Le gouvernement égyptien a réaffirmé mardi son refus d'autoriser la présence d'observateurs internationaux aux élections législatives organisées dimanche dans le pays.
"Nous ne voulons aucune ingérence dans les affaires nationales de l'Egypte. Ce sont les affaires de l'Egypte", a déclaré un porte-parole du gouvernement en marge d'une visite aux Emirats arabes unis du président Hosni Moubarak.
Les Etats-Unis ont notamment pressé les autorités égyptiennes d'accepter des observateurs internationaux et estimé que le scrutin devait faire l'objet d'une couverture médiatique libre.
Les élections législatives seront particulièrement observées pour savoir quelle place le régime de Hosni Moubarak, au pouvoir depuis 1981, accorde à l'opposition.
Principale organisation d'opposition, les Frères musulmans sont interdits mais contournent la loi en présentant aux élections des candidats sous l'étiquette d'indépendants.
Ils contrôlent un cinquième des sièges au parlement et disent s'attendre à ce que le pouvoir les empêche de conserver ce niveau de représentation lors des élections du 28 novembre.
Les Frères musulmans affirment que ses militants sont harcelés par les forces de sécurité en prévision du scrutin. Le mouvement a déclaré lundi que plus de 1.200 de ses partisans avaient été arrêtés et empêchés ainsi de faire campagne.
Source : Reuters
"Nous ne voulons aucune ingérence dans les affaires nationales de l'Egypte. Ce sont les affaires de l'Egypte", a déclaré un porte-parole du gouvernement en marge d'une visite aux Emirats arabes unis du président Hosni Moubarak.
Les Etats-Unis ont notamment pressé les autorités égyptiennes d'accepter des observateurs internationaux et estimé que le scrutin devait faire l'objet d'une couverture médiatique libre.
Les élections législatives seront particulièrement observées pour savoir quelle place le régime de Hosni Moubarak, au pouvoir depuis 1981, accorde à l'opposition.
Principale organisation d'opposition, les Frères musulmans sont interdits mais contournent la loi en présentant aux élections des candidats sous l'étiquette d'indépendants.
Ils contrôlent un cinquième des sièges au parlement et disent s'attendre à ce que le pouvoir les empêche de conserver ce niveau de représentation lors des élections du 28 novembre.
Les Frères musulmans affirment que ses militants sont harcelés par les forces de sécurité en prévision du scrutin. Le mouvement a déclaré lundi que plus de 1.200 de ses partisans avaient été arrêtés et empêchés ainsi de faire campagne.
Source : Reuters
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