ELLE COMPTE LANCER LA PROCÉDURE D’ARBITRAGE INTERNATIONAL AVANT LE DEUXIÈME TRIMESTRE 2011
Orascom ne fait pas marche arrière.
Orascom Telecom Holding pourrait lancer la procédure d’arbitrage international à l’encontre de l’Algérie dans le dossier Djezzy avant le deuxième trimestre 2011. Le président directeur général d’Orascom Telecom Holding, Khaled Bichara, a annoncé, jeudi, à l’issue d’une conférence de presse à Barcelone que la procédure d’arbitrage international à l’encontre de l’Algérie en ce qui concerne le dossier Djezzy pourrait être lancée avant le deuxième trimestre 2011.
« Au second trimestre, si nous n’avons pas résolu cette affaire, je pense que nous serons déjà dans une procédure d’arbitrage. Je ne crois pas que nous attendrons aussi longtemps », a-t-il affirmé, selon l’agence Bloomberg, repris par le site web TSA. Khaled Bichara a rappelé, selon la même source, que pour OTH cette procédure d’arbitrage ne sera utilisée qu’en dernier recours, si les négociations avec l’Algérie restent bloquées.
À ce stade, le groupe attend que l’Algérie désigne le 24 novembre prochain le cabinet d’affaires qui doit l’assister dans l’opération de rachat de Djezzy. Le Pdg d’OTH ne désespère pas de voir le projet de fusion avec Vimpelcom se concrétiser et que le dossier en suspens de Djezzy ne constitue nullement une crainte qui pourrait entraver l’aboutissement de ce projet. Sur ce point, Khaled Bichara a précisé que dans l’état actuel des choses, le projet de fusion de la maison mère d’OTH,Weather investments, avec le groupe russe Vimpelcom a «50% de chances d’aboutir».
Pour rappel, Naguib Sawiris, propriétaire d’OTH, a, non seulement rejeté en bloc les exigences imposées par l’Algérie sur la base desquelles l’acquisition de Djezzy par l’Etat Algérien serait susceptible de se concrétiser. Mais il envisage aussi de recourir à l’arbitrage international pour faire valoir ses droits. Peu après les déclarations de Sawiris, le ministre des Technologies de l’information et de communication, Moussa Benhamadi, a réagi en affirmant que la position algérienne est constante et elle ne sera pas modifiée concernant le rachat de Djezzy tout en précisant que les déclarations du patron égyptien étaient destinées à rassurer les clients et les actionnaires d’Orascom Telecom.
Le courrier DZ
Orascom ne fait pas marche arrière.
Orascom Telecom Holding pourrait lancer la procédure d’arbitrage international à l’encontre de l’Algérie dans le dossier Djezzy avant le deuxième trimestre 2011. Le président directeur général d’Orascom Telecom Holding, Khaled Bichara, a annoncé, jeudi, à l’issue d’une conférence de presse à Barcelone que la procédure d’arbitrage international à l’encontre de l’Algérie en ce qui concerne le dossier Djezzy pourrait être lancée avant le deuxième trimestre 2011.
« Au second trimestre, si nous n’avons pas résolu cette affaire, je pense que nous serons déjà dans une procédure d’arbitrage. Je ne crois pas que nous attendrons aussi longtemps », a-t-il affirmé, selon l’agence Bloomberg, repris par le site web TSA. Khaled Bichara a rappelé, selon la même source, que pour OTH cette procédure d’arbitrage ne sera utilisée qu’en dernier recours, si les négociations avec l’Algérie restent bloquées.
À ce stade, le groupe attend que l’Algérie désigne le 24 novembre prochain le cabinet d’affaires qui doit l’assister dans l’opération de rachat de Djezzy. Le Pdg d’OTH ne désespère pas de voir le projet de fusion avec Vimpelcom se concrétiser et que le dossier en suspens de Djezzy ne constitue nullement une crainte qui pourrait entraver l’aboutissement de ce projet. Sur ce point, Khaled Bichara a précisé que dans l’état actuel des choses, le projet de fusion de la maison mère d’OTH,Weather investments, avec le groupe russe Vimpelcom a «50% de chances d’aboutir».
Pour rappel, Naguib Sawiris, propriétaire d’OTH, a, non seulement rejeté en bloc les exigences imposées par l’Algérie sur la base desquelles l’acquisition de Djezzy par l’Etat Algérien serait susceptible de se concrétiser. Mais il envisage aussi de recourir à l’arbitrage international pour faire valoir ses droits. Peu après les déclarations de Sawiris, le ministre des Technologies de l’information et de communication, Moussa Benhamadi, a réagi en affirmant que la position algérienne est constante et elle ne sera pas modifiée concernant le rachat de Djezzy tout en précisant que les déclarations du patron égyptien étaient destinées à rassurer les clients et les actionnaires d’Orascom Telecom.
Le courrier DZ
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