis des actes qui dépassent le seuil du tolérable en violation flagrante de la loi, rappelle le communiqué.
Les mis en cause seront déférés devant la justice dès clôture de l'enquête judicaire, conclut la même source.
Les forces de l'ordre procèdent à la libération des personnes âgées, des femmes etdes enfants dans la camp de Gdim Izik
Laâyoune - Les forces de l'ordre, composées d'éléments de la gendarmerie royale et des forces auxiliaires, ont mené, lundi à 6H45, une opération pour libérer les personnes âgées, les femmes et les enfants se trouvant sous l'emprise d'un groupe d'individus aux antécédents judiciaires et recherchés dans des affaires de droit commun dans le camp de Gdim Izik, après avoir épuisé toutes les voies de dialogue sérieux pour trouver une issue à une situation inacceptable au regard de la loi.
M. Mohamed Guelmous, Wali de la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra et gouverneur de la province de Laâyoune, a indiqué, dans des déclarations à la presse, que les forces de l'ordre, qui avaient pour but l'arrestation de manière pacifique des éléments hors-la-loi, ont été empêchées d'accéder aux campement et se sont heurtées à une réaction violente par l'usage de bouteilles incendiaires et de bonbonnes de gaz.
Selon un bilan provisoire, l'intervention qui a duré moins d'une heure, a fait quatre blessés parmi les civils et causé la mort de deux éléments des forces de l'ordre, outre 70 blessés parmi ces dernières dont 4 sont dans un état grave.
De même, il a été procédé à l'arrestation de 65 éléments qui se sont opposés aux forces de l'ordre.
Les auteurs de ces actes criminels seront présentés à la justice dès clôture de l'enquête judiciaire.
MAP
Le Cheikh de la tribu de Rguibat Oulad Moussa rejette les actes de vandalisme qui portent atteinte à l'ordre public
Laâyoune, 08/11/10- Le Cheikh de la tribu des Rguibat Oulad Moussa, Hasana Al Idrissi, a rejeté, lundi à Laayoune, les actes de vandalisme qui portent atteinte à l'ordre public, perpétrés le même jour au niveau de la ville.
"Nous, chioukhs et notables de la région, rejetons ce qui s'est passé ce matin, surtout que l'Etat a promis de répondre aux revendications sociales des personnes qui se trouvaient dans le camp de Gdim Izik", a affirmé M. Al Idrissi dans une déclaration à la presse, soulignant que "d'aucun n'a le droit de porter atteinte à l'ordre public et à la dignité d'autrui".
"Le bon citoyen est celui qui oeuvre en faveur de la protection de son pays et de la préservation des biens d'autrui, et entreprend des actions qui répondent aux aspirations de ses concitoyens", a-t-il ajouté.
Les forces de l'ordre sont intervenues lundi pour mettre un terme aux actes de vandalisme perpétrés suite à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp de Gdim Izik à l'est de la ville de Laâyoune.
Le SNPM dénonce avec force les actes de vandalisme contre les locaux de la station TV régionale à Laâyoune
Rabat- Le Syndicat national de la presse nationale (SNPM) a dénoncé avec force les actes de vandalisme perpétrés, lundi, contre les locaux de la station de télévision régionale à Laâyoune par des individus armés de sabres et de couteaux.
Tout en exprimant son soutien aux journalistes et employés de la Télévision, le SNPM "dénonce avec fermeté ce qui s'est passé", qualifiant ces actes de "criminels" auxquels il faut réagir.
Le SNPM a appelé toutes les ONGs nationales et internationales à condamner ces actes et à démasquer les parties instigatrices, soulignant que les fauteurs de troubles démontrent une fois de plus qu'"ils ne croient pas aux droits de l'Homme et à la liberté d'expression".
"Nul n'a le droit d'agresser un média et menacer la sécurité de ses journalistes et employés" ,ajoute le communiqué, faisant observer que les médias bénéficient, dans toutes les régions du monde, d'une "protection spéciale" compte tenu de leur rô le d'informer. Par conséquent, relève le communiqué, toutes les législations nationale et internationale insistent sur la nécessité de leur assurer protection.
Le SNPM a également appelé les pouvoirs publics à ouvrir une enquête et sanctionner les auteurs de ces actes de vandalisme.
Laâyoune, 08/11/10 - Le directeur régional de la Santé à Laâyoune-Boujdour-Sakia Al Hamra, Mohamed Bouhmiya, a assuré que les actes de vandalisme, perpétrés lundi au niveau de Laâyoune, ont fait trois blessés graves parmi les éléments des forces de police.
Trois éléments des forces de police, grièvement blessés, ont été admis à l'hôpital My Al Hassan Ben Al Mehdi depuis le déclenchement des actes de vandalisme et se trouvent actuellement au service de réanimation, a précisé M. Bouhmiya dans une déclaration à la presse.
Vingt personnes portant de légères blessures ont été admises au même hôpital suite à ces évènements, a-t-il ajouté.
Un gendarme et un élément de la protection civile ont été tués lundi au cours de l'intervention des forces de sécurité pour libérer les personnes âgées, les femmes et les enfants se trouvant sous l'emprise d'un groupe d'individus aux antécédents judiciaires et recherchés dans des affaires de droit commun dans le camp de Gdim Izik, après avoir épuisé toutes les voies de dialogue sérieux pour trouver une issue à une situation inacceptable au regard de la loi.
Un élément des forces auxiliaires est décédé également, lundi à Laâyoune, après avoir reçu plusieurs coups à l'arme blanche de la part de l'un des fauteurs de troubles au moment où il tentait de les empêcher de se livrer à des actes de vandalisme.
"Des mains invisibles" cherchant à déstabiliser la région, derrière les actes de vandalisme à Laâyoune (Chef de la tribu d'Azerkine El Guerh)
Laâyoune- Le chef de la tribu d'Azerkine El Guerh Ahl Belguassem, Mohamed Nafii Belguassem, a affirmé, lundi, à Laâyoune que des mains invisibles, qui n'ont pas intérêt à ce que la région connaisse paix et stabilité, sont derrière les actes de vandalisme commis dans plusieurs quartiers de la ville.
Dans une déclaration à la presse, M. Nafii Belguassem a dénoncé vigoureusement ces actes, dont il a imputé l'entière responsabilité à ces parties.
"Il n'est pas dans nos traditions, nous les Sahraouis, de commettre de tels actes qui sont contre les intérêts des citoyens et s'inscrivent en faux des préceptes de l'Islam", a-t-il dit, condamnant toute personne ayant participé à ces actes.
La destruction des biens d'autrui est contraire à la morale et aux valeurs humaines, a-t-il ajouté, relevant que toute personne a la possibilité de faire valoir ses droits sans recourir à la violence.
L'Etat a adopté une attitude positive et traité avec sérieux les revendications à caractère social des citoyens qui ont dressé des tentes dans le camp de Gdim Izik, a-t-il ajouté, soulignant que le ministre de l'Intérieur, M. Taieb Cherquaoui, a mené un dialogue avec ces citoyens et les a assurés que leurs revendications seront satisfaites.
Les forces de l'ordre sont intervenues lundi pour mettre un terme aux actes de vandalisme perpétrés suite à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp de Gdim Izik en voulant les empêcher de le quitter.
Les forces de l'ordre procèdent à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant dans le camp Gdim Izik à l'est de Laâyoune
Rabat, 08/11/10- Les forces de l'ordre, composées d'éléments de la Gendarmerie Royale et des Forces auxiliaires, ont procédé, lundi matin, sous la supervision des autorités judicaires et dans le respect total des règles juridiques en vigueur, à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp Gdim Izik à l'est de la ville de Laâyoune.
Un communiqué du ministère de l'Intérieur a indiqué que parmi les éléments arrêtés figurent parmi des repris de justice, des individus recherchés dans le cadre d'affaires de droit commun et d'éléments opportunistes qui ne sont aucunement concernés par les revendications sociales mais qui exploitent ces mêmes revendications à des fins politiques selon un agenda bien défini.
Ces éléments ont délibérément fait peu de cas des résultats du dialogue entamé depuis deux semaines par les pouvoirs publics sur les revendications sociales exprimées et en ont façonné à leur guise les contenus et exercé la menace et la violence physique et psychique à l'encontre des personnes se trouvant dans le camp, en particulier les femmes, les enfants et les personnes âgées en vue de les dissuader de quitter le camp ou de démonter leurs tentes.
Ces actes interviennent au moment où se poursuit l'examen de tous les dossiers à caractère social pour satisfaire les revendications conformément aux
critères de mérite et d'équité par les commissions composées des pouvoirs publics, des chioukhs de différentes tribus, des élus et des représentants de la société civile, ajoute le communiqué.
Les pouvoirs publics ont entamé cette opération, qui a duré moins d'une heure et qui a permis de démanteler totalement le camp, pour préserver l'ordre public et assurer la sécurité des citoyens après avoir épuisé toutes les voies visant à instaurer les bases du dialogue sérieux et responsable et après que les personnes arrêtées aient commis des actes qui dépassent le seuil du tolérable en violation flagrante de la loi, rappelle le communiqué.
Les mis en cause seront déférés devant la justice dès clôture de l'enquête judicaire, conclut la même source.
Les forces de l'ordre procèdent à la libération des personnes âgées, des femmes etdes enfants dans la camp de Gdim Izik
Laâyoune - Les forces de l'ordre, composées d'éléments de la gendarmerie royale et des forces auxiliaires, ont mené, lundi à 6H45, une opération pour libérer les personnes âgées, les femmes et les enfants se trouvant sous l'emprise d'un groupe d'individus aux antécédents judiciaires et recherchés dans des affaires de droit commun dans le camp de Gdim Izik, après avoir épuisé toutes les voies de dialogue sérieux pour trouver une issue à une situation inacceptable au regard de la loi.
M. Mohamed Guelmous, Wali de la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra et gouverneur de la province de Laâyoune, a indiqué, dans des déclarations à la presse, que les forces de l'ordre, qui avaient pour but l'arrestation de manière pacifique des éléments hors-la-loi, ont été empêchées d'accéder aux campement et se sont heurtées à une réaction violente par l'usage de bouteilles incendiaires et de bonbonnes de gaz.
Selon un bilan provisoire, l'intervention qui a duré moins d'une heure, a fait quatre blessés parmi les civils et causé la mort de deux éléments des forces de l'ordre, outre 70 blessés parmi ces dernières dont 4 sont dans un état grave.
De même, il a été procédé à l'arrestation de 65 éléments qui se sont opposés aux forces de l'ordre.
Les auteurs de ces actes criminels seront présentés à la justice dès clôture de l'enquête judiciaire.
MAP
Le Cheikh de la tribu de Rguibat Oulad Moussa rejette les actes de vandalisme qui portent atteinte à l'ordre public
Laâyoune, 08/11/10- Le Cheikh de la tribu des Rguibat Oulad Moussa, Hasana Al Idrissi, a rejeté, lundi à Laayoune, les actes de vandalisme qui portent atteinte à l'ordre public, perpétrés le même jour au niveau de la ville.
"Nous, chioukhs et notables de la région, rejetons ce qui s'est passé ce matin, surtout que l'Etat a promis de répondre aux revendications sociales des personnes qui se trouvaient dans le camp de Gdim Izik", a affirmé M. Al Idrissi dans une déclaration à la presse, soulignant que "d'aucun n'a le droit de porter atteinte à l'ordre public et à la dignité d'autrui".
"Le bon citoyen est celui qui oeuvre en faveur de la protection de son pays et de la préservation des biens d'autrui, et entreprend des actions qui répondent aux aspirations de ses concitoyens", a-t-il ajouté.
Les forces de l'ordre sont intervenues lundi pour mettre un terme aux actes de vandalisme perpétrés suite à l'arrestation d'éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp de Gdim Izik à l'est de la ville de Laâyoune.
Le SNPM dénonce avec force les actes de vandalisme contre les locaux de la station TV régionale à Laâyoune
Rabat- Le Syndicat national de la presse nationale (SNPM) a dénoncé avec force les actes de vandalisme perpétrés, lundi, contre les locaux de la station de télévision régionale à Laâyoune par des individus armés de sabres et de couteaux.
Tout en exprimant son soutien aux journalistes et employés de la Télévision, le SNPM "dénonce avec fermeté ce qui s'est passé", qualifiant ces actes de "criminels" auxquels il faut réagir.
Le SNPM a appelé toutes les ONGs nationales et internationales à condamner ces actes et à démasquer les parties instigatrices, soulignant que les fauteurs de troubles démontrent une fois de plus qu'"ils ne croient pas aux droits de l'Homme et à la liberté d'expression".
"Nul n'a le droit d'agresser un média et menacer la sécurité de ses journalistes et employés" ,ajoute le communiqué, faisant observer que les médias bénéficient, dans toutes les régions du monde, d'une "protection spéciale" compte tenu de leur rô le d'informer. Par conséquent, relève le communiqué, toutes les législations nationale et internationale insistent sur la nécessité de leur assurer protection.
Le SNPM a également appelé les pouvoirs publics à ouvrir une enquête et sanctionner les auteurs de ces actes de vandalisme.
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