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Les forces marocaines n'ont tiré aucune balle dans le campement de Gdim Izik

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  • Les forces marocaines n'ont tiré aucune balle dans le campement de Gdim Izik

    M.Cherqaoui:Les forces de l'ordre n'ont tiré aucune balle, ni dans le campement de Gdim Izik ni dans les rues de Laâyoune


    Rabat -L'intervention de la force publique dans le campement de Gdim Izik et dans la ville de Laâyoune lors des troubles, "s'est faite sans que l'on ait tiré la moindre balle", a affirmé, lundi à Rabat, le ministre de l'intérieur, M Taieb Cherqaoui .


    S'exprimant lors d'une conférence de presse conjointe avec le ministre des affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri, le ministre de l'intérieur a indiqué que "les forces de l'ordre se sont trouvées confrontées à une situation difficile d'autodéfense", ce qui explique, a-t-il dit, "les douloureuses pertes humaines enregistrées dans leurs rangs".
    Les forces de l'ordre se sont heurtées à une résistance violente de la part de milices entrainées qui ont fait usage de bonbonnes à gaz, de véhicules 4x4 roulant à vive allure pour heurter les forces de l'ordre. Un élément de ces forces a été sauvagement égorgé, a dit le ministre.
    Le Maroc n'a jamais connu par le passé ce genre d'actes barbares dont nous connaissons les instigateurs, a ajouté le ministre, précisant que les auteurs de ce genre d'actes s'activent dans la région du sahel.
    Dans sa présentation de la chronologie des événements qu'a connus la ville de Laâyoune, durant la journée du 8 novembre, M. Cherqaoui a fait savoir que cette intervention a fait dix morts dans les rangs des forces de l'ordre, dont un membre de la Protection civile, et 70 blessés parmi celles-ci, alors que quatre civils ont été blessés.
    Un seul civil, a-t-il dit, a trouvé la mort durant la même journée à son heurt par un véhicule dans l'une des artères de la ville de Laâyoune où se sont déroulés les troubles.
    Un deuxième civil devait décéder suite aux complications d'une pneumonie aigue selon un rapport médico-légal.
    "Cette intervention a eu lieu après épuisement de toutes les voies de dialogue sérieux pour trouver une solution à une situation inacceptable au regard de la loi et qui exigeait de l'Etat d'intervenir pour protéger la sécurité et la quiétude des citoyens et imposer le respect de l'ordre public et libérer les habitants du campement", a ajouté le ministre.
    Il a signalé que les forces de l'ordre, composées des éléments de la gendarmerie royale et des forces auxiliaires, qui sont intervenues de façon pacifique, se sont heurtées à une résistance violente de la part de milices qui ont fait usage de différentes armes: jets de pierres, bouteilles incendiaires, bonbonnes de gaz, armes blanches ...
    Les forces de l'ordre, a précisé le ministre, ont procédé à l'évacuation du campement en moins d'une heure, assurant la protection nécessaire à la population pour son évacuation et restaurant l'ordre public.
    Par la suite, "ces milices ont transféré les affrontements dans la ville de Laâyoune, où elles ont incendié des bâtiments et des biens publics et porté préjudice aux propriétés d'autrui", a souligné M. Cherqaoui, indiquant que les forces de l'ordre ont fait face à ces actes en recourant aux seuls moyens classiques de dispersion des manifestations pacifiques, malgré la violence qu'elles ont subie.
    M. Taieb Cherqaoui a signalé que 77 individus ont été déférés devant la justice, dont six devant le tribunal militaire, alors que 64 autres sont soumis à l'enquête judiciaire et sept autres ont été relaxés. Il est à préciser que 13 parmi ceux-ci ont des antécédents judiciaires.
    Dans une seconde phase, a-t-il ajouté, 36 autres individus ont été déférés devant la cour, dont 20 repris de justice, ce qui porte à 33 le nombre de repris de justice.
    Après avoir évoqué les circonstances dans lesquelles le campement de Gdim Izik a été installé pour exprimer des revendications sociales relatives particulier au logement, à l'emploi et pour bénéficier des cartes de promotion nationale, il a affirmé que les pouvoirs publics ont choisi de permettre aux citoyens d'exprimer leurs revendications sociales dans le cadre de la liberté d'expression et décidé d'entamer un dialogue avec les membres de la dénommée "coordination du campement " dans le cadre d'une série de séances.
    Le ministre a indiqué que le dialogue avec "la coordination du campement" a débouché sur un accord au sujet de toutes les doléances. Toutefois, les membres de cette dernière "s'évertuaient à mettre constamment en cause, au fur et à mesure de l'avancement des consultations, les accords précédemment convenus tout en se livrant à toutes sortes de provocations dans l'intention de provoquer l'intervention de la force publique et entrainer des dérapages et faire des victimes parmi les citoyens".
    Ces agissements, a-t-il dit, ont été mis en échec par les autorités publiques qui ont privilégié le dialogue.
    Les autorités publiques, a-t-il noté, avaient recueilli des informations faisant état de restrictions et tracasseries imposées à des journalistes étrangers ( Jeune Afrique et Reuters ), soumis a un interrogatoire par les milices qui contrôlaient le campement . Celles-ci recouraient à la menace et à la violence physique et psychique à l'encontre des personnes qui se sont installées dans le campement, en particulier les personnes âgées, les femmes et les enfants pour les empêcher de quitter les lieux ou démonter leurs tentes.
    Le ministre a fait savoir que le campement comprenait différentes catégories de personnes: les familles démunies et en situation précaire, mais aussi des repris de justice, des recherchés et des trafiquants, en plus d'un groupe d'opportunistes qui a établi son emprise sur les occupants du campement et usé de toutes sortes de manoeuvres pour faire avorter le dialogue.
    Devant l'absence de volonté de parvenir à une solution ou à un compromis, malgré la disposition affichée par les pouvoirs publics pour la satisfaction immédiate des revendications de la population nécessiteuse, les autorités, a dit le ministre, ont décidé d'intervenir pour mettre un terme à cette situation illégale et assurer la protection aux habitants du camp, faits otages par une bande criminelle et un groupe d'opportunistes servant un agenda politique étranger.

    Les forces de l'ordre avaient pour souci de préserver l'intégrité physique des personnes séquestrées dans le camp Gdeim Izik (Taeb Cherqaoui)


    Rabat- Le ministre de l'Intérieur, M. Taeb Cherqaoui a affirmé que les autorités marocaines sont intervenues pour démanteler le camp Gdeim Izik, de façon à préserver l'intégrité physique des personnes qui y étaient séquestrées, sans faire usage d'armes et ou tirer aucun coup de feu ni dans le campement ni lors des actes de vandalisme qu'a connus la ville de Laâyoune.


    Au cours d'une conférence de presse conjointe avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taïb Fassi Fihri, le ministre de l'Intérieur a ajouté que le Maroc est un pays démocratique, qui honore l'Homme et défend les valeurs universelles des droits de l'Homme.
    Depuis le dressement de ce camp, les autorités marocaines ont opté pour la voie du dialogue afin de trouver un règlement aux problèmes sociaux, a dit le ministre, ajoutant qu'il était impossible de faire un autre choix qui ne saurait cadrer avec les grandes orientations du Maroc et son édifice démocratique.
    Cette intervention ne s'est faite que lorsqu'il s'est avéré que le campement est tombé sous l'emprise des trafiquants, des bandes et des opportunistes qui servent des agendas politiques extérieurs, lesquels faisaient chanter les gens et recouraient à la violence pour les empêcher de quitter le camp, a-t-il affirmé.
    Les individus ayant des antécédents judiciaires conditionnaient l'évacuation du camp à l'engagement de l'Etat d'annuler les poursuites judiciaires engagées à leur encontre, les membres des bandes du trafic demandaient l'annulation des avis de recherche lancés contre eux et la libération des membres de leurs bandes en détention, a indiqué le ministre, ajoutant que les catégories qui défendaient des revendications sociales, sont devenues l'otage de cette situation en subissant les actes de violence.
    M. Cherqaoui a évoqué la manière et l'organisation des agressions comme l'a montré la projection, lors de cette conférence de presse, d'une vidéo retraçant les détails de l'opération de démantèlement du camp et des actes criminels et de destruction commis par ces bandes à Laâyoune.
    Ces bandes ont utilisé des véhicules 4*4 roulant à vive allure pour heurter les forces de l'ordre et se déplacer dans plusieurs lieux pour y mettre du feu, a souligné le ministre, ajoutant que les membres de ces bandes, tous des repris de justice, étaient armés de sabres, de haches et de coutelas dont ils se servaient pour semer la terreur parmi la population et tuer de sang froid.
    Les images de cette vidéo montrent que les auteurs de ces actes ont suivi des entrainements et commis des actes criminels, a relevé le ministre, faisant remarquer que ces images qui suffisent à elles-mêmes comportaient des réponses aux questions posées.
    M. Cherqaoui a tenu à élever des prières pour le repos de l'âme des martyrs du devoir national parmi les éléments des forces de l'ordre qui se sont sacrifiés pour garantir la sécurité des autres et qui se sont dressés contre les fauteurs de troubles avec courage et sacrifice, armés seulement de bâtons et de casques.
    Ces forces ont fait face à ces criminels, faisant montre d'un haut esprit de responsabilité et de retenue, a indiqué le ministre, soulignant qu'elles ne s'attendaient pas à ce que les éléments de sécurité feraient l'objet d'une telle barbarie.


    MAP
    Dernière modification par Maghreb-United, 15 novembre 2010, 23h00.

  • #2
    Les forces de l'ordre n'ont tiré aucune balle, ni dans le campement de Gdim Izik ni dans les rues de Laâyoune
    C est M.Cherqaoui qui le dit ?
    Même la matraque , le gourdin elles fracassent les crânes .

    Au moins il doit attendre pour se justifier !, la conclusion et la déclaration officielle du conseil de sécurité qui vont se réunir demain
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

    Commentaire


    • #3
      plus ils justifient, plus ils s enfoncent dans les mensonges et les contradictions!

      si le minsitre avait la moindre preuve d une présumée sauvegarie des paisibles autochtones, il n aurait jamais hésité é les montrer au monde!
      keddabine

      Commentaire


      • #4
        Drizz

        ils les a montrées

        mets toi à jour
        La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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        • #5
          Drizz,

          Projection d'une vidéo retraçant les crimes perpétrés par des milices du polisario contre les forces de l'ordre au camp Gdiem Izik


          Rabat- Une vidéo retraçant les crimes perpétrés par des milices et des individus aux antécédents judiciaires contre des éléments des forces de l'ordre qui sont intervenus pacifiquement pour démanteler le camp Gdiem Izik, a été projetée, lundi à Rabat, lors d'une conférence de presse conjointe du ministre de l'Intérieur et du ministre des Affaires étrangères et de la coopération.


          La vidéo, constituée d'images provenant de caméras des forces de l'ordre et de téléphone, illustre la violence et la barbarie dont ont fait montre les membres d'une milice criminelle aux antécédents judiciaires contre les forces de l'ordre intervenues pour libérer des enfants et des personnes âgées se trouvant au camp.
          La vidéo débute par des séquences sur des sommations d'usage à l'adresse des occupants du camp qui ont été invités via des haut-parleurs au sol et d'hélicoptères de la Gendarmerie royale à quitter le campement. Le document montre des citoyens en train de quitter volontairement le campement à bord d'autobus mis à leur disposition en réponse à l'appel des autorités avant que des éléments violents ne s'opposent à l'évacuation, menaçant femmes et personnes âgées à l'aide d'armes blanches et de bonbonnes de gaz incendiaires.
          Ces éléments violents qui opèrent selon un mode d'action qui rappelle les procédés adoptés par les milices paramilitaires opérant au Sahel, ont attaqué les forces de l'ordre qui procédaient au démantèlement de tentes vides.
          L'agression minutieusement préparée par ces milices paramilitaires qui ont fait montre d'une violence inouïe contre les éléments des forces de l'ordre a connu l'usage de jet de pierres, de cocktail-Molotov et bonbonnes de gaz incendiaires. Les images montrent également des miliciens en train de s'acharner sauvagement sur les dépouilles de certains éléments des forces de l'ordre décédés lors de cette intervention.
          Devant cette violence inouïe, les forces de l'ordre ont continué à faire preuve de retenue et de professionnalisme en s'en tenant à l'usage strict de moyens conventionnels de maintien de l'ordre et de camion motopompes pour éviter que des civils ne soient blessés lors de l'intervention.
          La violence des miliciens qui n'a épargné ni forces de l'ordre ni ambulances et pompiers a atteint son paroxysme sur le chemin de retour vers Laâyoune sur lequel les images montrent des dépouilles d'éléments des forces de l'ordre lynchées et souillées par des actes inhumains.
          Dans un acte dénué de toute humanité, une image prise d'un hélicoptère montre un milicien en train d'uriner sur le corps sans vie d'un agent des forces de l'ordre et sur un autre en train d'agoniser.
          Une fois arrivés à Laâyoune, les éléments de la milice qui se trouvaient au campement de Gdiem Izik ont poursuivi leurs actes de violence, incendiant des voitures, des locaux commerciaux et des établissements publics.
          La vidéo qui retrace également l'itinéraire d'un élément de cette milice du camp Gdiem Izik à Laâyoune, montre comment ce dernier a égorgé sauvagement et de sang froid, sous les regards de ses complices, un élément des forces auxiliaires en état d'agonie.
          Par leur cruauté, leur technique et leur préparation minutieuse, il est clair que les actes commis contre les forces de l'ordre rappellent le mode préparatoire des dangereuses bandes qui agissent dans l'espace sahelo-saharien.
          Aucun décès n'a été enregistré parmi la population alors qu'on compte dix morts dans le rang des forces de l'ordre qui tout au long de ces évènements n'ont à aucun moment, usé d'armes à feu.

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          • #6
            la conclusion et la déclaration officielle du conseil de sécurité qui vont se réunir demain

            tu reves ou quoi, il n'y aura rien du tout,
            gallek le conseil va se reunir demain

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            • #7
              -L'intervention de la force publique dans le campement de Gdim Izik et dans la ville de Laâyoune lors des troubles,
              M.Cherqaoui qui le dit ?

              http://www.afrol.com/images/events/w...iotsdeaths.jpg
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                c est comme ca qu on transporte ses enfants, victimes de l aventure et du piége du camps de Gdim Izik ? sans drapeaux, sans respect , enroulés dans des draps comme des c##### errants abbatus?

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                • #9
                  houari.
                  cette photo,c'est le corps des foces de l'ordre égorgés par le voyous .ils ne vont pas les laisser trainer sur le sol.
                  tu la postée 8 fois cette photo,et regarde là encore une autre fois
                  là voici.
                  c'est un perroquet
                  "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

                  Commentaire


                  • #10
                    c'est un perroquet
                    C'est connu ... Son cas est unique ...

                    Commentaire


                    • #11
                      DRIZZ.
                      pratiquement toutes les ambulances avaient brulées.
                      comment veut-tu qu'ils soient transportés,sur une charette.?
                      c'est leurs collègues qui les ont ramassés.
                      vous ètes vraiments ignobles avec même des morts.
                      Tu perds ton temps, il est aveuglé par sa haine envers le Maroc produit par ses journaux diriger par les dirigeants de l'Algérie populaire démocratique.

                      Commentaire


                      • #12
                        houari.
                        cette photo,c'est le corps des foces de l'ordre égorgés par le voyous
                        @ahfirien
                        Oh bon ! des forces de l ordre ramassé et posés pèle mêle dans les camions ? Yak ! ce n est pas des marocains
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • #13
                          pratiquement toutes les ambulances avaient brulées.
                          comment veut-tu qu'ils soient transportés,sur une charette.?
                          c'est leurs collègues qui les ont ramassés.
                          vous ètes vraiments ignobles avec même des morts.
                          ahfirien pourquoi tu te justifies?
                          ce sont des gens qui veulent pas la verité , tellement haineux qu ils esperent la mort d'enfants de sahraouis rien que pour pouvoir assouvir leur haine et se donner a coeur joie de crier la monarchie feodale moyenageuse.
                          ils vont étre decus que finalement ils y a pas de morts de sahraouis tellement sont humanistes
                          "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

                          Commentaire


                          • #14
                            conseil de securité

                            conseil de secu ou pas on y est et on y reste. si vous voulez la guerre ne vous cachez pas derriere le polisario.

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                            • #15
                              avant d oublier

                              c est apres amgala qu on a recuperer nos terre et construit le mur pour ceux qui viennent de tomber du lit

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