Tweet
La mesure d’interdiction des six plages sera-t-elle levée (...)
Hôteliers, commerçants et simples citoyens s’interrogent si cette année, la mesure d’interdiction à la baignade des 6 plages de la commune de Aïn El Türck, pour cause de déversement des eaux usées dans la mer, sera enfin levée.
Reconduite depuis plusieurs années par la commission de l’environnement de l’APW, la décision de ne pas autoriser la baignade dans pas moins de 6 plages, des plus réputées de la corniche oranaise ouest, a trop duré.
Le dommage économique est sans précédent pour cette région. Les retombées négatives sont telles, que toute une population s’est paupérisée. Il faut dire qu’en dehors du tourisme, seule activité supposée être lucrative, il n’existe aucun créneau générateur d’emplois et de sources de richesses. En effet, les plus belles plages de la côte oranaise, à l’exemple de Paradis Plage, Beau séjour et Cap Falcon, pour ne citer que celles là, connues pour drainer de nombreux estivants, n’offrent plus le cadre agréable et attirant qui faisaient leur force, à cause de la qualité polluée de leurs eaux, devenues dangereuses en matière de santé publique. Les rapports des services concernés avaient fait ressortir des taux de coliformes fécaux alarmants.
Certes, des efforts sont entamés ça et là, particulièrement par les autorités locales afin de remettre en marche les stations de relevage, mais, cela s’avère insuffisant.
Le déversement dans la mer continue à s’opérer et ce à quelques mois de l’ouverture officielle de la saison estivale. Les autorités locales annoncent à grande pompe le fonctionnement des stations de relevage au moment voulu et que l’échéance arrêtée, soit avant la fin juin, ne saurait souffrir d’un quelconque retard.
La commission de l’environnement devra se rendre sur les lieux pour établir son constat et décider de la réouverture des plages interdites à la baignade. :22:
Hôteliers, commerçants et simples citoyens s’interrogent si cette année, la mesure d’interdiction à la baignade des 6 plages de la commune de Aïn El Türck, pour cause de déversement des eaux usées dans la mer, sera enfin levée.
Reconduite depuis plusieurs années par la commission de l’environnement de l’APW, la décision de ne pas autoriser la baignade dans pas moins de 6 plages, des plus réputées de la corniche oranaise ouest, a trop duré.
Le dommage économique est sans précédent pour cette région. Les retombées négatives sont telles, que toute une population s’est paupérisée. Il faut dire qu’en dehors du tourisme, seule activité supposée être lucrative, il n’existe aucun créneau générateur d’emplois et de sources de richesses. En effet, les plus belles plages de la côte oranaise, à l’exemple de Paradis Plage, Beau séjour et Cap Falcon, pour ne citer que celles là, connues pour drainer de nombreux estivants, n’offrent plus le cadre agréable et attirant qui faisaient leur force, à cause de la qualité polluée de leurs eaux, devenues dangereuses en matière de santé publique. Les rapports des services concernés avaient fait ressortir des taux de coliformes fécaux alarmants.
Certes, des efforts sont entamés ça et là, particulièrement par les autorités locales afin de remettre en marche les stations de relevage, mais, cela s’avère insuffisant.
Le déversement dans la mer continue à s’opérer et ce à quelques mois de l’ouverture officielle de la saison estivale. Les autorités locales annoncent à grande pompe le fonctionnement des stations de relevage au moment voulu et que l’échéance arrêtée, soit avant la fin juin, ne saurait souffrir d’un quelconque retard.
La commission de l’environnement devra se rendre sur les lieux pour établir son constat et décider de la réouverture des plages interdites à la baignade. :22: