Tweet
Le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes authentique) a affirmé dans son rapport, que les problèmes qui prévalent au sein des universités d'Algérie ne se règlent pas seulement par l'application des augmentations historiques de salaires des enseignants universitaires. Il a, à cet effet, mis en garde contre le pourrissement qui prévaut au niveau des établissements universitaires en raison de la mauvaise gestion qui règne dans ces institutions.
Un rapport qui a été établi par cette organisation syndicale, a indiqué que plus de 400 enseignants universitaires migrent chaque année, vers les université du Golfe, dont 20 enseignants ont émigré depuis le début de l'année en cours.
Selon le même rapport établi par cette entité syndicale, “les universités d'Algérie agonisent”, précisant que “l'application des augmentations de salaires des enseignants universitaires, attribuées par le ministère de l'Enseignement supérieur, ne mettra pas fin aux problèmes qui règnent dans le secteur de l'enseignement supérieur”.
La même source n'a pas omis d'affirmer dans ce contexte, que la situation qui prévaut actuellement au niveau des établissements universitaires ne cesse de se dégrader.
“La décision émanant du ministère de tutelle, relative à l'amélioration des conditions sociales des enseignants universitaires est venue trop tard”, peut-on lire, dans le rapport du Cnes Authentique rendu public hier.
La même source a tenu en outre, à rappeler que “ces augmentations interviennent après avoir déposé plusieurs rapports au courant des dernières années, et après une série de mouvements de grève qui avaient pour objectif d'alerter les responsables concernés sur la détérioration prévalant à l'Université d'Alger”.
“Ce retard dans l'amélioration de la situation sociale des enseignants universitaires a pour conséquence la fuite des cerveaux vers l'étranger. Des centaines d'enseignants migrent à l'étranger”, a-t-on appris, auprès du rapport du Cnes authentique.
D'après le même rapport, les universités du Golfe, qui sont estimées à 20 universités, attirent chaque année, plus de 400 enseignants universitaires algériens, et ce, sans prendre en compte les enseignants qui migrent vers les pays occidentaux.
Le Cnes Authentique a déploré le fait que “les efforts déployés par les enseignants universitaires n'ont pas été pris en considération dans les augmentations des salaires”.
Sur un autre volet, le même rapport s'est penché sur les problèmes dans lesquels se débattent les étudiants dont leurs conditions de vie ne cessent de se dégrader. Ajouté à cela, indique la même source, “la détérioration du niveau des administrations des universités d'Algérie et des responsables concernés qui se contentent de se vanter du nombre de sièges pédagogiques, du nombre d'autobus, ainsi que le nombre des restaurants universitaires”. “C'est ce qui est vanté par les pouvoirs publics depuis l'indépendance, qui continue à ignorer tous les autres facteurs pertinents pour la qualité de l'enseignement supérieur”.
Un rapport qui a été établi par cette organisation syndicale, a indiqué que plus de 400 enseignants universitaires migrent chaque année, vers les université du Golfe, dont 20 enseignants ont émigré depuis le début de l'année en cours.
Selon le même rapport établi par cette entité syndicale, “les universités d'Algérie agonisent”, précisant que “l'application des augmentations de salaires des enseignants universitaires, attribuées par le ministère de l'Enseignement supérieur, ne mettra pas fin aux problèmes qui règnent dans le secteur de l'enseignement supérieur”.
La même source n'a pas omis d'affirmer dans ce contexte, que la situation qui prévaut actuellement au niveau des établissements universitaires ne cesse de se dégrader.
“La décision émanant du ministère de tutelle, relative à l'amélioration des conditions sociales des enseignants universitaires est venue trop tard”, peut-on lire, dans le rapport du Cnes Authentique rendu public hier.
La même source a tenu en outre, à rappeler que “ces augmentations interviennent après avoir déposé plusieurs rapports au courant des dernières années, et après une série de mouvements de grève qui avaient pour objectif d'alerter les responsables concernés sur la détérioration prévalant à l'Université d'Alger”.
“Ce retard dans l'amélioration de la situation sociale des enseignants universitaires a pour conséquence la fuite des cerveaux vers l'étranger. Des centaines d'enseignants migrent à l'étranger”, a-t-on appris, auprès du rapport du Cnes authentique.
D'après le même rapport, les universités du Golfe, qui sont estimées à 20 universités, attirent chaque année, plus de 400 enseignants universitaires algériens, et ce, sans prendre en compte les enseignants qui migrent vers les pays occidentaux.
Le Cnes Authentique a déploré le fait que “les efforts déployés par les enseignants universitaires n'ont pas été pris en considération dans les augmentations des salaires”.
Sur un autre volet, le même rapport s'est penché sur les problèmes dans lesquels se débattent les étudiants dont leurs conditions de vie ne cessent de se dégrader. Ajouté à cela, indique la même source, “la détérioration du niveau des administrations des universités d'Algérie et des responsables concernés qui se contentent de se vanter du nombre de sièges pédagogiques, du nombre d'autobus, ainsi que le nombre des restaurants universitaires”. “C'est ce qui est vanté par les pouvoirs publics depuis l'indépendance, qui continue à ignorer tous les autres facteurs pertinents pour la qualité de l'enseignement supérieur”.
Lemya Ouchenir la dépêche de kabylie