Bonsoir tout le monde,
Il y a quelques jours je suis tomber sur un article, sa parlait des Digital Native, je dois dire que je l'ai trouver fort intéressant, et mon souhait, c'est de savoir ce que vous en pensez!!!
Au plaisir de lire vos commentaires.
Interactivité, rapidité, mobilité, liberté, innovation... les 'Digital natives' bousculent les codes du travail tels que nous les connaissons. Un peu comme Obélix et la marmite de potion magique, ils sont « tombés dans le Web 2.0 quand ils étaient petits ». Ces jeunes (dont la moyenne d'âge oscille entre 16 et 25 ans, selon les cabinets d'études) entendent retrouver au sein de l'entreprise les outils collaboratifs auxquels ils sont abonnés - voire accros - depuis leur adolescence ou leur enfance. Aux entreprises de ne pas louper le coche pour les attirer, car cette génération, reine du zapping, est en train d'arriver sur le marché de l'emploi, avec des habitudes sociales, des méthodes de travail ainsi que des codes hiérarchiques auxquelles il va falloir s'habituer. Préparez-vous, en observant par exemple... vos propres enfants.
Inventé par Marc Prensky au début des années 2000, le terme de 'Digital natives' désigne les étudiants et les écoliers qui ont grandi entourés des nouvelles technologies (ordinateurs, téléphones portables, jeux vidéo, Internet...). On les appelle ainsi par opposition à leurs prédécesseurs, les 'Digital immigrants', faciles à reconnaître à quelques signes : ils impriment encore leurs mails par exemple.
Egalement connus sous le terme de génération Y ou génération Google, la différence des 'Digital natives' (DN) ne se limite pas à une simple question de goûts vestimentaires, musicaux, ou à leur manière de s'exprimer. La rupture va plus loin. C'est dans leur manière de fonctionner et de réfléchir qu'ils se différencient drastiquement de leurs aînés. Ils sont en permanence en relation avec des amis aux quatre coins du monde, jonglent avec une quantité d'information incroyable, sont capables de faire cinq choses en même temps, et privilégient le graphique et le visuel au textuel. Marc Prensky n'hésite pas à affirmer que cette génération « pense et digère l'information d'une manière fondamentalement différente de leurs prédécesseurs », en sous-entendant même qu'il existe chez eux une « modification au niveau du cerveau ».
Les rois du zapping et de la personnalisation
Ces jeunes ont par exemple largement délaissé les médias traditionnels au profit d'Internet. Ils passent de moins en moins de temps à écouter la radio ou à regarder la télé (1 h 30 de moins par rapport à 2001). Ces médias ne sont pas pour autant ignorés, mais on observe un glissement vers un autre support, l'ordinateur : 38% des jeunes regardent du contenu télévisuel sur leur PC, et 40% d'entre eux s'en servent également pour écouter la radio. Le DN est volatil dans sa recherche de l'information. Il rebondit très vite d'une page à l'autre, il est impatient, il zappe volontiers s'il ne trouve pas immédiatement ce qu'il cherche et passe très peu de temps sur une même page. C'est le surfeur dans toute sa splendeur, le roi du clic. Il veut tout personnaliser, y compris son poste de travail.
Poussons encore plus loin la caricature. Parlez aux plus jeunes de Minitel ou de magnétoscope, ils vous regarderont probablement d'un air interrogateur. Pire encore, placez-les maintenant en entreprise, avec un bureau classique, une imprimante poussiéreuse, un PC qui rame, un accès aux réseaux sociaux bloqué par le pare-feu, comme c'est encore le cas dans de nombreuses sociétés, selon MessageLabs, une société spécialisée dans la protection de la messagerie instantanée. Le verdict est sans appel, le DN tourne les talons et va chercher ailleurs.
Pas technophiles pour deux sous, mais exigeants en qualité de service
« Attention toutefois. Il ne faut pas confondre Digital native et geek, prévient Carlos Diaz, PDG de l'éditeur Blue Kiwi, qui propose des solutions Web 2.0 aux entreprises. A moins d'être lui-même informaticien, le 'Digital native' ne connaît absolument rien à la technologie pure et dure sur laquelle reposent les outils avec lesquels il travaille, et à vrai dire... ça lui est égal. Tout ce qui compte pour lui, c'est que ça marche, et que la communication passe en moins d'un quart de seconde. »
lemondeinformatique.fr
Il y a quelques jours je suis tomber sur un article, sa parlait des Digital Native, je dois dire que je l'ai trouver fort intéressant, et mon souhait, c'est de savoir ce que vous en pensez!!!
Au plaisir de lire vos commentaires.
Interactivité, rapidité, mobilité, liberté, innovation... les 'Digital natives' bousculent les codes du travail tels que nous les connaissons. Un peu comme Obélix et la marmite de potion magique, ils sont « tombés dans le Web 2.0 quand ils étaient petits ». Ces jeunes (dont la moyenne d'âge oscille entre 16 et 25 ans, selon les cabinets d'études) entendent retrouver au sein de l'entreprise les outils collaboratifs auxquels ils sont abonnés - voire accros - depuis leur adolescence ou leur enfance. Aux entreprises de ne pas louper le coche pour les attirer, car cette génération, reine du zapping, est en train d'arriver sur le marché de l'emploi, avec des habitudes sociales, des méthodes de travail ainsi que des codes hiérarchiques auxquelles il va falloir s'habituer. Préparez-vous, en observant par exemple... vos propres enfants.
Inventé par Marc Prensky au début des années 2000, le terme de 'Digital natives' désigne les étudiants et les écoliers qui ont grandi entourés des nouvelles technologies (ordinateurs, téléphones portables, jeux vidéo, Internet...). On les appelle ainsi par opposition à leurs prédécesseurs, les 'Digital immigrants', faciles à reconnaître à quelques signes : ils impriment encore leurs mails par exemple.
Egalement connus sous le terme de génération Y ou génération Google, la différence des 'Digital natives' (DN) ne se limite pas à une simple question de goûts vestimentaires, musicaux, ou à leur manière de s'exprimer. La rupture va plus loin. C'est dans leur manière de fonctionner et de réfléchir qu'ils se différencient drastiquement de leurs aînés. Ils sont en permanence en relation avec des amis aux quatre coins du monde, jonglent avec une quantité d'information incroyable, sont capables de faire cinq choses en même temps, et privilégient le graphique et le visuel au textuel. Marc Prensky n'hésite pas à affirmer que cette génération « pense et digère l'information d'une manière fondamentalement différente de leurs prédécesseurs », en sous-entendant même qu'il existe chez eux une « modification au niveau du cerveau ».
Les rois du zapping et de la personnalisation
Ces jeunes ont par exemple largement délaissé les médias traditionnels au profit d'Internet. Ils passent de moins en moins de temps à écouter la radio ou à regarder la télé (1 h 30 de moins par rapport à 2001). Ces médias ne sont pas pour autant ignorés, mais on observe un glissement vers un autre support, l'ordinateur : 38% des jeunes regardent du contenu télévisuel sur leur PC, et 40% d'entre eux s'en servent également pour écouter la radio. Le DN est volatil dans sa recherche de l'information. Il rebondit très vite d'une page à l'autre, il est impatient, il zappe volontiers s'il ne trouve pas immédiatement ce qu'il cherche et passe très peu de temps sur une même page. C'est le surfeur dans toute sa splendeur, le roi du clic. Il veut tout personnaliser, y compris son poste de travail.
Poussons encore plus loin la caricature. Parlez aux plus jeunes de Minitel ou de magnétoscope, ils vous regarderont probablement d'un air interrogateur. Pire encore, placez-les maintenant en entreprise, avec un bureau classique, une imprimante poussiéreuse, un PC qui rame, un accès aux réseaux sociaux bloqué par le pare-feu, comme c'est encore le cas dans de nombreuses sociétés, selon MessageLabs, une société spécialisée dans la protection de la messagerie instantanée. Le verdict est sans appel, le DN tourne les talons et va chercher ailleurs.
Pas technophiles pour deux sous, mais exigeants en qualité de service
« Attention toutefois. Il ne faut pas confondre Digital native et geek, prévient Carlos Diaz, PDG de l'éditeur Blue Kiwi, qui propose des solutions Web 2.0 aux entreprises. A moins d'être lui-même informaticien, le 'Digital native' ne connaît absolument rien à la technologie pure et dure sur laquelle reposent les outils avec lesquels il travaille, et à vrai dire... ça lui est égal. Tout ce qui compte pour lui, c'est que ça marche, et que la communication passe en moins d'un quart de seconde. »
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