Le SNPM dénonce l'interdiction à un groupe de journalistes marocains d'accéder à la ville de Melilia occupée
Rabat- Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a dénoncé, mardi, l'interdiction d'accès à un groupe de journalistes marocains à la ville de Melillia occupée et le confinement de deux cameramen dans un local par la garde civile espagnole à leur entrée au point de passage de la ville.
Dans un communiqué, le SNPM considère que ce comportement de la garde civile espagnole constitue une pratique répressive à l'égard de journalistes marocains, qui ne se sont retrouvés dans cette ville que pour accomplir leur mission comme le prévoient toutes les lois et les normes internationales, y compris la législation de l'Etat espagnol lui même.
Le Syndicat rappelle que ce groupe de journalistes s'est déplacé à la ville de Melillia occupée pour accomplir sa mission professionnelle, précisant que deux cameramen de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), Abderahim El Bouhedioui (2M) et Rachid Laâtabi (Al Oula), ont été retenus et confinés, à leur entrée au point de passage de Melillia, dans un local où ils étaient soumis à un interrogatoire sur les motifs de leur présence dans la ville occupée.
Le Syndicat fait observer que la garde civile espagnole a également confisqué les passeports de trois journalistes, qui accompagnaient les deux cameramen, en l'occurrence Badiaâ Zekhnini (Al Oula), Azzedine Lamrini (Al Ahdat Al Maghribiya) et Said Youssi (MAP), ajoutant que le groupe des journalistes marocains a été obligé de revenir à Nador.
Le Syndicat rapporte, citant M. Azeddine Lamrini, membre du comité régional du SNPM à Nador, que le but de ces pratiques est d'«harceler les journalistes marocains particulièrement les chaînes de télévision qui ont diffusé des programmes sur les souffrances des Marocains dans cette ville où ils font l'objet d'une répression énorme de la part des forces espagnoles».
Le Syndicat rappelle qu'il ne s'agit pas de la première fois où les forces espagnoles dans la ville de Melillia occupée usent de ces pratiques répressives, qui vont à l'encontre des idéaux dont se gargarise l'Espagne, notamment en matière de démocratie et de respect des droits de l'Homme, appelant les organisations nationales et internationales à dénoncer vivement ces agissements.
MAP
Rabat- Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a dénoncé, mardi, l'interdiction d'accès à un groupe de journalistes marocains à la ville de Melillia occupée et le confinement de deux cameramen dans un local par la garde civile espagnole à leur entrée au point de passage de la ville.
Dans un communiqué, le SNPM considère que ce comportement de la garde civile espagnole constitue une pratique répressive à l'égard de journalistes marocains, qui ne se sont retrouvés dans cette ville que pour accomplir leur mission comme le prévoient toutes les lois et les normes internationales, y compris la législation de l'Etat espagnol lui même.
Le Syndicat rappelle que ce groupe de journalistes s'est déplacé à la ville de Melillia occupée pour accomplir sa mission professionnelle, précisant que deux cameramen de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), Abderahim El Bouhedioui (2M) et Rachid Laâtabi (Al Oula), ont été retenus et confinés, à leur entrée au point de passage de Melillia, dans un local où ils étaient soumis à un interrogatoire sur les motifs de leur présence dans la ville occupée.
Le Syndicat fait observer que la garde civile espagnole a également confisqué les passeports de trois journalistes, qui accompagnaient les deux cameramen, en l'occurrence Badiaâ Zekhnini (Al Oula), Azzedine Lamrini (Al Ahdat Al Maghribiya) et Said Youssi (MAP), ajoutant que le groupe des journalistes marocains a été obligé de revenir à Nador.
Le Syndicat rapporte, citant M. Azeddine Lamrini, membre du comité régional du SNPM à Nador, que le but de ces pratiques est d'«harceler les journalistes marocains particulièrement les chaînes de télévision qui ont diffusé des programmes sur les souffrances des Marocains dans cette ville où ils font l'objet d'une répression énorme de la part des forces espagnoles».
Le Syndicat rappelle qu'il ne s'agit pas de la première fois où les forces espagnoles dans la ville de Melillia occupée usent de ces pratiques répressives, qui vont à l'encontre des idéaux dont se gargarise l'Espagne, notamment en matière de démocratie et de respect des droits de l'Homme, appelant les organisations nationales et internationales à dénoncer vivement ces agissements.
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