Le bilan de l’expédition punitive qu'ont lancé lundi à l'aube les forces de la répression marocaines contre le camp de la liberté d’El Ayoun s’est alourdi.
Dans un bilan encore provisoire de l’agression violente contre le camp de Gdeim Izizk, le Pront Polisario fait état de "onze morts plus de 723 blessés et 159 disparus" parmi les Sahraouis.
Le ministère des territoires occupés et de la diaspora, a souligné dans un communiqué, publié mardi 09 novembre et repris par SPS, que ce bilan "risque encore de s’alourdir vu les dimensions de l’agression barbare exécutée par les forces armées royales appartenant à plusieurs corps, notamment les Détachements d’Intervention Rapide (DIR) venant du mur de la honte et appartenant au secteur de Guelta, de Haouza et du sous-secteur d’Amgala en plus de 6 bataillons des mêmes troupes marocaines et de la gendarmerie de guerre en plus des unités de Mokhaznis (gardes-mobiles) et des forces de la police".
La même source affirme que les forces marocaines qui ont en outre "saccagé des centaines de maisons et boutiques et détruit des voitures appartenant à des Sahraouis", ont utilisé "les balles réelles, les bombes lacrymogènes, les bâtons, les cailloux et les canons à eau" contre une population civile "pacifique sans défense", composée de plus de 26 000 personnes en majorité de femmes, d’enfants et de personnes âgées.
Pour le Gouvernement sahraoui, "tout cela avait été minutieusement préparé par l’état major de l’occupant, sous les ordres des plus hauts gradés de l’armée et en coordination avec les spécialistes des services de renseignement qui maîtrisent parfaitement, de par une longue expérience dans les innombrables bagnes secrets du royaume, l’art de la torture, des liquidations physiques et de la disparition".
La ville d’El Ayoun, selon la même source, « a commencé à enterrer ses martyrs dans la douleur et la dignité face à la barbarie d’un occupant despotique et féodal qui ne se gêne pas de commettre de lâches assassinats dignes de l’apartheid et du nazisme ».
Le gouvernement sahraoui affirme que les journalistes étrangers, les observateurs internationaux et autres juristes et députés du monde ont été expulsés de la ville assiégée avant le massacre.
Rabah Beldjenna (El Watan).
Dans un bilan encore provisoire de l’agression violente contre le camp de Gdeim Izizk, le Pront Polisario fait état de "onze morts plus de 723 blessés et 159 disparus" parmi les Sahraouis.
Le ministère des territoires occupés et de la diaspora, a souligné dans un communiqué, publié mardi 09 novembre et repris par SPS, que ce bilan "risque encore de s’alourdir vu les dimensions de l’agression barbare exécutée par les forces armées royales appartenant à plusieurs corps, notamment les Détachements d’Intervention Rapide (DIR) venant du mur de la honte et appartenant au secteur de Guelta, de Haouza et du sous-secteur d’Amgala en plus de 6 bataillons des mêmes troupes marocaines et de la gendarmerie de guerre en plus des unités de Mokhaznis (gardes-mobiles) et des forces de la police".
La même source affirme que les forces marocaines qui ont en outre "saccagé des centaines de maisons et boutiques et détruit des voitures appartenant à des Sahraouis", ont utilisé "les balles réelles, les bombes lacrymogènes, les bâtons, les cailloux et les canons à eau" contre une population civile "pacifique sans défense", composée de plus de 26 000 personnes en majorité de femmes, d’enfants et de personnes âgées.
Pour le Gouvernement sahraoui, "tout cela avait été minutieusement préparé par l’état major de l’occupant, sous les ordres des plus hauts gradés de l’armée et en coordination avec les spécialistes des services de renseignement qui maîtrisent parfaitement, de par une longue expérience dans les innombrables bagnes secrets du royaume, l’art de la torture, des liquidations physiques et de la disparition".
La ville d’El Ayoun, selon la même source, « a commencé à enterrer ses martyrs dans la douleur et la dignité face à la barbarie d’un occupant despotique et féodal qui ne se gêne pas de commettre de lâches assassinats dignes de l’apartheid et du nazisme ».
Le gouvernement sahraoui affirme que les journalistes étrangers, les observateurs internationaux et autres juristes et députés du monde ont été expulsés de la ville assiégée avant le massacre.
Rabah Beldjenna (El Watan).
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