Le négociateur en chef palestinien, M. Saeb Erekat, a dénoncé vigoureusement, samedi à Tanger, l'utilisation tendancieuse par l'agence officielle espagnole "EFE" d'images d'enfants palestiniens victimes de l'agression israélienne, en prétendant fallacieusement qu'il s'agit de photos provenant de Laâyoune.
A l'issue d'une rencontre tenue avec le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri, le responsable palestinien a condamné cet "acte de désinformation dénué de toute vérité destiné à porter atteinte au Maroc".
Il s'agit là d'une tentative désespérée d'exploiter la cause palestinienne et d'induire en erreur l'opinion publique internationale, a dit M. Erekat, qualifiant cette manœuvre d'"instrumentalisation inacceptable et infondée".
"J'ai vu les photos d'EFE, elles proviennent bel et bien de la bande de Gaza et non de Laâyoune", a-t-il souligné, réitérant le soutien des Palestiniens aux efforts considérables déployés par le Maroc pour régler la question du Sahara marocain par le dialogue et les moyens pacifiques.
"Il n'ya pas lieu de faire une comparaison entre les évènements survenus à Laâyoune et les crimes de guerre commis par Tel-Aviv contre le peuple palestinien, qui vit sous le joug de l'occupation meurtrière d'Israël", a précisé le responsable palestinien, condamnant fermement le non respect par EFE de la déontologie et des règles d'éthique et de professionnalisme journalistique.
Il s'est également dit profondément indigné de l'exploitation par EFE de la cause palestinienne sacrée et des souffrances des victimes et martyrs palestiniens.
Cette mise au point du responsable palestinien, en visite au Maroc pour prendre part au Forum MEDays, intervient à la suite de la diffusion par EFE de photos d'enfants palestiniens, blessés à la tête, recevant des soins dans un hôpital, prétendant qu'il s'agit "de victimes de la répression marocaine".
Or, il s'est avéré qu'il s'agit de photos d'enfants de Gaza, victimes de l'agression israélienne en 2006.
Le ministère de la Communication a dénoncé avec force les pratiques d'animosité, et de falsification des faits, ainsi que les dérives dans lesquelles ont versé certains correspondants de la presse espagnole au Maroc dans leur couverture des actes de violence et de vandalisme commis à Laâyoune.
MAP
A l'issue d'une rencontre tenue avec le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri, le responsable palestinien a condamné cet "acte de désinformation dénué de toute vérité destiné à porter atteinte au Maroc".
Il s'agit là d'une tentative désespérée d'exploiter la cause palestinienne et d'induire en erreur l'opinion publique internationale, a dit M. Erekat, qualifiant cette manœuvre d'"instrumentalisation inacceptable et infondée".
"J'ai vu les photos d'EFE, elles proviennent bel et bien de la bande de Gaza et non de Laâyoune", a-t-il souligné, réitérant le soutien des Palestiniens aux efforts considérables déployés par le Maroc pour régler la question du Sahara marocain par le dialogue et les moyens pacifiques.
"Il n'ya pas lieu de faire une comparaison entre les évènements survenus à Laâyoune et les crimes de guerre commis par Tel-Aviv contre le peuple palestinien, qui vit sous le joug de l'occupation meurtrière d'Israël", a précisé le responsable palestinien, condamnant fermement le non respect par EFE de la déontologie et des règles d'éthique et de professionnalisme journalistique.
Il s'est également dit profondément indigné de l'exploitation par EFE de la cause palestinienne sacrée et des souffrances des victimes et martyrs palestiniens.
Cette mise au point du responsable palestinien, en visite au Maroc pour prendre part au Forum MEDays, intervient à la suite de la diffusion par EFE de photos d'enfants palestiniens, blessés à la tête, recevant des soins dans un hôpital, prétendant qu'il s'agit "de victimes de la répression marocaine".
Or, il s'est avéré qu'il s'agit de photos d'enfants de Gaza, victimes de l'agression israélienne en 2006.
Le ministère de la Communication a dénoncé avec force les pratiques d'animosité, et de falsification des faits, ainsi que les dérives dans lesquelles ont versé certains correspondants de la presse espagnole au Maroc dans leur couverture des actes de violence et de vandalisme commis à Laâyoune.
MAP
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