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Question du journaliste vendu d'aljazeera (Qatar) : département des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies (DPKO) a dit que la MINURSO n'a pas eu accès aux camps pour enquêter ou avoir des informations sur les incidents de la semaine dernières est ce que c'est vrai et qu'est ce qui s'est passé ?
Quelles sont les raisons derrière le refus du Maroc de l'envoi d'une commission d'enquête et aussi ce que beaucoup de diplomates qui se sont exprimés ici ont dit que personne ne connait le nombre exact de morts et de blessés dans les rangs du polisario parce que le Maroc interdit l'accès aux médias et aux parties indépendantes ?
Réponse de son Excellence : Premièrement, le Maroc n'interdit pas l'accès et il y a là-bas (au Sahara) beaucoup de représentants de la presse et des représentants des Organisations Non Gouvernementale qui ont visité la région.
Deuxièmement, les autorités marocaines sont en contact journalier avec la MINURSO pour lui communiquer toutes les informations sur la situation et on ne peut dire que le Maroc ait fait de la rétention d'information. Même les ONG ont donné le nombre de morts et elles ont affirmé que les seuls mort sont 10 parmi les forces de l'ordre, je réitère encore une fois que les forces de sécurité (maintien de l'ordre) n'avaient en leur possession aucune armes à feu et deux morts civils.
Question du même journaliste :
Quelles précautions ou actions allez vous prendre à l'avenir pour protéger les forces de sécurité contre ce type d'actes dont vous avez parlé ?
Réponse de son Excellence : personnellement, je pense que cette question ne devrait pas être posée au Maroc mais à ceux qui font des opérations de provocation et je pense que tous le monde voient que le niveau auquel ces provocations sont arrivées nécessite une réponse claire et sans équivoque de l'ensemble de la communauté internationale contre ce type de provocations (égorger et lapider des agents de l'ordre désarmés) !
Question du même journaliste : Mais ces faits se sont produit sur vos terres, sous votre autorité et c'était la police marocaine qui y faisait face ?
Réponse de son Excellence : ce qui s'est passé ne changera pas la politique marocaine, le Maroc est un pays qui essaye avec toutes ses capacités à construire un pays démocratique, ouvert qui respecte les droits de l'homme et vous savez quand vous respectez les droits de l'ordre, d'autres utilisent cette liberté à d'autre fins !
Question d'une autre journaliste : Human Right Watch vient d'annoncer la mort de deux civils dans les incidents à Laayoune qui confirme les dires des autorités marocaines qu'en pensez-vous ?
Réponse de son Excellence : je pense que c'est exactement ce que je viens de dire à votre collègue d'aljazeera, je lui ai dit que les autorités marocaines ont veillé depuis le début à partager tous les éléments d'appréciations et toutes les informations avec la MINURSO et nous sommes confortés dans notre approche, dans notre conviction et dans notre vision de l'avenir lorsque les informations sont confirmés par des moyens de presse et par les ONG dont vous indiqué une de ses ONG importante.
Question d'une journaliste anglophone : le représentant du département des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies (DPKO) a dit que la MINURSO n'a pas eu accès au camp pour enquêter ou avoir des informations sur les incidents de la semaine dernières est ce que c'est vrai et qu'est ce qui s'est passé ?
Réponse de son Excellence : premièrement, les autorités marocaines s'assure toujours que les informations soient partagés avec la MINURSO, deuxièmement, je pense que ceux qui ont le privilège de vivre à Laayoune et je suis l'un d'eux savent que la MINURSO peut collecter toutes les informations possibles. J'y étais au MINURSO et je connais l'étendue du système d'information qui est extrêmement efficace et efficient. Ceci étant dit, comme je l'ai déjà dit, le Maroc n'a rien à cacher, le Maroc partage toutes les informations avec la MINURSO et je pense que le fait que des quelque très grandes ONG internationales aient confirmé les chiffres fournis par les autorités marocaines est une illustration de la crédibilité des informations que les autorités marocaines avaient fournies.
Question du journaliste d'aljazeera : quelle est votre réponse à ceux qui disent que le Maroc est responsable du gel des pourparlers parce que le Maroc affirme qu'il n'y a pas de proposition ou de base de discussion autre que celle de l'autonomie et qu'il n'y a pas de proposition du côté sahraoui (polisario) ?
Premièrement, ces gens induisent les gens en erreur et ils s’induisent en erreur eux mêmes. Deuxièmement, ils ne connaissent pas le contenu (tenants et aboutissants) des événements et des pourparlers. Moi, je pense que s’il y a quelqu'un qui peut dire qui contribue ou ne contribue pas (à l'avancée des discussions), c'est le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU. Il suffit que je dise qu'au début il y avait deux choix et d'après le plan de l'ONU. Et après ça, l'ONU est arrivé à la conclusion que l'indépendance réaliste parce qu'il est impossible et aussi l'intégration complète (rattachement sans autonomie) doit être mis à l'écart (en tant que choix). Et, l'ONU a demandé à toute les parties de cheminer vers une solution médiane et je vous pose la question, qui a fait des efforts en premier, est ce que c'est le Maroc qui est passé d'un choix d'une intégration complète vers une organisation d'autonomie démocratique concertée ou la polisario qui est resté au même stade et avec la même rigidité ?
UN Media
http://www.unmultimedia.org/tv/webca...rn-sahara.html
Quelles sont les raisons derrière le refus du Maroc de l'envoi d'une commission d'enquête et aussi ce que beaucoup de diplomates qui se sont exprimés ici ont dit que personne ne connait le nombre exact de morts et de blessés dans les rangs du polisario parce que le Maroc interdit l'accès aux médias et aux parties indépendantes ?
Réponse de son Excellence : Premièrement, le Maroc n'interdit pas l'accès et il y a là-bas (au Sahara) beaucoup de représentants de la presse et des représentants des Organisations Non Gouvernementale qui ont visité la région.
Deuxièmement, les autorités marocaines sont en contact journalier avec la MINURSO pour lui communiquer toutes les informations sur la situation et on ne peut dire que le Maroc ait fait de la rétention d'information. Même les ONG ont donné le nombre de morts et elles ont affirmé que les seuls mort sont 10 parmi les forces de l'ordre, je réitère encore une fois que les forces de sécurité (maintien de l'ordre) n'avaient en leur possession aucune armes à feu et deux morts civils.
Question du même journaliste :
Quelles précautions ou actions allez vous prendre à l'avenir pour protéger les forces de sécurité contre ce type d'actes dont vous avez parlé ?
Réponse de son Excellence : personnellement, je pense que cette question ne devrait pas être posée au Maroc mais à ceux qui font des opérations de provocation et je pense que tous le monde voient que le niveau auquel ces provocations sont arrivées nécessite une réponse claire et sans équivoque de l'ensemble de la communauté internationale contre ce type de provocations (égorger et lapider des agents de l'ordre désarmés) !
Question du même journaliste : Mais ces faits se sont produit sur vos terres, sous votre autorité et c'était la police marocaine qui y faisait face ?
Réponse de son Excellence : ce qui s'est passé ne changera pas la politique marocaine, le Maroc est un pays qui essaye avec toutes ses capacités à construire un pays démocratique, ouvert qui respecte les droits de l'homme et vous savez quand vous respectez les droits de l'ordre, d'autres utilisent cette liberté à d'autre fins !
Question d'une autre journaliste : Human Right Watch vient d'annoncer la mort de deux civils dans les incidents à Laayoune qui confirme les dires des autorités marocaines qu'en pensez-vous ?
Réponse de son Excellence : je pense que c'est exactement ce que je viens de dire à votre collègue d'aljazeera, je lui ai dit que les autorités marocaines ont veillé depuis le début à partager tous les éléments d'appréciations et toutes les informations avec la MINURSO et nous sommes confortés dans notre approche, dans notre conviction et dans notre vision de l'avenir lorsque les informations sont confirmés par des moyens de presse et par les ONG dont vous indiqué une de ses ONG importante.
Question d'une journaliste anglophone : le représentant du département des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies (DPKO) a dit que la MINURSO n'a pas eu accès au camp pour enquêter ou avoir des informations sur les incidents de la semaine dernières est ce que c'est vrai et qu'est ce qui s'est passé ?
Réponse de son Excellence : premièrement, les autorités marocaines s'assure toujours que les informations soient partagés avec la MINURSO, deuxièmement, je pense que ceux qui ont le privilège de vivre à Laayoune et je suis l'un d'eux savent que la MINURSO peut collecter toutes les informations possibles. J'y étais au MINURSO et je connais l'étendue du système d'information qui est extrêmement efficace et efficient. Ceci étant dit, comme je l'ai déjà dit, le Maroc n'a rien à cacher, le Maroc partage toutes les informations avec la MINURSO et je pense que le fait que des quelque très grandes ONG internationales aient confirmé les chiffres fournis par les autorités marocaines est une illustration de la crédibilité des informations que les autorités marocaines avaient fournies.
Question du journaliste d'aljazeera : quelle est votre réponse à ceux qui disent que le Maroc est responsable du gel des pourparlers parce que le Maroc affirme qu'il n'y a pas de proposition ou de base de discussion autre que celle de l'autonomie et qu'il n'y a pas de proposition du côté sahraoui (polisario) ?
Premièrement, ces gens induisent les gens en erreur et ils s’induisent en erreur eux mêmes. Deuxièmement, ils ne connaissent pas le contenu (tenants et aboutissants) des événements et des pourparlers. Moi, je pense que s’il y a quelqu'un qui peut dire qui contribue ou ne contribue pas (à l'avancée des discussions), c'est le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU. Il suffit que je dise qu'au début il y avait deux choix et d'après le plan de l'ONU. Et après ça, l'ONU est arrivé à la conclusion que l'indépendance réaliste parce qu'il est impossible et aussi l'intégration complète (rattachement sans autonomie) doit être mis à l'écart (en tant que choix). Et, l'ONU a demandé à toute les parties de cheminer vers une solution médiane et je vous pose la question, qui a fait des efforts en premier, est ce que c'est le Maroc qui est passé d'un choix d'une intégration complète vers une organisation d'autonomie démocratique concertée ou la polisario qui est resté au même stade et avec la même rigidité ?
UN Media
http://www.unmultimedia.org/tv/webca...rn-sahara.html
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