La solitude pourrait-elle être un facteur de risque cardiovasculaire ?
Oui, si l’on en croit les résultats d’une nouvelle étude américaine publiée dans le journal Psychology and Aging. Cette dernière montre que le fait de se sentir seul fait monter la pression sanguine.
Le Dr Louise Hawkley, chercheur au centre de neuroscience cognitive et sociale de l’université de Chicago dans l’Illinois et son collègue John Cacioppo, professeur de psychologie ont enrôlé 229 personnes âgées de 50 à 68 ans.
« Pouvez-vous trouver facilement de la compagnie quand vous en avez envie ? », « vos relations avec les autres sont-elles superficielles ? »… les investigateurs ont posé toute une série de questions à leurs cobayes pour évaluer leur niveau de solitude.
Les patients ont ensuite passé l’épreuve du sphygmomanomètre. Derrière ce nom barbare se cache l’appareil qui mesure la pression artérielle. Idéalement, celle-ci se situe aux alentours de 12/6, ou encore 120/60. Que signifient ces chiffres ? Quand le médecin prend votre tension, il mesure la pression pulsée résultant de la contraction régulière du cœur. Le 120, c’est pour la pression systolique : celle qui est mesurée au moment où le cœur se contracte. Ce chiffre se situe normalement entre 100 et 140, au-delà on parle d’hypertension. Quant au 60, il traduit la pression diastolique : celle qui est mesurée lorsque le coeur est au repos. Celle-ci ne doit pas dépasser 85 pour rester dans des valeurs normales.
-NouvelOBS
Oui, si l’on en croit les résultats d’une nouvelle étude américaine publiée dans le journal Psychology and Aging. Cette dernière montre que le fait de se sentir seul fait monter la pression sanguine.
Le Dr Louise Hawkley, chercheur au centre de neuroscience cognitive et sociale de l’université de Chicago dans l’Illinois et son collègue John Cacioppo, professeur de psychologie ont enrôlé 229 personnes âgées de 50 à 68 ans.
« Pouvez-vous trouver facilement de la compagnie quand vous en avez envie ? », « vos relations avec les autres sont-elles superficielles ? »… les investigateurs ont posé toute une série de questions à leurs cobayes pour évaluer leur niveau de solitude.
Les patients ont ensuite passé l’épreuve du sphygmomanomètre. Derrière ce nom barbare se cache l’appareil qui mesure la pression artérielle. Idéalement, celle-ci se situe aux alentours de 12/6, ou encore 120/60. Que signifient ces chiffres ? Quand le médecin prend votre tension, il mesure la pression pulsée résultant de la contraction régulière du cœur. Le 120, c’est pour la pression systolique : celle qui est mesurée au moment où le cœur se contracte. Ce chiffre se situe normalement entre 100 et 140, au-delà on parle d’hypertension. Quant au 60, il traduit la pression diastolique : celle qui est mesurée lorsque le coeur est au repos. Celle-ci ne doit pas dépasser 85 pour rester dans des valeurs normales.
-NouvelOBS
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