Est-il possible de savoir des marocains pourquoi prennent-ils en considération la zone libéré des mains des mauritaniens quand ils dessinent leurs frontières ?
Le mur marocain
Depuis les années 80, Rabat à érigé un mur défensif de plus de 2400 km de long, séparant les territoires sous contrôle marocain et ceux "libérés" dont la principale ville sahraouie de Tifariti. Ce dispositif défensif est sans cesse amélioré, notamment avec de nouveaux capteurs (radars...). Protégé par un champs de mines, le mur comprend diverses "couches": barbelés, mur de sable de près de 2 mètres de haut, fossés anti-char, des points d'appui fortifiés hébergeant une section sont situés tout les 2 à 3 kilomètres le long du mur, appuyés à quelques kilomètres en arrière par des Bataillons d'Infanterie Secteur (BIS), prêt à intervenir en cas d'accrochage sur le mur et dont l’action est renforcée par des batteries d'artillerie. Un dispositif qui ne semble pas effrayer l'armée sahraouie. "Nous avons par le passé enfoncé le mur et capturé des points d'appui en de maintes occasions, nous le referons" assure un cadre de l'armée. Reste que la reprise de l'activité militaire marocaine dans le sud du pays, non loin du mur, inquiète les sahraouis. "Depuis novembre, le Maroc renforce son dispositif militaire et organise de vaste manoeuvres militaires. Cette situation nous préoccupe, tout comme le réarmement global du Maroc" assure Mahfud Aliba. Outre l'acquisition de F-16 américains récemment décidée, Rabat se réarme depuis quelques années: hélicoptère d'attaque Cobra, char T-72, système d'artillerie TRF-3 de 155 mm...
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Le mur marocain
Depuis les années 80, Rabat à érigé un mur défensif de plus de 2400 km de long, séparant les territoires sous contrôle marocain et ceux "libérés" dont la principale ville sahraouie de Tifariti. Ce dispositif défensif est sans cesse amélioré, notamment avec de nouveaux capteurs (radars...). Protégé par un champs de mines, le mur comprend diverses "couches": barbelés, mur de sable de près de 2 mètres de haut, fossés anti-char, des points d'appui fortifiés hébergeant une section sont situés tout les 2 à 3 kilomètres le long du mur, appuyés à quelques kilomètres en arrière par des Bataillons d'Infanterie Secteur (BIS), prêt à intervenir en cas d'accrochage sur le mur et dont l’action est renforcée par des batteries d'artillerie. Un dispositif qui ne semble pas effrayer l'armée sahraouie. "Nous avons par le passé enfoncé le mur et capturé des points d'appui en de maintes occasions, nous le referons" assure un cadre de l'armée. Reste que la reprise de l'activité militaire marocaine dans le sud du pays, non loin du mur, inquiète les sahraouis. "Depuis novembre, le Maroc renforce son dispositif militaire et organise de vaste manoeuvres militaires. Cette situation nous préoccupe, tout comme le réarmement global du Maroc" assure Mahfud Aliba. Outre l'acquisition de F-16 américains récemment décidée, Rabat se réarme depuis quelques années: hélicoptère d'attaque Cobra, char T-72, système d'artillerie TRF-3 de 155 mm...
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