Accusé d’apologie au terrorisme, un jeune homme de la commune de Legata a été condamné hier, en début d’après-midi, à une peine d’une année de prison ferme, par la cour pénale de Boumerdès, qui poursuit sa session criminelle actuelle.
Les faits de l’affaire judicieusement examinée, hier, remontent à la soirée du 22 octobre 2009. Lors d’une fête au village d’Ouled Ziane, relevant de Legata, le mis en cause répondant aux initiales N. B., ne s’est pas empêché de prononcer ces phrases : “Vive Zoheir”, “Badaou Yadjrah wa naya en daoui”. L’on sentit alors qu’il affichait son soutien à l’émir local de l’ex-GSPC Tadjer Zoheir tout en évoquant avec arrogance et une sorte de dérision le nom d’un responsable départemental chargé de la lutte antiterroriste.
Les services locaux de sécurité ont procédé à son arrestation le lendemain, pour “apologie au terrorisme”.
Placé sous mandat de dépôt durant plus d’une année, il a été traduit hier, devant le tribunal de Boumerdès, pour répondre de son acte. L’inculpé a prétendu lors de ces assises qu’il faisait allusion à un jeune prénommé Zoheir qui dansait alors pendant cette fête, et non pas le chef sanguinaire.
Il a expliqué encore que l’évocation du nom de Badaoui renvoit à une chanson chaouie. S’en tenant à l’acte de pourvoi, le procureur a requis une peine de cinq ans de prison ferme et une amende de 10 millions de centimes. Le juge l’a condamné à une année de prison ferme tout en maintenant la même amende.
Deux autres terroristes ont été condamnés par coutumace à 20 ans de prison ferme.
Par la Dépêche de Kabylie
Les faits de l’affaire judicieusement examinée, hier, remontent à la soirée du 22 octobre 2009. Lors d’une fête au village d’Ouled Ziane, relevant de Legata, le mis en cause répondant aux initiales N. B., ne s’est pas empêché de prononcer ces phrases : “Vive Zoheir”, “Badaou Yadjrah wa naya en daoui”. L’on sentit alors qu’il affichait son soutien à l’émir local de l’ex-GSPC Tadjer Zoheir tout en évoquant avec arrogance et une sorte de dérision le nom d’un responsable départemental chargé de la lutte antiterroriste.
Les services locaux de sécurité ont procédé à son arrestation le lendemain, pour “apologie au terrorisme”.
Placé sous mandat de dépôt durant plus d’une année, il a été traduit hier, devant le tribunal de Boumerdès, pour répondre de son acte. L’inculpé a prétendu lors de ces assises qu’il faisait allusion à un jeune prénommé Zoheir qui dansait alors pendant cette fête, et non pas le chef sanguinaire.
Il a expliqué encore que l’évocation du nom de Badaoui renvoit à une chanson chaouie. S’en tenant à l’acte de pourvoi, le procureur a requis une peine de cinq ans de prison ferme et une amende de 10 millions de centimes. Le juge l’a condamné à une année de prison ferme tout en maintenant la même amende.
Deux autres terroristes ont été condamnés par coutumace à 20 ans de prison ferme.
Par la Dépêche de Kabylie
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