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Activisme anti-marocain en Italie: un scénario dicté pour un spectacle pitoyable
Activisme anti-marocain en Italie: un scénario dicté pour un spectacle pitoyable
Rome, 15/11/10- Un ramassis d'individus se faisant les porte-voix de leurs maitres à penser se plient, depuis quelques jours, aux injonctions de leurs manipulateurs pour faire du bruit en Italie autour de la question du Sahara Marocain.
Se mouvant dans le cadre d'un scénario pré-élaboré par leurs montreurs, ces marionnettes exécutent, à chacune de leur représentation, un spectacle qui incite à la pitié, tellement il est pitoyable et tellement le propos y est déplorable.
A Rome devant l'ambassade du Maroc, une dizaine tout au plus parmi ces guignols, accompagnés de quelques Italiens induits en erreur par le discours propagandiste des ennemis, a offert vendredi ce que la scène dramatique peut produire de plus médiocre.
Ni sur le fond, ni sur la forme, les acteurs n'ont assuré. Des slogans puisés dans le langage crapuleux de la haute délinquance et des paroles creuses versant dans la diffamation honteuse plutô t que dans le discours revendicatif relevant de l'argumentaire politique. Un spectacle de misère dans un Etat de droit qui mérite de voir la liberté de manifester s'exprimer sur son sol de bien meilleure manière.
Le même scénario, avec tout autant de platitude, s'est répété dimanche à Florence (centre). Les mêmes ingrédients ont donné lieu au même plat, aussi indigeste et aux saveurs aussi amères.
Pourtant, l'ombre de l'Algérie n'a jamais été loin. Le représentant en chef des séparatistes en Italie, le dénommé Omar Mih, n'a-t-il pas été vu sortir de l'ambassade de l'Algérie à Rome juste avant la "manifestation" devant la représentation diplomatique marocaine ? Qu'y faisait-il en compagnie d'autres membres de sa bande ? Y recevait-il des instructions ? Les "frères algériens" lui dictaient-ils ce qu'il devait dire et faire dire ?
Des questions dont seuls les intéressés ont des réponses. Mais auront-ils le courage de les divulguer ?
Quoiqu'il en soit, et ce n'est un secret pour personne, l'Algérie ne ménage aucun moyen pour assurer la survie de sa création "le polisario" et entretenir son rêve à une hypothétique "république sahraouie" et ce au mépris des aspirations des peuples de la région à l'unité et à l'édification d'un grand ensemble maghrébin intégré, fort et compétitif.
En tout cas, le scénario dicté en Italie par les commanditaires, quels qu'ils soient, de l'activisme anti-marocain leur fait honte au vu du spectacle pitoyable offert et du niveau, dramatiquement bas, affiché par des acteurs qui, les premiers, ne croient pas au rôle attribué à chacun d'eux.
MAP
Rome, 15/11/10- Un ramassis d'individus se faisant les porte-voix de leurs maitres à penser se plient, depuis quelques jours, aux injonctions de leurs manipulateurs pour faire du bruit en Italie autour de la question du Sahara Marocain.
Se mouvant dans le cadre d'un scénario pré-élaboré par leurs montreurs, ces marionnettes exécutent, à chacune de leur représentation, un spectacle qui incite à la pitié, tellement il est pitoyable et tellement le propos y est déplorable.
A Rome devant l'ambassade du Maroc, une dizaine tout au plus parmi ces guignols, accompagnés de quelques Italiens induits en erreur par le discours propagandiste des ennemis, a offert vendredi ce que la scène dramatique peut produire de plus médiocre.
Ni sur le fond, ni sur la forme, les acteurs n'ont assuré. Des slogans puisés dans le langage crapuleux de la haute délinquance et des paroles creuses versant dans la diffamation honteuse plutô t que dans le discours revendicatif relevant de l'argumentaire politique. Un spectacle de misère dans un Etat de droit qui mérite de voir la liberté de manifester s'exprimer sur son sol de bien meilleure manière.
Le même scénario, avec tout autant de platitude, s'est répété dimanche à Florence (centre). Les mêmes ingrédients ont donné lieu au même plat, aussi indigeste et aux saveurs aussi amères.
Pourtant, l'ombre de l'Algérie n'a jamais été loin. Le représentant en chef des séparatistes en Italie, le dénommé Omar Mih, n'a-t-il pas été vu sortir de l'ambassade de l'Algérie à Rome juste avant la "manifestation" devant la représentation diplomatique marocaine ? Qu'y faisait-il en compagnie d'autres membres de sa bande ? Y recevait-il des instructions ? Les "frères algériens" lui dictaient-ils ce qu'il devait dire et faire dire ?
Des questions dont seuls les intéressés ont des réponses. Mais auront-ils le courage de les divulguer ?
Quoiqu'il en soit, et ce n'est un secret pour personne, l'Algérie ne ménage aucun moyen pour assurer la survie de sa création "le polisario" et entretenir son rêve à une hypothétique "république sahraouie" et ce au mépris des aspirations des peuples de la région à l'unité et à l'édification d'un grand ensemble maghrébin intégré, fort et compétitif.
En tout cas, le scénario dicté en Italie par les commanditaires, quels qu'ils soient, de l'activisme anti-marocain leur fait honte au vu du spectacle pitoyable offert et du niveau, dramatiquement bas, affiché par des acteurs qui, les premiers, ne croient pas au rôle attribué à chacun d'eux.
MAP
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