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Que veut-on faire de la région ?

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  • Que veut-on faire de la région ?

    Que veut-on faire de la région ? jeune independant

    La France s’efforce de consacrer le fait accompli du Maroc au Sahara occidental, comme si elle avait des droits sur ce pays et que le sultan était là pour les gérer.
    La France, notre ancienne «bienfaitrice» s’ingère désormais ouvertement dans les affaires de la région et le fait d’une manière peu glorieuse. Car user de son droit de veto au Conseil de sécurité pour protéger non pas les droits de l’homme mais leur viol par le Maroc au Sahara occidental est un acte encore moins honorable que de composer – qu’importe la façon – avec le terrorisme au Sahel. La France s’efforce de consacrer le fait accompli du Maroc au Sahara occidental, comme si elle avait des droits sur ce pays et que le sultan était là pour les gérer. Comme s’il ne s’agissait pas d’une terre appartenant de père en fils au peuple sahraoui. Il n’y a qu’à consulter les cimetières de la Seguia El-Hamra wa Wadi Edhahab pour se convaincre que les Marocains n’y logent pas. Ils vivaient plus au nord. Mais qu’espère Paris en empêchant l’envoi d’une mission d’enquête sur les événements sanglants d’El-Ayoun. La France qui a une grande tradition colonialiste ne sait-elle pas que «le sang appelle le sang» et que la tragédie de Gdeim Izik risque, qu’à Dieu ne plaise, d’enterrer la lutte pacifique suivie jusqu’ici dans les territoires occupés du Sahara occidental ? «Si l’ONU ne parvient pas à s’acquitter de ses propres promesses répétées pour résoudre le conflit et ne parvient pas, non plus, à protéger notre peuple, nous serons obligés de le faire nous-mêmes», avertissait Ahmed Boukhari, avant la réunion du Conseil de sécurité, lorsqu’il disait que «le statu quo n’est plus une option». Où veut en arriver aujourd’hui la France, quand on sait que des centaines de jeunes Sahraouis manifestent aujourd’hui, pour la première fois depuis le cessez-le-feu passé en 1991 avec le Maroc, pour demander au Polisario de reprendre les armes ? La France, seul pays de la région membre permanent du Conseil de sécurité, non seulement ne fait rien pour aider à une solution, mais elle agit en sens inverse et ne voit pas d’inconvénient à ce qu’on louvoie avec la légalité internationale, qu’on viole massivement les droits humains ou qu’on pille les richesses d’un pays qu’on occupe par la force. Combien de temps les dirigeants du Polisario pourront-ils encore juguler une jeunesse sahraouie qui ne croit plus depuis longtemps que c’est l’ONU, cette «prostituée» notoire, qui leur «arrachera» leurs droits. M. Z.

  • #2
    comme dit l'inspecteur tahar allah yarhamou, rahi tabaa fi hmar miete

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    • #3
      Que veut-on faire de la région ? jeune independant

      Et oui ,

      Assumer votre revers au lieu de vous abriter à chaque fois derrière l'éternel rengaine du colonisé

      Commentaire


      • #4
        Et oui ,

        Assumer votre revers au lieu de vous abriter à chaque fois derrière l'éternel rengaine du colonisé
        non ça fait partie de leur mentalité, ils sont trop lâche pour se remettre en question...ils excelent par contre dans le "si l arbitre ne leur avait pas siflé ce penalty injustement on aurait gagné mais alors HAUT la main"...

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        • #5
          voici un petit exemple d'un torchn algérien qui attaque le responsable de renault en algérie parce qu il a dit les quatres vérités de l'algérie...

          et son patron a été accusé de "rouler pour le maroc", le sacrilège ultime...

          RENAULT ALGÉRIE
          Pour qui roule Galoustian?
          25 Mars 2009 - Page : 24
          Lu 486 fois

          http://www.lexpressiondz.com/photos/...P090325-14.jpg
          Ce dernier se contente de surfer sur la vague de succès léguée par ses prédécesseurs.
          Alors que son président-directeur général a mal négocié l’opportunité, Renault Algérie fait rater à l’Algérie l’occasion d’un réel investissement. A croire que la succursale du Losange ne s’est jamais aussi mal portée que sous le règne de son actuel patron, Stephan Galoustian, ce dernier se contentant de surfer sur la vague de succès léguée par ses prédécesseurs.

          En fait, ce manager dont le seul souci est d’étoffer le réseau commercial, avec pour seul souci les scores de ventes, n’a pas pu convaincre les Algériens qui vouent un respect sincère à la marque Renault et à laquelle les lie tout un passé. L’on s’en doute donc, le président-directeur général de cette firme automobile établie dans notre pays, vient de louper l’un des plus importants virages de l’histoire de l’automobile en Afrique du Nord. A savoir celui, certes difficile, de persuader sa hiérarchie de l’intérêt de construire une usine en SKD sur le sol algérien; chose, rappelle-t-on, qui a été finalisée avec une facilité des plus déconcertantes au Royaume chérifien. Selon le premier responsable du Losange en Algérie et non moins membre de l’Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A), les raisons de ce choix seraient le fruit d’une collaboration efficace des autorités marocaines, lesquelles ont permis au constructeur automobile français d’accéder rapidement au foncier industriel. Toujours, selon le même président-directeur général, les raisons de ce choix peu «populaire» auraient également été dictées par le problématique réseau Internet, qui pourrait laisser en rade la chaîne de production automobile si elle venait à être engagée sur notre territoire. Autant d’arguments qui ont du mal à convaincre, surtout lorsque l’on sait que Renault est une marque séculaire en Algérie et où elle a eu déjà à produire les fameuses 4 Cv et R4, au temps jadis, c’est-à-dire lorsque l’on se suffisait du courrier postal et de la classique ligne téléphonique à quatre chiffres. Il est donc évident que pareils arguments tiennent mal la route et ne peuvent amadouer que ceux qui veulent bien y croire! Résultat des courses, point d’usine Renault en Algérie pour l’instant et encore moins à l’avenir. Comme se plaît d’ailleurs à le rappeler sur un ton suffisant, le boss du Losange établi au «bled». N’aurait-il donc pas fallu à ce manager de faire valoir le passé industriel en Algérie de la marque dont il a la responsabilité? Cette simple attitude lui aurait valu bien de la reconnaissance de la part des Algériens auxquels l’on s’évertue, malheureusement, à «fourguer» des biens d’équipement rarement aux normes européennes.
          Il n’y aura donc pas d’usine Renault en Algérie? Et l’évocation de cette simple question fait encore sortir de ses gongs le patron de Renault Algérie. Ce dernier, préférant à chaque fois, suggérer de poser cette question aux pouvoirs publics algériens, ne manquant pas de fustiger au passage l’environnement économique du pays. Une échappatoire par trop facile, avouons-le! «Connaissez-vous un équipementier qui sache fabriquer une pièce selon les normes?», s’est-il déjà interrogé, ajoutant, dans ce domaine: «Il reste beaucoup à faire.» Il questionne: «Où sont les zones franches? Où est ce tissu industriel qui serait à même de contribuer à la création d’une industrie automobile? Comment voulez-vous y parvenir si le gouvernement vous institue encore une taxe de 1% sur le chiffre d’affaires?»
          En somme, le représentant de Renault Algérie a tout le mal du monde à convaincre lorsqu’on lui rappelle qu’au Maroc, Renault s’est bel et bien installé pour construire pas moins de 400.000 véhicules par an. Et cela sans que le Maroc ne dispose de ce fameux taux d’intégration de 65%, que les constructeurs automobiles s’ingénient à réclamer à l’Algérie. Aussi, la question coule de source: «Pour qui roule M.Stephan Galoustian?» Lorsque l’on nourrit tant d’aigreur envers l’Algérie, l’on doit savoir que l’on finit toujours par être déclaré persona non grata. C’est ce qui se confirmera tout prochainement, notamment après que les autorités algériennes aient décidé de soumettre, désormais, les concessionnaires automobiles à la nouvelle règle instaurant le certificat de qualité.
          Les véhicules Renault ne rouleront plus en pays conquis. Une enquête a été diligentée à cet effet par les services concernés. Affaire à suivre.

          L'expression

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