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Le premier Brésilien dans l’espace

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  • Le premier Brésilien dans l’espace

    Marcos Pontes est devenu ce matin le premier Brésilien à partir dans l’espace.
    Ce lieutenant-colonel de 43 ans s’est envolé à bord d’une capsule Soyouz aux côtés du Russe Pavel Vinogradov et de l’Américain Jeffrey Williams, qui doivent séjourner six mois à bord de la station spatiale. La fusée s’est arrachée à 2h30 TU ce matin (4h30 en France) du cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, mettant en orbite une dizaine de minutes plus tard le vaisseau Soyouz. Il doit s’arrimer à l’ISS samedi.

    Marco Pontes, qui devait au départ voler à bord d’une navette spatiale américaine, s’est entraîné dès 1998 au centre spatial Johnson de Houston, au Texas. Ces derniers mois il avait rejoint la Cité des Etoiles, près de Moscou, afin de se familiariser avec le vaisseau Soyouz.

    Le Brésil a tenté en 2003 de lancer une fusée destinée à mettre des satellites en orbite. Trois jours avant le lancement, une explosion sur le pas de tir avait détruit la fusée, les installations et tué 21 personnes. En octobre 2004 le Brésil a plus modestement lancé à quelque 250 km d’altitude une fusée destinée à mener des expériences en microgravité.

    L’astronaute brésilien doit rester neuf jours à bord de la station orbitale. Il quittera l’ISS le 9 avril pour revenir sur Terre en compagnie de Valery Tokarev et Bill McArthur, qui viennent de passer six mois en orbite. Si la navette Discovery de la NASA décolle comme prévu en juillet prochain, l’équipage de la station passera à trois hommes, pour la première fois depuis l’accident de Columbia, avec l’arrivée de l’astronaute allemand Thomas Reiter (ESA).

    Première machine nano

    Combinaison de 2 nanomachines. Elles augurent les futures machines qui sont censés réparer nos cellules (ou le contraire dixit certains militaires...)

    Une équipe japonaise a construit une nanomachine simple où un piston est ouvert et fermé par la lumière : cela permet à un bras opérateur de tourner et d'actionner des pédales. Cette combinaison de deux nanomécanismes est une première.

    Durant la dernière décennie, des chercheurs ont conçu pleins de minuscules mécanismes à l'échelle nanométrique : allant d'une hélice composée de 350 atomes seulement à un ascenceur qui permet de monter de 2,5 nanomètres.
    Seulement tous ces mécanismes n'étaient jusque là des démonstrations de principe et d'aucune utilité réelle.

    La jonction de deux pièces mobiles par contre est une avancée considérable.
    La science mécanique sous-jacente à l'opération de ces machines moléculaires est extraordinairement complexe. Elle repose sur la dynamique des liaisons chimiques et des forces présentes à ces échelles. Cela contraste fortement avec la mécanique des machines à taille quasi-humaine.

    L'étape suivante (en cours) est de combiner de multiples (plus que 2) machines moléculaires qui vont réaliser une plus grande machine globale.

    Sources : New Scientist
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